Incontestablement une des dernières injection (système Keihin).Idefix a écrit : 17 sept. 2024, 10:42faut reconnaitre que les tarifs ont flambés depuis que je m'intéresse au sujet. Moi qui roule en touring Harley j'ai été assez surpris que le prix d'un Ural s'approche du prix d'un Road King.Est-Motorcycles a écrit : 17 sept. 2024, 09:19Normal...
Le prix des brêles...
La fiabilité réelle des brêles par rapport à l'investissement
La clientèle qui devient vraiment mais à juste titre "chiante" par rapport au prix et à la fiabilité...
Etre vrai concess mécanicien Ural est une vocation qui frôle la vie monastique...
J'espère que les évolutions apportées au fil des années sont à la hauteur de la hausse des prix.
Quoiqu'il en soit, si je choisi d'investir dans du neuf, je ne regarderais pas à 200 km pour allez chez un concessionnaire.
L'occasion peut être un bon compromis également, il y a souvent de nombreuses options.
Quel pourrait être l'occasion idéale aujourd'hui ? Millésime, kilométrage, modèle ?
Une carbu = du travail en perspective.
Une première injection (ECU) une vraie merde.
Si un Ural est sur le marché de l'occaze, c'est que son proprio s'est trompé, ou qu'il change de vie, ou qu'elle a été maltraitée, ou qu'il en achète une neuve.
Les points faibles des machines d'occaze récentes ?
L'embrayage
Les roues mal entretenues avec rayons desserrés
Les bricolages divers et (a)variés réalisés par des charlots
L'entraineur de roue arrière dans le pont
La visserie non graissée
La complexité du frein AR couplé avec le frein de parking
Le flector
Un Ural exige un entretien de facho, hyper régulier, sans compromis ni de "on verra en rentrant".
Tu as raison de ne pas te focaliser sur le concess le plus près de chez toi : cherche le meilleur en fonction de ce que tu attends.
Crois-moi, c'est un ancien concess avec 20 piges de boulot au cul et de fidélité exclusive à la marque qui te dit cela, qui est à la retraite et qui (donc) n'en a plus rien à battre...
PS : n'écoute surtout pas ceux qui ne roulent pas !
Bonne chasse !
