AYé, J'SUIS FONDU...ma p'tite fonderie.

[Est-Motorcycles]

Toute la puissance des Pères :

https://youtu.be/PTZqHAuhMjI

Quelle puissance !

[Marip]

Toute la puissance des Pères :

https://youtu.be/PTZqHAuhMjI

Quelle puissance !

Et toujours cette conviction sans filtres : la foi

[Est-Motorcycles]

Toute la puissance des Pères :

https://youtu.be/PTZqHAuhMjI

Quelle puissance !

Et toujours cette conviction sans filtres : la foi

Une autre vue puissante :

https://youtu.be/ljoOXTOslVI

[Simone]

Toute la puissance des Pères :

https://youtu.be/PTZqHAuhMjI

Quelle puissance !

Et toujours cette conviction sans filtres : la foi

Une autre vue puissante :

https://youtu.be/ljoOXTOslVI

Plein de force et d'espoir.

[Est-Motorcycles]

https://www.youtube.com/shorts/WaFddnzT ... ture=share

[Est-Motorcycles]

https://www.youtube.com/shorts/WaFddnzT ... ture=share

https://www.youtube.com/shorts/lrUdfWgz ... ture=share

[Est-Motorcycles]

https://www.youtube.com/shorts/WaFddnzT ... ture=share

https://www.youtube.com/shorts/lrUdfWgz ... ture=share

...et :

https://youtu.be/SOhzzfJnJ0A

[Cathy]

https://www.youtube.com/shorts/WaFddnzT ... ture=share

https://www.youtube.com/shorts/lrUdfWgz ... ture=share

...et :

Merci pour ces paroles lumineuses!!!

[Est-Motorcycles]

Des précisions importantes sur l'astronomie traditionnelle...

https://youtu.be/B0gz1_aNKT8

L'érudition...

https://youtu.be/mAs9f-mnF5I

[Est-Motorcycles]

Les rares et précieuses photos de Cathy nous sont parvenues...

La phase des Aigles est très gourmande en "partie mercurielle" (qui n'est évidemment pas du mercure...), et pour obtenir ces parties mercurielles nanties de leur lion vert, nous devons utiliser des sels impeccables.

...car le très précieux minerai d'Houches ne se prête plus aux essais ni à la recherche...les grains fixes étant obtenus, il est donc nécessaire de "monter les aigles" avec beaucoup de partie mercurielle...
Les sels de tartre double et de nitre se doivent être "canoniques", cad de filiation minérale authentique.

La filiation et le degrés d'hydratation des sels est très importante. Pour le sels double de tartre, c'est un sel de potassium d'acide tartrique, qui, pur, est peu soluble dans l'eau soit au maximum 5,7 g par litre à 20 °C, 45 g/L à 80 °C et 61 g/L à 100 °C (ébullition). Sa solubilité est encore plus faible aux températures plus basses.
Le tartre, qui se trouve naturellement dans le raisin, cristallise en masse compacte dans les tonneaux de vin ou fûts d'élevage pendant la fermentation du jus de raisin. Cette forme brute plus ou moins impure, de couleur blanc brillante, blanc crème, jaunâtre à franchement rouge à brunâtre, est récoltée sèche et purifiée pour produire une poudre blanche, inodore et acide.
Pour sa partie cristallisé, le bitartrate de potassium est un corps composé organique de formule chimique semi-développée COOH-CHOH-CHOH-COOK ou compacte C4O6H5K, sous-produit de la vinification. Ce sel peut dont apporter une importante variable en eau de composition et de constitution, eau qui a une incidence considérable dans la qualité des purifications mercurielles. Brut, on va le chercher chez des viticulteurs qui vinifient "à l'ancienne".
Le nitrate de potassium, lui, deuxième sel, est un composé chimique, ionique, anhydre, composé d'anions nitrate et de cations potassium, de formule brute KNO3. Ce composé minéral salin de densité entre 2,1 et 2,2 suivant sa pureté, soluble dans l'eau, est le nitre des minéralogistes, caractéristique des zones désertiques, ou le salpêtre, bien connu probablement avant le Moyen Âge, des anciens chimistes dont nous connaissons bien les pratiques. On le trouve dans les bergeries ( nous avons des moutons pas loin et il suffit de bien connaître les agriculteurs qui en ont). Attention cependant au moment où on recueille ce sel au poinceau, de ne pas embarquer en même temps de la chaux des murs...

