Ah, environ 10 secondes...non stop 24/24 :Bgecko a écrit :tous "s apprivoisent",suffit de prendre le temps.
La gueule du machin tu te pose la question "combien de temps entre deux conneries?".terrrrrible
ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
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http://www.est-motorcycles.fr/
Une ex-petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, maintenant inventeur, alchimiste.
J'ai survécu à des choses bien difficiles jusqu'à présent. Ce n'était pas de la chance, mais de la force...Je dispose de codes solides très simples qui ne courent pas les rues...
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
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Je ne pensais pas, le jour où, encore enfant, le meilleur ami de mon Grand-Père m'offrit le somptueux ouvrage de Jules Vernes "voyage au centre de la terre", que 50 ans plus tard j'allais cheminer sur les traces d'Arne Saknussemm, vieux sage islandais du XVII° qui fut le véritable initiateur du voyage vers le centre de la Terre en y entrant par un volcan islandais éteint, le Sneffels (c'est-à-dire le Snæfellsjökull).
Il y découvrit d'étranges grottes dans lesquelles étaient déjà gravés de curieux signes...
Etais-je devenu fou à penser qu'en revoyant le navire qui me ramènera métamorphosé en Europe, je me sentais comme matelot sur la goélette qui, jadis, fit le même voyage avec les amis de Jules Vernes ?
Car comme l'écrit Guðrun Eva Minervudóttir, le fantastique se mêle à la vie quotidienne très naturellement. Et finalement, l?Islande d?aujourd?hui, c?est surtout ça aussi. Les islandais ont détourné les route pour ne pas déranger les elfes...
Il était là, ce bateau bien solide, que je voyais avec des yeux complètement différents, un peu comme si je prenais le métro qui un jour me ramènerait dans la même station.
La Babouchka était pleine à craquer, de matérel de voyage et de cadeaux...j'avais tant à dire par des offrandes aux être aimés !
Car elle serait aussi ce témoignage aussi vivant que moi. Là aussi on me prendra pour un fou mais elle n'est plus une machine et, qu'importe qu'on ne le croit pas ! Je sais bien ce qu'elle est...
Sur le tarmaque du départ, les gens sont complètement assommés. Les véhicules sont sales, un peu abîmés...ils ont tous pris plein de claques dans la gueule, même les plus costauds, même les plus testostéronisés. Calmés, assis, en mouvements lents...sous hypnose.
C'était la grande branlée et ils l'ont tous pris. Tous.
Plus encore chez les motards. Silence comme après une bombe qui pète.
Ils avaient tous rencontré la magique de l'Islande, untel au détour d'un chemin de piste, un autre tel sur la mer...
Nous étions livrés entiers comme des enfants au bateau de la colo et le père tranquille allait nous ramener pour le goûter...Nous avions tous 10 ans.
Nous empruntions, toujours dans le même calme, le chemin du repos des motos. Nous étions tous frères et pas un ne dépassait l'autre, comme si nous étions alignés sur la même énergie, sans dire un mot, sans explication : tout le monde savait que toute le monde savait, il n'y avait plus besoin de mots et les bavardags s'étaient tus.
Trés impressionnant.
En place sur le dernier étage du bateau, les nouveaux arrivés qui étaient sortis complètement neufs d'impressions nous paraissaient agités : les douaniers les attendaient avec scanner :
...ou les chiens car ici, pas de drogue. Tolérence zéro : il n'y en a pas besoin.
Les moteurs s'ébranlent...
Juste le temps de regarder la ligne de crête et le navire commence à cheminer sans que l'on ne sente rien.
Je n'ai pas du tout l'impression de "rentrer".
Il va encore se passer des choses sur ce navire...et des choses toujours étonnantes...
...
Il y découvrit d'étranges grottes dans lesquelles étaient déjà gravés de curieux signes...
Etais-je devenu fou à penser qu'en revoyant le navire qui me ramènera métamorphosé en Europe, je me sentais comme matelot sur la goélette qui, jadis, fit le même voyage avec les amis de Jules Vernes ?
Car comme l'écrit Guðrun Eva Minervudóttir, le fantastique se mêle à la vie quotidienne très naturellement. Et finalement, l?Islande d?aujourd?hui, c?est surtout ça aussi. Les islandais ont détourné les route pour ne pas déranger les elfes...
