FAITS DE GUERRE : honneur à nos combattants
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Tout comme la Belgique , la France à eus ces Colonies et tout ces Hommes et Femmes qui ont souffert et sont Mort dans ces Pays sont Mort pour rien au Final
ils n'ont libérer personne , ils y sont Mort parce qu'on les y obligeais ,c'était les ordres ...
les idéaux et autres fatras inventé de toute pièce pour continuer le business dans ces pays occupés et Colonisés
ils y sont Mort pour que de riches négociant (les premiers gros négociant et Pilleurs c'était les ÉTATS) on envoyais les Militaire pour que les Pilleurs de richesse puissent continuer à y faire leurs Beurre , on fessait croire et on le fait toujours ! que c'était pour Barrer la route au communisme ou Autre Conneries (aujourd'hui par exemple on à laisser un Dictateur immonde , une Pourriture infecte qui Massacre son Peuple en ce Moment Même ,un Fumier qui payais pour qu'on mette des Bombes dans les Avions de ligne
on l'a laisser planter sa tente sur les pelouse de l'Élysée pour son Pétrole et sont sois disant rempart contre L'islamisme) , les Glorieux Soldats de Dien Bien Phu des deux bord sont Mort pour des Politiques Colonialiste d'un autre Temps , ces Hommes et ces Femmes ont cru en leurs Missions et on leurs Mentait ...
les Vietnamiens eux tentaient de libérer leurs pays , ils avaient un but plus respectable et avec ça ils ont mis la pâtée à des Armées bien plus puissante
c'était la politique du tiroir caisse , et c'est toujours la politique
du tiroir caisse
Aujourd'hui encore on nous Ment on le sais Tous !
et pourtant les choses continuent comme si de rien n'était , J'admire ces Peuples qui se libèrent chez eux au prix de leurs propre sang , pourvu que leurs liberté ne leurs sois pas confisquée par le P'tain de Mercantilisme des Hommes ,
ce Monde est Immonde ,on manque pas de pétrole mais les requins boursicotent sur basse de la Libye et se font des couilles en Or... il y à de la Bouffe à ne plus savoir qu'en faire et les requins Boursicotent toujours et les gens crèvent de Faim "Ailleurs" et si ils Gueulent on les Flingues et c'est Normal que les choses se passent ainsi c'est le Business parait-il..
dans un autre registre je lisais Hier que 80 Riches Belge avaient payer jusqu'à 75.000 Euros Chacun, pour pouvoir Flinguer un Lion si possible Mâle dans les pays d'Afrique et se faire prendre en photo avec la Dépouille...
il y aurais même des Lion qui ont été Drogués et Attaché pour que ces Pourris puissent les Flinguer sans risques
des Hommes d'état de ces Pays d'Afrique vendent ces parties de Chasse pitoyable à ces Salauds Friqué
le nombres de Mâles diminuant la population de Lion risque de disparaitre (déséquilibre entre Mâles et femelles)
quand on lis ce genre de Truc dégueulasse on se dit c'est Certain que L'Homme ne changera jamais
On Pourri cette Planète on est son Bourreau , sa Vermine ,
on commence à grouiller sur elle
on la Fera Crever c'est sur et Certain et nous pourriront tous et il est peut être déjà trop tard pour y changer quoique ce soit
on se Multiplie comme la peste et notre avenir , celui de nos enfants est bien sombre .
ils n'ont libérer personne , ils y sont Mort parce qu'on les y obligeais ,c'était les ordres ...
les idéaux et autres fatras inventé de toute pièce pour continuer le business dans ces pays occupés et Colonisés
ils y sont Mort pour que de riches négociant (les premiers gros négociant et Pilleurs c'était les ÉTATS) on envoyais les Militaire pour que les Pilleurs de richesse puissent continuer à y faire leurs Beurre , on fessait croire et on le fait toujours ! que c'était pour Barrer la route au communisme ou Autre Conneries (aujourd'hui par exemple on à laisser un Dictateur immonde , une Pourriture infecte qui Massacre son Peuple en ce Moment Même ,un Fumier qui payais pour qu'on mette des Bombes dans les Avions de ligne
on l'a laisser planter sa tente sur les pelouse de l'Élysée pour son Pétrole et sont sois disant rempart contre L'islamisme) , les Glorieux Soldats de Dien Bien Phu des deux bord sont Mort pour des Politiques Colonialiste d'un autre Temps , ces Hommes et ces Femmes ont cru en leurs Missions et on leurs Mentait ...
les Vietnamiens eux tentaient de libérer leurs pays , ils avaient un but plus respectable et avec ça ils ont mis la pâtée à des Armées bien plus puissante
c'était la politique du tiroir caisse , et c'est toujours la politique
du tiroir caisse
Aujourd'hui encore on nous Ment on le sais Tous !