Il convient de tester leurs points de fusion en douceur, afin d'évaluer la quantité d'eau de constitution qui doit être retirée.
Car la plupart des "labourants" au laboratoire, pour ceux qui ont la chance d'arriver là ( au seuil de la pratique et ils se comptent sur les doigts d'une main en France), font une terrible erreur : ils jettent les sels surhydratés dans les creusets au jaune ou à l'orange (température) ! Bilan : l'eau de constitution explose et une énorme partie des sels se volatilise dans ces crépitements, rendant la fidélité des parties mercurielles inatteignable.

Lui, veille...
Et nous nous nourrissons, conformément à nos croyances, avec les ailes du vivre ensemble...

Dans le bonheur d'une vie simple sans ombre.

...à suivre...si les projets des fous de guerres nous fichent la paix.
Merci à vous tous.

https://www.youtube.com/shorts/1ioIYdHj ... ture=share

[Cathy]

Les rares et précieuses photos de Cathy nous sont parvenues...

La phase des Aigles est très gourmande en "partie mercurielle" (qui n'est évidemment pas du mercure...), et pour obtenir ces parties mercurielles nanties de leur lion vert, nous devons utiliser des sels impeccables.

...car le très précieux minerai d'Houches ne se prête plus aux essais ni à la recherche...les grains fixes étant obtenus, il est donc nécessaire de "monter les aigles" avec beaucoup de partie mercurielle...
Les sels de tartre double et de nitre se doivent être "canoniques", cad de filiation minérale authentique.

La filiation et le degrés d'hydratation des sels est très importante. Pour le sels double de tartre, c'est un sel de potassium d'acide tartrique, qui, pur, est peu soluble dans l'eau soit au maximum 5,7 g par litre à 20 °C, 45 g/L à 80 °C et 61 g/L à 100 °C (ébullition). Sa solubilité est encore plus faible aux températures plus basses.
Le tartre, qui se trouve naturellement dans le raisin, cristallise en masse compacte dans les tonneaux de vin ou fûts d'élevage pendant la fermentation du jus de raisin. Cette forme brute plus ou moins impure, de couleur blanc brillante, blanc crème, jaunâtre à franchement rouge à brunâtre, est récoltée sèche et purifiée pour produire une poudre blanche, inodore et acide.
Pour sa partie cristallisé, le bitartrate de potassium est un corps composé organique de formule chimique semi-développée COOH-CHOH-CHOH-COOK ou compacte C4O6H5K, sous-produit de la vinification. Ce sel peut dont apporter une importante variable en eau de composition et de constitution, eau qui a une incidence considérable dans la qualité des purifications mercurielles. Brut, on va le chercher chez des viticulteurs qui vinifient "à l'ancienne".
Le nitrate de potassium, lui, deuxième sel, est un composé chimique, ionique, anhydre, composé d'anions nitrate et de cations potassium, de formule brute KNO3. Ce composé minéral salin de densité entre 2,1 et 2,2 suivant sa pureté, soluble dans l'eau, est le nitre des minéralogistes, caractéristique des zones désertiques, ou le salpêtre, bien connu probablement avant le Moyen Âge, des anciens chimistes dont nous connaissons bien les pratiques. On le trouve dans les bergeries ( nous avons des moutons pas loin et il suffit de bien connaître les agriculteurs qui en ont). Attention cependant au moment où on recueille ce sel au poinceau, de ne pas embarquer en même temps de la chaux des murs...