Il était là, ce bateau bien solide, que je voyais avec des yeux complètement différents, un peu comme si je prenais le métro qui un jour me ramènerait dans la même station.
La Babouchka était pleine à craquer, de matérel de voyage et de cadeaux...j'avais tant à dire par des offrandes aux être aimés !
Car elle serait aussi ce témoignage aussi vivant que moi. Là aussi on me prendra pour un fou mais elle n'est plus une machine et, qu'importe qu'on ne le croit pas ! Je sais bien ce qu'elle est...
Sur le tarmaque du départ, les gens sont complètement assommés. Les véhicules sont sales, un peu abîmés...ils ont tous pris plein de claques dans la gueule, même les plus costauds, même les plus testostéronisés. Calmés, assis, en mouvements lents...sous hypnose.
C'était la grande branlée et ils l'ont tous pris. Tous.
Plus encore chez les motards. Silence comme après une bombe qui pète.
Ils avaient tous rencontré la magique de l'Islande, untel au détour d'un chemin de piste, un autre tel sur la mer...
Nous étions livrés entiers comme des enfants au bateau de la colo et le père tranquille allait nous ramener pour le goûter...Nous avions tous 10 ans.
Nous empruntions, toujours dans le même calme, le chemin du repos des motos. Nous étions tous frères et pas un ne dépassait l'autre, comme si nous étions alignés sur la même énergie, sans dire un mot, sans explication : tout le monde savait que toute le monde savait, il n'y avait plus besoin de mots et les bavardags s'étaient tus.
Trés impressionnant.
En place sur le dernier étage du bateau, les nouveaux arrivés qui étaient sortis complètement neufs d'impressions nous paraissaient agités : les douaniers les attendaient avec scanner :
...ou les chiens car ici, pas de drogue. Tolérence zéro : il n'y en a pas besoin.
Les moteurs s'ébranlent...
Juste le temps de regarder la ligne de crête et le navire commence à cheminer sans que l'on ne sente rien.
Je n'ai pas du tout l'impression de "rentrer".
Il va encore se passer des choses sur ce navire...et des choses toujours étonnantes...
...
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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
Reprise des hostilités ce soir... 

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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
Pas tant que ça, tu verras...Mr belette a écrit :ça sent la fin![]()
![]()
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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
par contre là ca sent la faim,vu l heure normal...... :p
Ural 6½ et ¾ L ♀ Thørep "Черная овца"
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Запад едидт с Востоком
Урал, отличный генератор положительных эмоций!
...Custodes...
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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
J'aime bien l'esprit de prévoyance du mec qui en a déjà connu pas mal : les démonte pneus accrochés à l'extérieur.
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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
He oui Bardé, j'en ai trop bavé avec les creuvaisons dans ma vie. Et puis rien ne m'énervait plus que de défaire 100 kg de bagages pour trouver ces p.... de démontes-pneus.
Bon, j'ai fait une erreur de manip pour la suite du reportage qui a été zapé : demain la suite. Nom de d...
Bon, j'ai fait une erreur de manip pour la suite du reportage qui a été zapé : demain la suite. Nom de d...
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J'ai survécu à des choses bien difficiles jusqu'à présent. Ce n'était pas de la chance, mais de la force...Je dispose de codes solides très simples qui ne courent pas les rues...
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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
Pas grave moi je ne languis pas d'arriver à la fin de ce voyage , j'aimerais bien qu'il continue encore!Est-Motorcycles a écrit :He oui Bardé, j'en ai trop bavé avec les creuvaisons dans ma vie. Et puis rien ne m'énervait plus que de défaire 100 kg de bagages pour trouver ces p.... de démontes-pneus.
Bon, j'ai fait une erreur de manip pour la suite du reportage qui a été zapé : demain la suite. Nom de d...
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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
C'est vrai Siam, c'est aussi ce que j'ai ressenti parce que la vie de ces hommes était inscrite dans le bois des lits, qui transpiraient encore leur courage...
Le navire quitte la baie presque sans bruit, comme pour ne pas nous réveiller, dans cette luminosité somptueuse et cet écrin de beauté...