et pourtant les choses continuent comme si de rien n'était , J'admire ces Peuples qui se libèrent chez eux au prix de leurs propre sang , pourvu que leurs liberté ne leurs sois pas confisquée par le P'tain de Mercantilisme des Hommes ,
ce Monde est Immonde ,on manque pas de pétrole mais les requins boursicotent sur basse de la Libye et se font des couilles en Or... il y à de la Bouffe à ne plus savoir qu'en faire et les requins Boursicotent toujours et les gens crèvent de Faim "Ailleurs" et si ils Gueulent on les Flingues et c'est Normal que les choses se passent ainsi c'est le Business parait-il..
dans un autre registre je lisais Hier que 80 Riches Belge avaient payer jusqu'à 75.000 Euros Chacun, pour pouvoir Flinguer un Lion si possible Mâle dans les pays d'Afrique et se faire prendre en photo avec la Dépouille...
il y aurais même des Lion qui ont été Drogués et Attaché pour que ces Pourris puissent les Flinguer sans risques
des Hommes d'état de ces Pays d'Afrique vendent ces parties de Chasse pitoyable à ces Salauds Friqué
le nombres de Mâles diminuant la population de Lion risque de disparaitre (déséquilibre entre Mâles et femelles)
quand on lis ce genre de Truc dégueulasse on se dit c'est Certain que L'Homme ne changera jamais
On Pourri cette Planète on est son Bourreau , sa Vermine ,
on commence à grouiller sur elle
on la Fera Crever c'est sur et Certain et nous pourriront tous et il est peut être déjà trop tard pour y changer quoique ce soit
on se Multiplie comme la peste et notre avenir , celui de nos enfants est bien sombre .
salut CHUCK,vas voir sur le site de fr3,(videos) dans recherche
berny et son OURAL , le BLACK PEARL
http://bernard.billay.free.fr/
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en mémoire d'un de mes chef, le sergent Claude Lasne, le récit de la bataille de souk ahras
" Le Sergent Lasne ainsi que le Lieutenant Saboureau décrivent ainsi l'action qu'ils ont vécue :
« Après un vol d'une vingtaine de minutes, nous sommes posés sur le Djebel Mouadjène. La végétation est dense, petits arbustes et buissons plus ou moins desséchés. La visibilité est réduite. Le largage est assez mouvementé. Le Capitaine BEAUMONT embarque dans la première rotation des 6 « bananes » (hélicoptères) du GH2 de Sétif, avec la 1e section du Sous-Lieutenant Thierry et sa section de « commandement ».Quelques instants après embarquent dans la première « banane » de la 2e rotation le Lieutenant Saboureau chef de la 2e Section, sa petite « commandement » et une équipe. Suivent dans la 2e, le Sergent Manneville avec le reste de la voltige et dans la 3e, le Sergent Lasne avec le groupe feu. Ensuite, la 3e Section de Chatagno avec Rouchette.
« Les deux premières « bananes » se posent sans encombre, mais la suivante se fait sérieusement accrocher et le reste du largage qui ne peut plus être interrompu, se passe sous un feu nourri. Certains appareils rentreront criblés de balles. Un parachutiste est blessé avant d'avoir sauté. Il sera d'ailleurs de nouveau touché sur le terrain quelques instants plus tard. Nous bondissons vers le Capitaine aperçu au bord de la clairière. Il est debout et essaie « d'accrocher » les appuis avec un SCR 536 (son SCR 300 est déjà détruit). Il serre avec un foulard une blessure au cou qui ruisselle sur sa tenue « J'ai été blessé deux fois, me dit-il » comme un constat sans gravité « Allez dégagez Thierry ! ».
« Le reste de la section n'a pas encore rejoint. Nous pénétrons à quelques-uns dans les fourrés et tombons immédiatement sur des corps de gars de la 1e Section. De grosses grenades à fusil, atterrissent lentement et déchiquètent les arbustes dans une envolée de feuilles et de branches. J'arrive à hauteur de Thierry. Quelques-uns de ses hommes entourent son corps, désorientés par la mort de leur chef. A ce moment-là la densité du feu semble faiblir et permet de reprendre en mains les éléments de la 1e Section encore indemnes et de récupérer le reste de la 2e Section qui a rejoint.
« Que s'est-il passé ? Nous sommes tombés en plein dispositif ennemi. Très supérieurs en nombre, très bien équipés et armés, les fellaghas dissimulés dans les arbousiers ont usé d'un stratagème. Notre habitude de l'emporter sur l'adversaire est telle que lorsque, à quelques mètres, les rebelles se découvrent, vision impressionnante de casquettes kaki et feignent de se rendre les bras levés, nos parachutistes cessent de tirer et se lèvent pour les capturer. A ce moment-là, un coup de sifflet strident déclenche avec une violence extrême des tirs à la cadence très rapide de mitrailleuse MG 42 ? excellente arme allemande qui équipe fréquemment l'ALN ? qui déciment les nôtres.