Il convient de tester leurs points de fusion en douceur, afin d'évaluer la quantité d'eau de constitution qui doit être retirée.
Car la plupart des "labourants" au laboratoire, pour ceux qui ont la chance d'arriver là ( au seuil de la pratique et ils se comptent sur les doigts d'une main en France), font une terrible erreur : ils jettent les sels surhydratés dans les creusets au jaune ou à l'orange (température) ! Bilan : l'eau de constitution explose et une énorme partie des sels se volatilise dans ces crépitements, rendant la fidélité des parties mercurielles inatteignable.

Lui, veille...
Et nous nous nourrissons, conformément à nos croyances, avec les ailes du vivre ensemble...

Dans le bonheur d'une vie simple sans ombre.

...à suivre...si les projets des fous de guerres nous fichent la paix.
Merci à vous tous.

https://www.youtube.com/shorts/1ioIYdHj ... ture=share

Merci pour ces moments précieux....

[Simone]

Les rares et précieuses photos de Cathy nous sont parvenues...

La phase des Aigles est très gourmande en "partie mercurielle" (qui n'est évidemment pas du mercure...), et pour obtenir ces parties mercurielles nanties de leur lion vert, nous devons utiliser des sels impeccables.

...car le très précieux minerai d'Houches ne se prête plus aux essais ni à la recherche...les grains fixes étant obtenus, il est donc nécessaire de "monter les aigles" avec beaucoup de partie mercurielle...
Les sels de tartre double et de nitre se doivent être "canoniques", cad de filiation minérale authentique.

La filiation et le degrés d'hydratation des sels est très importante. Pour le sels double de tartre, c'est un sel de potassium d'acide tartrique, qui, pur, est peu soluble dans l'eau soit au maximum 5,7 g par litre à 20 °C, 45 g/L à 80 °C et 61 g/L à 100 °C (ébullition). Sa solubilité est encore plus faible aux températures plus basses.
Le tartre, qui se trouve naturellement dans le raisin, cristallise en masse compacte dans les tonneaux de vin ou fûts d'élevage pendant la fermentation du jus de raisin. Cette forme brute plus ou moins impure, de couleur blanc brillante, blanc crème, jaunâtre à franchement rouge à brunâtre, est récoltée sèche et purifiée pour produire une poudre blanche, inodore et acide.
Pour sa partie cristallisé, le bitartrate de potassium est un corps composé organique de formule chimique semi-développée COOH-CHOH-CHOH-COOK ou compacte C4O6H5K, sous-produit de la vinification. Ce sel peut dont apporter une importante variable en eau de composition et de constitution, eau qui a une incidence considérable dans la qualité des purifications mercurielles. Brut, on va le chercher chez des viticulteurs qui vinifient "à l'ancienne".
Le nitrate de potassium, lui, deuxième sel, est un composé chimique, ionique, anhydre, composé d'anions nitrate et de cations potassium, de formule brute KNO3. Ce composé minéral salin de densité entre 2,1 et 2,2 suivant sa pureté, soluble dans l'eau, est le nitre des minéralogistes, caractéristique des zones désertiques, ou le salpêtre, bien connu probablement avant le Moyen Âge, des anciens chimistes dont nous connaissons bien les pratiques. On le trouve dans les bergeries ( nous avons des moutons pas loin et il suffit de bien connaître les agriculteurs qui en ont). Attention cependant au moment où on recueille ce sel au poinceau, de ne pas embarquer en même temps de la chaux des murs...

Il convient de tester leurs points de fusion en douceur, afin d'évaluer la quantité d'eau de constitution qui doit être retirée.
Car la plupart des "labourants" au laboratoire, pour ceux qui ont la chance d'arriver là ( au seuil de la pratique et ils se comptent sur les doigts d'une main en France), font une terrible erreur : ils jettent les sels surhydratés dans les creusets au jaune ou à l'orange (température) ! Bilan : l'eau de constitution explose et une énorme partie des sels se volatilise dans ces crépitements, rendant la fidélité des parties mercurielles inatteignable.

Lui, veille...
Et nous nous nourrissons, conformément à nos croyances, avec les ailes du vivre ensemble...

Dans le bonheur d'une vie simple sans ombre.