Ultimes clins d'oeil de la magie des contrastes qui se manifestent simplement en tournant la tête, au mêmes instants.
Encore hypnotisés, nous nous dirigeons vers le large en ayant planté un cordon ombilical sur une des rives pour garder un lien éternellement actif
...par exemple là...
La mer approche : de gros oiseaux volent tout près en nous suivant, on peut quelquefois les toucher et si on a un morceau de pain, ils l'attrappent mais gare aux doigt, leur bec est redoutable !
La houle commence à s'intensifier, les odeurs changent, le vent se lève, la fraîcheur du large se fait ressentir pendant que la Grande Dame cherche à nous retenir par ses formes généreuses et limpides...
Je n'imaginais pas à quel point je serais amoureux. Je pleure en silence en éprouvant d'une manière trés claire le principe d'un retour.
...et voilà vite le large, la houle puissante et en même temps sereine. C'est la vie de la mer, de la Mère, mon pied est plus marin qu'à l'aller. Je me restaure pendant que de nombreux sont affalés tout pâles à l'intérieur.
Je me régale, il y a tout pour la vie en mer ! Pas cher du tout...
Plus loin, les énormes plates-formes pétrolières de la Mer du Nord. Pour ou contre, on ne peut pas ignorer la dureté des journées des gars qui vivent là...et puis l'essence de ma Ural provient peut-être de l'une d'elles...
Dehors, vent, bruine et froid : je rentre et me ballade dans les entrailles du bateau quand, scotché, je tombe sur cette affiche !!
Un Dnepr avec des nenettes dedans (et dessus) et des moutons, pour promouvoir la slendeur des Iles Féroé...Whouhououo...le side mis à l'honneur.
...et là, cette affiche qui t'explique comment tu dois conduire sur les Iles Féroé : imprimez-là, vous allez vous marrer, surtout dans les tunnels...
Le navire de la Smiryl Line est superbe et pratique : on y vit bien, librement, et nous sommes informés en temps réel sur ce qui se passe, sur les trajectoires, la météo, via des écrans mureaux trés lisibles :
Bel espace vital pour les cabines...je n'aime pas particulièrement faire de la publicité mais là, c'est de l'info.
Ayant avant de partir écrit à la Smiryl Line en leur disant que j'allais faire un reportage sur l'Islande, je n'y pensais plus lorsque, par haut parleur et en plusieurs langues, j'entends mon nom suivit de "réception" !
Mon sang ne fait qu'un tour...Perdu mon larfeuille, mes papiers, un accident à Manzat, Caoua qui a avalé de travers ????...je cours à la réception et une hotesse charmante me dit :
"le capitaine vous attend au post de pilotage à 15 heures".
NOM DE DIOU !
Une heure d'attente d'enfer quand, à 15 heures à la reception, à la seconde près, un officier vient me chercher et m'amène au point le plus haut et le plus en avant du navire...
J'étais fou, mon poul battait à 160 et j'étais à 10 bars lorsqu'il me fit entrer dans le poste de commandement.
Respiration bloquée, je fermais ma grande gueule, le Pacha allait me recevoir...Le cul n'aurait pas permi le passage d'un cheveu.
...à suivre...
Le navire quitte la baie presque sans bruit, comme pour ne pas nous réveiller, dans cette luminosité somptueuse et cet écrin de beauté...
Ultimes clins d'oeil de la magie des contrastes qui se manifestent simplement en tournant la tête, au mêmes instants.
Encore hypnotisés, nous nous dirigeons vers le large en ayant planté un cordon ombilical sur une des rives pour garder un lien éternellement actif
...par exemple là...
La mer approche : de gros oiseaux volent tout près en nous suivant, on peut quelquefois les toucher et si on a un morceau de pain, ils l'attrappent mais gare aux doigt, leur bec est redoutable !
La houle commence à s'intensifier, les odeurs changent, le vent se lève, la fraîcheur du large se fait ressentir pendant que la Grande Dame cherche à nous retenir par ses formes généreuses et limpides...
Je n'imaginais pas à quel point je serais amoureux. Je pleure en silence en éprouvant d'une manière trés claire le principe d'un retour.