« Maintenant entièrement posée, la compagnie, soit environ 90 hommes, est complètement encerclée, ce qui gêne l'aviation. Les combats se déroulent à courte distance, presque au corps à corps, sans liaison entre les sections et avec des initiatives individuelles d'officiers, de sous-officiers et même d'hommes de troupe. Les actes d'héroïsme ne se comptent plus.
« Les rescapés des différentes sections, après avoir ferraillé au corps à corps, se retrouvent sur un espace découvert autour du Capitaine BEAUMONT grièvement blessé à la tête mais continuant, soutenu par son radio, la liaison avec le P.C. Les cadavres jonchent le sol et nous récupérons sur eux les chargeurs qui commencent à faire défaut.
« Le Capitaine BEAUMONT ordonne la percée vers l'oued proche, au sud. Il est tué après avoir donné ses derniers ordres et après avoir demandé par radio un impossible parachutage de munitions. Son radio le Chasseur Desmares, meurt à ses côtés. La fin de la 3e Compagnie approche. Déjà beaucoup sont tombés. Le Sergent Pfender, le Sergent Colle, l'idole de ses hommes qui l'auraient suivi n'importe où et dont la perte est très lourde ; le Sous-Lieutenant Thierry, chef remarquable en même temps que séminariste, au visage enfantin, l'anti-thèse du para tel qu'il est souvent présenté par certains ; le 2e Classe Briswalter, fustigeant ses camarades et ne voulant pas céder un pouce de terrain, le Caporal Andrejak qui, avant de mourir, cache son canon de 57 dans les buissons, le 2e Classe Rioton, tireur au fusil-mitrailleur, tué à sa pièce au moment où il protégeait le regroupement de la compagnie ; beaucoup d'autres encore dont les noms ne peuvent tous être cités ici.
« A la tombée de la nuit, quand tout le bouclage est en place, le Colonel Buchoud demande aux survivants regroupés d'aller chercher le corps du Capitaine resté sur le terrain : « Les parachutistes n'abandonnent pas le corps de leur chef. Nous allons ensemble chercher votre Capitaine ». Tous ces hommes, qui viennent de s'en tirer miraculeusement, repartent sans hésiter derrière le Colonel. Mais la nuit et le nombre d'unités sur le terrain empêchent l'opération de se poursuivre. A ce moment-là le Capitaine GUEGUEN qui vient de s'installer appelle le Colonel : « Je suis près de BEAUMONT, sa main est dans la mienne et je l'ai interrogé « BEAUMONT veux-tu rester ta dernière nuit sur le terrain en soldat avec tes camarades ou préfères-tu la passer à la morgue de Souk-Ahras ? », j'ai cru l'entendre répondre qu'il préférait être avec nous ».
La man?uvre convergent de la 2e Compagnie du 9e R.C.P. (Capitaine Gueguen) renforcée par la 1e Compagnie du 1e REP (Capitaine Glasser) qui vient directement de la Guelma, force aux prix de pertes assez sévères l'encerclement de la 3. Participent à l'action : l'escadron du 152e RIM (Capitaine Collomb) qui arrive le long de la crête, de toute la vitesse de ses chars ; la 4e Compagnie du 9e R.C.P. (Lieutenant Lefur) qui, sur écoute radio, vole au secours de la compagnie accrochée ; et l'unité du Lieutenant Clémencin qui monte au feu en venant du poste de la Tuilerie, dans l'oued Chouk. Les survivants de la 3e Compagnie peuvent ainsi se dégager.
Il est 18h. La 3e Compagnie vient de perdre 28 hommes ; elle compte également 28 blessés.
Mais dans la zone intéressée, l'adversaire est fixé. Il est sous notre feu. Tout mouvement lui est interdit. L'affaire n'est pas terminée pour autant. Il ne reste que deux heures de jour durant lesquelles un bouclage serré et sans failles devra être mis en place pour briser toutes les tentatives de fuite.
Le seul plan qui s'impose est de fermer la zone à l'est par le barrage électrifié, en le faisant surveiller par des patrouilles mobiles blindées, et de continuer le bouclage au nord et à l'ouest par un cordon d'unités disposés tout le long de la route de Souk-Ahras à Sédrata, soit 10 à 15 Kms qu'il faut tenir pour envelopper suffisamment le terrain. Au sud, sur le Mouadjène, la nasse sera fermée en tous terrains par les unités (deux compagnies du 9e R.C.P., le 14e RCP, le I/152e) maintenues sur place en fin de journée.
Le Général Vanuxem est sur le terrain et assume le commandement de l'ensemble. Les unités affluant de toutes parts sont placées en bouclage au fur et à mesure de leur arrivée. Six bataillons d'infanterie, trois régiments de parachutistes, la valeur d'un groupe blindé, soit plus de trente compagnies ou escadrons, prendront place au coude à coude dans ce dispositif d'interception de nuit.
