chapeau bas

C'est vrai qu'on exagère peut-être un peu. Il y a eu quelques fois où la fatigue aidant on a eu du mal à apprécier mais en général ce n'était pas si horrible que semble le dire Brice.lenomadeblanc a écrit :une bien belle aventure que vous avez vécue là.
bravo à vous tous car cette course à la montre pour refaire tous ces sides, ça ne devait pas être si facile.
par contre je suis surpris de vous lire (entendre) dire que le mouton pue et que vous en aviez plus qu'assez d'en manger tous les jours.
moi je l'ai trouvé très bon et je ne m'en suis pas lassé.
d'ailleurs j'en redemande encore.
et puis l'airag cette boisson de lait fermenté, c'est pas mauvais du tout et ce qui est bien c'est que ça désaltère vachement bien.
quand je me sentais sec dans le désert, j'en prenais une gorgée et c'était reparti pour un tour.
je pense que vous serez d'accord avec moi ............ vous n'êtes pas rentré entier, il est resté une partie de vous là bas, non ???
Oui, c'est comme toutes les "aventures" authentiques...lenomadeblanc a écrit :je manque certainement de vocabulaire, mais pour moi, la Mongolie ça ne s'explique pas, ça se vit.
et au retour on sent un immense vide et un besoin d'y retourner car on sait maintenant qu'il nous manque quelque chose et qu'on y a énormément à y voir et apprendre.
Y'en avait pourtant à l'épicerie.Zorgol94 a écrit :C'est vrai qu'on exagère peut-être un peu. Il y a eu quelques fois où la fatigue aidant on a eu du mal à apprécier mais en général ce n'était pas si horrible que semble le dire Brice.lenomadeblanc a écrit :une bien belle aventure que vous avez vécue là.
bravo à vous tous car cette course à la montre pour refaire tous ces sides, ça ne devait pas être si facile.
par contre je suis surpris de vous lire (entendre) dire que le mouton pue et que vous en aviez plus qu'assez d'en manger tous les jours.
moi je l'ai trouvé très bon et je ne m'en suis pas lassé.
d'ailleurs j'en redemande encore.
et puis l'airag cette boisson de lait fermenté, c'est pas mauvais du tout et ce qui est bien c'est que ça désaltère vachement bien.
quand je me sentais sec dans le désert, j'en prenais une gorgée et c'était reparti pour un tour.
je pense que vous serez d'accord avec moi ............ vous n'êtes pas rentré entier, il est resté une partie de vous là bas, non ???
Nous n'avons pas pu gouté à l'airag dommage, il n'y en avait pas, on s'est contenté du thé au lait basique.
C'est vrai qu'il est difficile de reprendre le quotidien sans cogiter au comment et quand on va y retourner car ce pays est tellement vaste qu'il nous reste l'impression d'avoir vu qu'une infime partie du pays et qu'il est impossible de comprendre la Mongolie en 15 jours.
On a juste pu y gouter un peu...
Bonsoir,Est-Motorcycles a écrit :......
Ils avaient tous tenu parole et je savais que chacun avait déjà passé un cap important de sa vie.
J'étais fier et en même temps responsable. Nous étions tous responsables les uns des autres car chacun avait monté une roue, des câbles, un moteur, un pont...
Ce sentiment de compter sur les autres à ce point, de confier sa vie, est unique.
On ne peut pas l'expliquer.
Dans la vie il est peu d'êtres sur lesquels nous pouvons compter. Là c'était scellé, fondu : nos destins se mettaient à battre en rythme, et dans un rythme que nous ne connaissions pas.
Partis relativement "bourgeois", archétypes de la classe moyenne, disposant d'une relative aisance (toute relative en effet) due au travail, nous étions maintenant à poil avec ces attributs laissés dans une valise sur le trottoir.