...et voilà vite le large, la houle puissante et en même temps sereine. C'est la vie de la mer, de la Mère, mon pied est plus marin qu'à l'aller. Je me restaure pendant que de nombreux sont affalés tout pâles à l'intérieur.
Je me régale, il y a tout pour la vie en mer ! Pas cher du tout...
Plus loin, les énormes plates-formes pétrolières de la Mer du Nord. Pour ou contre, on ne peut pas ignorer la dureté des journées des gars qui vivent là...et puis l'essence de ma Ural provient peut-être de l'une d'elles...
Dehors, vent, bruine et froid : je rentre et me ballade dans les entrailles du bateau quand, scotché, je tombe sur cette affiche !!
Un Dnepr avec des nenettes dedans (et dessus) et des moutons, pour promouvoir la slendeur des Iles Féroé...Whouhououo...le side mis à l'honneur.
...et là, cette affiche qui t'explique comment tu dois conduire sur les Iles Féroé : imprimez-là, vous allez vous marrer, surtout dans les tunnels...
Le navire de la Smiryl Line est superbe et pratique : on y vit bien, librement, et nous sommes informés en temps réel sur ce qui se passe, sur les trajectoires, la météo, via des écrans mureaux trés lisibles :
Bel espace vital pour les cabines...je n'aime pas particulièrement faire de la publicité mais là, c'est de l'info.
Ayant avant de partir écrit à la Smiryl Line en leur disant que j'allais faire un reportage sur l'Islande, je n'y pensais plus lorsque, par haut parleur et en plusieurs langues, j'entends mon nom suivit de "réception" !
Mon sang ne fait qu'un tour...Perdu mon larfeuille, mes papiers, un accident à Manzat, Caoua qui a avalé de travers ????...je cours à la réception et une hotesse charmante me dit :
"le capitaine vous attend au post de pilotage à 15 heures".
NOM DE DIOU !
Une heure d'attente d'enfer quand, à 15 heures à la reception, à la seconde près, un officier vient me chercher et m'amène au point le plus haut et le plus en avant du navire...
J'étais fou, mon poul battait à 160 et j'étais à 10 bars lorsqu'il me fit entrer dans le poste de commandement.
Respiration bloquée, je fermais ma grande gueule, le Pacha allait me recevoir...Le cul n'aurait pas permi le passage d'un cheveu.
...à suivre...
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J'ai survécu à des choses bien difficiles jusqu'à présent. Ce n'était pas de la chance, mais de la force...Je dispose de codes solides très simples qui ne courent pas les rues...
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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
Putain t'es pire que 007
quelle classe ce Dan Bond
quelle classe ce Dan Bond

Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
Nom de ...! C'était donc toi ...!Mr belette a écrit :Putain t'es pire que 007
quelle classe ce Dan Bond

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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
Et encore, je ne vous explique pas les passes, les sas, les caméras et autres contrôles pour arriver au poste de pilotage : en effet, du 007... tout électronique et des cabines d'officiers dont certains ont des flingues...
Oh la la...
Oh la la...
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J'ai survécu à des choses bien difficiles jusqu'à présent. Ce n'était pas de la chance, mais de la force...Je dispose de codes solides très simples qui ne courent pas les rues...
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Re: ISLANDE DE GLACE et de FEU : la route...
Wouha la la,
Ca fait une semaine que je n'avais pas pu voir car pas là et des petits problèmes résolus aujourd'hui pour la réinsciption sur le forum, mais bon, j'avoue, j'ai pleuré les beaux moments du voyage.
Bravo et merci de ce fabuleux récit.
Les vortex, les cascades, les failles, les fumettes, la lumière, les animaux (Rhaaa le renard arctique...) sans parler des poissons...
Tout me parle !
Grand merci Dan !
Ca fait une semaine que je n'avais pas pu voir car pas là et des petits problèmes résolus aujourd'hui pour la réinsciption sur le forum, mais bon, j'avoue, j'ai pleuré les beaux moments du voyage.
Bravo et merci de ce fabuleux récit.
Les vortex, les cascades, les failles, les fumettes, la lumière, les animaux (Rhaaa le renard arctique...) sans parler des poissons...
Tout me parle !
Grand merci Dan !