A 20h, cependant, aux approches de la nuit, un trou de plusieurs kilomètres est béant. Le 1e REP qui est en route, venant de Guelma doit l'occuper. L'échec peut venir de cette brèche qu'il faut colmater d'urgence. C'est là que se situe le stratagème du 9e R.C.P. Le Colonel Buchoud fait disposer tous les véhicules vides de son régiment (150 jeeps, camionnettes, camions) à intervalles de 20 à 30 mètres. Chaque véhicule, défendu par un seul chauffeur, l'arme à la main, a les phares allumés et tournés vers le terrain à surveiller. La chance est de notre côté la nuit est claire.
Le Général Vanuxem fait compléter ce plan de feu lumineux par des projecteurs de DCA qu'il a fait venir de Bône et qui sont mis en batterie sur une hauteur pour éclairer les fonds et interdire tout mouvement. A 21h, le bouclage est en place. Il va se révéler efficace puisque, dans la nuit, six tentatives de franchissement seront repoussées.
La fin de l'affaire est simple. Au lever de la journée du 30 Avril, jour de fête pour la Légion, honneur devait être laissé au 1e REP qui, encadré de quelques unités, a serré la nasse comme un point se ferme et pressé l'adversaire sur le barrage électrifié infranchissable, où il le détruira.
En fin de journée, les pertes rebelles se chiffraient par 257 tués et 11 prisonniers, tandis que 10 mitrailleuses, 11 FM, un mortier, 4 armes anti-chars et 265 armes individuelles étaient récupérées.
Le coup est très dur pour l'ALN et tout semble terminé. Mais, aussi insensé que cela puisse paraître, le lendemain, 1e Mai, dans la nuit, une nouvelle bande franchit le barrage au même endroit que l'avant-veille. La riposte est immédiate et confiée au 2e REP qui est arrivé de Philippeville en renfort. En fin de journée, le FLN a perdu de nouveau 80 hommes et laissé 7 armes automatiques et 40 armes individuelles.
Le 3 Mai enfin, dernier acte. Un renseignement signale que des unités rebelles, ayant échappé à nos actions, se sont réfugiées dans les mines du Nador. Une action est montée par le Colonel Buchoud à Souk-Ahras et confiée aux 14e et 18e RCP. En fin de journée, l'ALN laisse sur le terrain 90 des siens avec 57 armes.
Ainsi en 6 jours, du 28 Avril au 3 Mai, ce sont 620 combattants que le FLN a perdus tandis que 484 armes de guerre étaient récupérées par nos troupes. L'ALN ne tentera plus aucun passage. Le barrage est étanche : mission remplie.
Cette victoire d'une ampleur unique dans la guerre d'Algérie aura été acquise aux prix des sacrifices du 9e R.C.P., qui perdait le Capitaine BEAUMONT et 32 de ses hommes, tandis que 40 autres avaient été blessés. Le régiment avait seul assumé la charge pendant quelques heures, de tout l'enjeu de cette phase de la guerre. Ses qualités man?uvrières et la vaillance de ses hommes avaient permis aux communiqués de la fin de la journée du 29 d'annoncer que le pari était gagné. Le 9e R.C.P., régiment du contingent, avait répondu à la confiance que le commandement lui avait faite."
" Le Sergent Lasne ainsi que le Lieutenant Saboureau décrivent ainsi l'action qu'ils ont vécue :
« Après un vol d'une vingtaine de minutes, nous sommes posés sur le Djebel Mouadjène. La végétation est dense, petits arbustes et buissons plus ou moins desséchés. La visibilité est réduite. Le largage est assez mouvementé. Le Capitaine BEAUMONT embarque dans la première rotation des 6 « bananes » (hélicoptères) du GH2 de Sétif, avec la 1e section du Sous-Lieutenant Thierry et sa section de « commandement ».Quelques instants après embarquent dans la première « banane » de la 2e rotation le Lieutenant Saboureau chef de la 2e Section, sa petite « commandement » et une équipe. Suivent dans la 2e, le Sergent Manneville avec le reste de la voltige et dans la 3e, le Sergent Lasne avec le groupe feu. Ensuite, la 3e Section de Chatagno avec Rouchette.
« Les deux premières « bananes » se posent sans encombre, mais la suivante se fait sérieusement accrocher et le reste du largage qui ne peut plus être interrompu, se passe sous un feu nourri. Certains appareils rentreront criblés de balles. Un parachutiste est blessé avant d'avoir sauté. Il sera d'ailleurs de nouveau touché sur le terrain quelques instants plus tard. Nous bondissons vers le Capitaine aperçu au bord de la clairière. Il est debout et essaie « d'accrocher » les appuis avec un SCR 536 (son SCR 300 est déjà détruit). Il serre avec un foulard une blessure au cou qui ruisselle sur sa tenue « J'ai été blessé deux fois, me dit-il » comme un constat sans gravité « Allez dégagez Thierry ! ».
« Le reste de la section n'a pas encore rejoint. Nous pénétrons à quelques-uns dans les fourrés et tombons immédiatement sur des corps de gars de la 1e Section. De grosses grenades à fusil, atterrissent lentement et déchiquètent les arbustes dans une envolée de feuilles et de branches. J'arrive à hauteur de Thierry. Quelques-uns de ses hommes entourent son corps, désorientés par la mort de leur chef. A ce moment-là la densité du feu semble faiblir et permet de reprendre en mains les éléments de la 1e Section encore indemnes et de récupérer le reste de la 2e Section qui a rejoint.
« Que s'est-il passé ? Nous sommes tombés en plein dispositif ennemi. Très supérieurs en nombre, très bien équipés et armés, les fellaghas dissimulés dans les arbousiers ont usé d'un stratagème. Notre habitude de l'emporter sur l'adversaire est telle que lorsque, à quelques mètres, les rebelles se découvrent, vision impressionnante de casquettes kaki et feignent de se rendre les bras levés, nos parachutistes cessent de tirer et se lèvent pour les capturer. A ce moment-là, un coup de sifflet strident déclenche avec une violence extrême des tirs à la cadence très rapide de mitrailleuse MG 42 ? excellente arme allemande qui équipe fréquemment l'ALN ? qui déciment les nôtres.
« Maintenant entièrement posée, la compagnie, soit environ 90 hommes, est complètement encerclée, ce qui gêne l'aviation. Les combats se déroulent à courte distance, presque au corps à corps, sans liaison entre les sections et avec des initiatives individuelles d'officiers, de sous-officiers et même d'hommes de troupe. Les actes d'héroïsme ne se comptent plus.
« Les rescapés des différentes sections, après avoir ferraillé au corps à corps, se retrouvent sur un espace découvert autour du Capitaine BEAUMONT grièvement blessé à la tête mais continuant, soutenu par son radio, la liaison avec le P.C. Les cadavres jonchent le sol et nous récupérons sur eux les chargeurs qui commencent à faire défaut.
« Le Capitaine BEAUMONT ordonne la percée vers l'oued proche, au sud. Il est tué après avoir donné ses derniers ordres et après avoir demandé par radio un impossible parachutage de munitions. Son radio le Chasseur Desmares, meurt à ses côtés. La fin de la 3e Compagnie approche. Déjà beaucoup sont tombés. Le Sergent Pfender, le Sergent Colle, l'idole de ses hommes qui l'auraient suivi n'importe où et dont la perte est très lourde ; le Sous-Lieutenant Thierry, chef remarquable en même temps que séminariste, au visage enfantin, l'anti-thèse du para tel qu'il est souvent présenté par certains ; le 2e Classe Briswalter, fustigeant ses camarades et ne voulant pas céder un pouce de terrain, le Caporal Andrejak qui, avant de mourir, cache son canon de 57 dans les buissons, le 2e Classe Rioton, tireur au fusil-mitrailleur, tué à sa pièce au moment où il protégeait le regroupement de la compagnie ; beaucoup d'autres encore dont les noms ne peuvent tous être cités ici.
« A la tombée de la nuit, quand tout le bouclage est en place, le Colonel Buchoud demande aux survivants regroupés d'aller chercher le corps du Capitaine resté sur le terrain : « Les parachutistes n'abandonnent pas le corps de leur chef. Nous allons ensemble chercher votre Capitaine ». Tous ces hommes, qui viennent de s'en tirer miraculeusement, repartent sans hésiter derrière le Colonel. Mais la nuit et le nombre d'unités sur le terrain empêchent l'opération de se poursuivre. A ce moment-là le Capitaine GUEGUEN qui vient de s'installer appelle le Colonel : « Je suis près de BEAUMONT, sa main est dans la mienne et je l'ai interrogé « BEAUMONT veux-tu rester ta dernière nuit sur le terrain en soldat avec tes camarades ou préfères-tu la passer à la morgue de Souk-Ahras ? », j'ai cru l'entendre répondre qu'il préférait être avec nous ».
La man?uvre convergent de la 2e Compagnie du 9e R.C.P. (Capitaine Gueguen) renforcée par la 1e Compagnie du 1e REP (Capitaine Glasser) qui vient directement de la Guelma, force aux prix de pertes assez sévères l'encerclement de la 3. Participent à l'action : l'escadron du 152e RIM (Capitaine Collomb) qui arrive le long de la crête, de toute la vitesse de ses chars ; la 4e Compagnie du 9e R.C.P. (Lieutenant Lefur) qui, sur écoute radio, vole au secours de la compagnie accrochée ; et l'unité du Lieutenant Clémencin qui monte au feu en venant du poste de la Tuilerie, dans l'oued Chouk. Les survivants de la 3e Compagnie peuvent ainsi se dégager.
Il est 18h. La 3e Compagnie vient de perdre 28 hommes ; elle compte également 28 blessés.
Mais dans la zone intéressée, l'adversaire est fixé. Il est sous notre feu. Tout mouvement lui est interdit. L'affaire n'est pas terminée pour autant. Il ne reste que deux heures de jour durant lesquelles un bouclage serré et sans failles devra être mis en place pour briser toutes les tentatives de fuite.
Le seul plan qui s'impose est de fermer la zone à l'est par le barrage électrifié, en le faisant surveiller par des patrouilles mobiles blindées, et de continuer le bouclage au nord et à l'ouest par un cordon d'unités disposés tout le long de la route de Souk-Ahras à Sédrata, soit 10 à 15 Kms qu'il faut tenir pour envelopper suffisamment le terrain. Au sud, sur le Mouadjène, la nasse sera fermée en tous terrains par les unités (deux compagnies du 9e R.C.P., le 14e RCP, le I/152e) maintenues sur place en fin de journée.
Le Général Vanuxem est sur le terrain et assume le commandement de l'ensemble. Les unités affluant de toutes parts sont placées en bouclage au fur et à mesure de leur arrivée. Six bataillons d'infanterie, trois régiments de parachutistes, la valeur d'un groupe blindé, soit plus de trente compagnies ou escadrons, prendront place au coude à coude dans ce dispositif d'interception de nuit.
A 20h, cependant, aux approches de la nuit, un trou de plusieurs kilomètres est béant. Le 1e REP qui est en route, venant de Guelma doit l'occuper. L'échec peut venir de cette brèche qu'il faut colmater d'urgence. C'est là que se situe le stratagème du 9e R.C.P. Le Colonel Buchoud fait disposer tous les véhicules vides de son régiment (150 jeeps, camionnettes, camions) à intervalles de 20 à 30 mètres. Chaque véhicule, défendu par un seul chauffeur, l'arme à la main, a les phares allumés et tournés vers le terrain à surveiller. La chance est de notre côté la nuit est claire.
Le Général Vanuxem fait compléter ce plan de feu lumineux par des projecteurs de DCA qu'il a fait venir de Bône et qui sont mis en batterie sur une hauteur pour éclairer les fonds et interdire tout mouvement. A 21h, le bouclage est en place. Il va se révéler efficace puisque, dans la nuit, six tentatives de franchissement seront repoussées.
La fin de l'affaire est simple. Au lever de la journée du 30 Avril, jour de fête pour la Légion, honneur devait être laissé au 1e REP qui, encadré de quelques unités, a serré la nasse comme un point se ferme et pressé l'adversaire sur le barrage électrifié infranchissable, où il le détruira.
En fin de journée, les pertes rebelles se chiffraient par 257 tués et 11 prisonniers, tandis que 10 mitrailleuses, 11 FM, un mortier, 4 armes anti-chars et 265 armes individuelles étaient récupérées.
Le coup est très dur pour l'ALN et tout semble terminé. Mais, aussi insensé que cela puisse paraître, le lendemain, 1e Mai, dans la nuit, une nouvelle bande franchit le barrage au même endroit que l'avant-veille. La riposte est immédiate et confiée au 2e REP qui est arrivé de Philippeville en renfort. En fin de journée, le FLN a perdu de nouveau 80 hommes et laissé 7 armes automatiques et 40 armes individuelles.
Le 3 Mai enfin, dernier acte. Un renseignement signale que des unités rebelles, ayant échappé à nos actions, se sont réfugiées dans les mines du Nador. Une action est montée par le Colonel Buchoud à Souk-Ahras et confiée aux 14e et 18e RCP. En fin de journée, l'ALN laisse sur le terrain 90 des siens avec 57 armes.
Ainsi en 6 jours, du 28 Avril au 3 Mai, ce sont 620 combattants que le FLN a perdus tandis que 484 armes de guerre étaient récupérées par nos troupes. L'ALN ne tentera plus aucun passage. Le barrage est étanche : mission remplie.
Cette victoire d'une ampleur unique dans la guerre d'Algérie aura été acquise aux prix des sacrifices du 9e R.C.P., qui perdait le Capitaine BEAUMONT et 32 de ses hommes, tandis que 40 autres avaient été blessés. Le régiment avait seul assumé la charge pendant quelques heures, de tout l'enjeu de cette phase de la guerre. Ses qualités man?uvrières et la vaillance de ses hommes avaient permis aux communiqués de la fin de la journée du 29 d'annoncer que le pari était gagné. Le 9e R.C.P., régiment du contingent, avait répondu à la confiance que le commandement lui avait faite."
Dernière modification par geuledebois le 08 mars 2011, 10:48, modifié 1 fois.
Jawa pas vite, MAIS Jawa loin...
" SI UN IMPOT SUR LA CONNERIE EXISTAIT, L’ÉTAT S'AUTOFINANCERAIT".
" SI UN IMPOT SUR LA CONNERIE EXISTAIT, L’ÉTAT S'AUTOFINANCERAIT".
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- Localisation : Elsass bossue
le capitaine Malika Souadji est née dans le 93 , voilà trente-sept ans.
Elle porte le béret rouge depuis quinze ans? ainsi qu'un nom algérien
Militaire du rang, sous-officier? puis, admise à l'école militaire interarmes de Saint-Cyr Coëtquidan, elle a encore voulu « voir jusqu'où elle pouvait aller »...
Jusqu'à obtenir au classement l'unique place d'officier para disponible.
un bel exemple d'intégration des femmes dans notre société et la preuve que le travail "paye"...
son père doit être fier...

Elle porte le béret rouge depuis quinze ans? ainsi qu'un nom algérien
Militaire du rang, sous-officier? puis, admise à l'école militaire interarmes de Saint-Cyr Coëtquidan, elle a encore voulu « voir jusqu'où elle pouvait aller »...
Jusqu'à obtenir au classement l'unique place d'officier para disponible.
un bel exemple d'intégration des femmes dans notre société et la preuve que le travail "paye"...
son père doit être fier...

Dernière modification par geuledebois le 08 mars 2011, 12:41, modifié 1 fois.
Jawa pas vite, MAIS Jawa loin...
" SI UN IMPOT SUR LA CONNERIE EXISTAIT, L’ÉTAT S'AUTOFINANCERAIT".
" SI UN IMPOT SUR LA CONNERIE EXISTAIT, L’ÉTAT S'AUTOFINANCERAIT".
http://dai.ly/bPbiS0
Importé tout droit des États-Unis, le storytelling, l?art d?instrumentaliser des faits ou de raconter de belles histoires inventées de toute pièce afin de toucher ou faire rêver la populace a fait des émules en France. C?est une découverte pour personne ?
Chaque histoire à sa raison d?être, le but inavoué étant de manipuler les foules. Il peut s?agir de toucher une catégorie de population pour s?assurer des voix lors des prochaines élections, d? indigner l?opinion publique pour favoriser une entrée en guerre, etc ..
Dernière modification par Arvell'houlala le 12 mars 2011, 17:33, modifié 1 fois.
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En ces temps troubles qui engage, sans consulter le peuple Français, nos soldats en Libye , je pense au Premier officier parachutiste français tombé au combat :
L'Aspirant André ZIRNHELD tombé le 27 JUILLET 1942 à sidi hameich Libye
sur son corps on retrouva un texte légendaire qu?il avait écris:
La Prière du Para
- Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste
- Donnez-moi ce qu?on ne vous demande jamais.
- Je ne vous demande pas le repos
- Ni la tranquillité
- Ni celle de l?âme, ni celle du corps.
- Je ne vous demande pas la richesse
- Ni le succès, ni même la santé.
- Tout ça, mon Dieu, on vous le demande tellement
- Que vous ne devez plus en avoir.
- Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste
- Donnez-moi ce qu?on vous refuse.
- Je veux l?insécurité et l?inquiétude.
- Je veux la tourmente et la bagarre.
- Et que vous me les donniez, mon Dieu, définitivement.
- Que je suis sûr de les avoir toujours
- Car je n?aurai pas toujours le courage
- De vous les demander.
- Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste.
- Donnez-moi ce dont les autres ne veulent pas.
- Mais donnez-moi aussi le courage
- Et la force et la Foi
un autre de ses textes, moins connu, fut également le credo de nombreux jeunes de ma génération:
?.la légalité est un confort dont il faudra savoir se priver?
L'Aspirant André ZIRNHELD tombé le 27 JUILLET 1942 à sidi hameich Libye
sur son corps on retrouva un texte légendaire qu?il avait écris:
La Prière du Para
- Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste
- Donnez-moi ce qu?on ne vous demande jamais.
- Je ne vous demande pas le repos
- Ni la tranquillité
- Ni celle de l?âme, ni celle du corps.
- Je ne vous demande pas la richesse
- Ni le succès, ni même la santé.
- Tout ça, mon Dieu, on vous le demande tellement
- Que vous ne devez plus en avoir.
- Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste
- Donnez-moi ce qu?on vous refuse.
- Je veux l?insécurité et l?inquiétude.
- Je veux la tourmente et la bagarre.
- Et que vous me les donniez, mon Dieu, définitivement.
- Que je suis sûr de les avoir toujours
- Car je n?aurai pas toujours le courage
- De vous les demander.
- Donnez-moi, mon Dieu, ce qui vous reste.
- Donnez-moi ce dont les autres ne veulent pas.
- Mais donnez-moi aussi le courage
- Et la force et la Foi
un autre de ses textes, moins connu, fut également le credo de nombreux jeunes de ma génération:
?.la légalité est un confort dont il faudra savoir se priver?
Jawa pas vite, MAIS Jawa loin...
" SI UN IMPOT SUR LA CONNERIE EXISTAIT, L’ÉTAT S'AUTOFINANCERAIT".
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Si si...la sainteté chez les paras existe aussi, même si on ne la comprend pas...et même s'il en est qui sont contre !
Petite reflexion du matin...si je suis en accord avec la présence française en Afgha telle qu'elle est actuellement, et si j'ai été d'accord avec les frappes éclaires en Lybie, je reste beaucoup plus réservé sur le fait que la France s'enlise dans le conflit libyen via l'OTAN et encore plus circonspect avec son intervention en Côte d'Ivoire ou, à mon sens, nous ne devrions pas intervenir. En effet, le fait qu'un grande partie de la population ivoirienne soit pro-Gbagbo engendrera assez fatalement une guerre civile dans laquelle la France est grillée d'avance...
Petite reflexion du matin...si je suis en accord avec la présence française en Afgha telle qu'elle est actuellement, et si j'ai été d'accord avec les frappes éclaires en Lybie, je reste beaucoup plus réservé sur le fait que la France s'enlise dans le conflit libyen via l'OTAN et encore plus circonspect avec son intervention en Côte d'Ivoire ou, à mon sens, nous ne devrions pas intervenir. En effet, le fait qu'un grande partie de la population ivoirienne soit pro-Gbagbo engendrera assez fatalement une guerre civile dans laquelle la France est grillée d'avance...
http://www.est-motorcycles.fr/
Une ex-petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, maintenant inventeur, alchimiste.
J'ai survécu à des choses bien difficiles jusqu'à présent. Ce n'était pas de la chance, mais de la force...Je dispose de codes solides très simples qui ne courent pas les rues...
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Une ex-petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, maintenant inventeur, alchimiste.
J'ai survécu à des choses bien difficiles jusqu'à présent. Ce n'était pas de la chance, mais de la force...Je dispose de codes solides très simples qui ne courent pas les rues...
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il y a 50 ans, un nombre important de français ont tenté, de sauver l?intégrité nationale, fidèles a la mission que les "politiques responsables" leur avait confiés...
pèle mêle, des officiers , sous officiers , hommes de troupes , civils s?engagèrent coude a coude, sacrifiant leur avenir ou leur carrière au bien public....
dans la tourmente qui a suivi, une conception de la nation, de l'armée du peuple et de la république disparut emmenant dans la tombe trop de camarades, d?unités d'élite toujours vivants dans le c?ur de ceux qui ont cru a la fraternité....
ce fut le putsch d?Alger...
pèle mêle, des officiers , sous officiers , hommes de troupes , civils s?engagèrent coude a coude, sacrifiant leur avenir ou leur carrière au bien public....
dans la tourmente qui a suivi, une conception de la nation, de l'armée du peuple et de la république disparut emmenant dans la tombe trop de camarades, d?unités d'élite toujours vivants dans le c?ur de ceux qui ont cru a la fraternité....
ce fut le putsch d?Alger...
Jawa pas vite, MAIS Jawa loin...
" SI UN IMPOT SUR LA CONNERIE EXISTAIT, L’ÉTAT S'AUTOFINANCERAIT".
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Après le 1cl Clément CHAMARIER du 27e Bataillon de Chasseurs Alpins décédé le 19 Février, c'est le Caporal Alexandre RIVIERE, du 2e Régiment d'Infanterie de Marine qui est décéde ce mercredi.
Dernière modification par lancelotc1 le 22 avr. 2011, 10:12, modifié 1 fois.
"Le guerrier est grand non parce qu'il tue, mais parce qu'il meurt. Ou parce qu'il sait qu'il va mourir. Et y consent. Et que ce n'est pas si simple que cela, d'accepter de mourir"
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la France me fait mal...
nous ne somment qu'une minorité a honorer ceux qui tombent et , surtout a s'intéresser à ceux qui sont frappés dans leur chair..
quand j?étais jeune, le peuple prenait partie, ne serais ce pour nous injurier.
aujourd?hui il ne vit que pour lui....
devant la télé qui parle des "people" car il ne parle même plus sa langue....
garde toi bien, on t'attend....
nous ne somment qu'une minorité a honorer ceux qui tombent et , surtout a s'intéresser à ceux qui sont frappés dans leur chair..
quand j?étais jeune, le peuple prenait partie, ne serais ce pour nous injurier.
aujourd?hui il ne vit que pour lui....
devant la télé qui parle des "people" car il ne parle même plus sa langue....
garde toi bien, on t'attend....
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pour le téléspectateur lambda un soldat mort c'est 30 s au JT par contre plusieurs fois par jour on nous rappelle que 2 journaleux sont retenus là où ils n'avaient pas à aller puisqu'ils se sont fait prendre hors de leur mission.
corporatisme journalistique??
pour les plus jeunes (qui ne sont pas curieux) les infos formatent à la pensée unique, est-ce entièrement leurs faute??
corporatisme journalistique??
pour les plus jeunes (qui ne sont pas curieux) les infos formatent à la pensée unique, est-ce entièrement leurs faute??
Ublanc Tourist de 2010 & SYLVERWING de 1983 & SYLVERWING de 1999
J'AIME LE TRAVAIL !
IL ME FASCINE !
JE PEUX LE REGARDER PENDANT DES HEURES !
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