...à suivre...si les projets des fous de guerres nous fichent la paix.
Merci à vous tous.

https://www.youtube.com/shorts/1ioIYdHj ... ture=share

Merci pour ces moments précieux....

Merci pour ce partage et heureuse de vous voir

[Est-Motorcycles]

La question des sels n'est pas binaire ni gravée dans le marbre. Il faut réfléchir et comprendre qu'à chaque étape importante du travail correspond une classe de sels. Il va de soi que les sels pour les séparations ne sont pas les mêmes que pour les purifications, ni pour la Rémore. Tantôt pour telle opération les sels seront la lance de St Michel qui domptera le dragon (les volutes de soufre), tantôt ils sépareront le subtil de l'épais dans les séparations ou nettoieront les bains pour faire apparaître "l'étoile des mages", celle qui guidera vers les Aigles.

Le trou carré que l'on voit est celui issu de la récupération de la partie mercurielle après que le grain fixe ait été obtenu - il s'est échappé par là : mais le grain fixe déjà plusieurs fois montré a été capturé dans le filet des sels ! Il est là, le filet des pêcheurs de Remore de notre iconographie hermétique et il faut bien se rendre compte que, lors des opérations, selon ce que l'on veut atteindre, la qualité comme la viscosité des sels sont fondamentaux. Là nous n'en avons dévoilons que deux...
Le mélange des sels pour les purifications doit coaguler plus haut en température que le bain mercuriel, sinon l'étoile ne peut pas se former ni le Lion Vert apparaître. Par contre, pour les séparation, les sels se doivent de fondre plus bas - au dessous de la fusion du soufre contenu dans la Mère, afin que tous les éléments puisse trouver leurs chemins.
Et là tous les ouvrages se trompent et induisent en erreur. Voulu ou pas, il n'est plus temps d'induire en erreur de cette manière les futurs labourants qui se risquent sur le Chemin.

Dans l'opération de la Remore, les sels se doivent d'avoir une viscosité capable, au refroidissement après la coulée, de retenir le grain fixe car, qu'est-ce que le grain fixe si ce n'est la partie très subtile du fer incroyablement pur ayant été retenu dans les pages du livre fermé, qui se coagule pour donner le principe du Soufre lors des Aigles ?

..car ce sont bien là les pages du livre de Dame Nature si chères à Nicolas Flamel et dans lesquelles la naissance du Dauphin est occulte jusqu'à ce qu'Il apparaisse dans sa splendeur...

Nous avons donc repris les extractions de la Mère, tant les aigles consomment du "mercure - terminologie alchimique, qui n'est pas le mercure vulgaire...
Dans leur service au laboratoire, nos amis Pierre et Marie-Pierre se sont mis à la tâche :

Avec Houches comme lieu de naissance, la Mère est juste fantastique !

C'était après une petite ballade avec mon loup, toujours très heureux de gambader avec son Dany - un excellent chien de garde.

Il va de soi que les demandes en Mère, s'accompagnèrent du "verre de l'amitié" ou de la collation classique après Chabbat Parachat VAYHAKEL...

...à suivre...

[Est-Motorcycles]

La question des sels n'est pas binaire ni gravée dans le marbre. Il faut réfléchir et comprendre qu'à chaque étape importante du travail correspond une classe de sels. Il va de soi que les sels pour les séparations ne sont pas les mêmes que pour les purifications, ni pour la Rémore. Tantôt pour telle opération les sels seront la lance de St Michel qui domptera le dragon (les volutes de soufre), tantôt ils sépareront le subtil de l'épais dans les séparations ou nettoieront les bains pour faire apparaître "l'étoile des mages", celle qui guidera vers les Aigles.

Le trou carré que l'on voit est celui issu de la récupération de la partie mercurielle après que le grain fixe ait été obtenu - il s'est échappé par là : mais le grain fixe déjà plusieurs fois montré a été capturé dans le filet des sels ! Il est là, le filet des pêcheurs de Remore de notre iconographie hermétique et il faut bien se rendre compte que, lors des opérations, selon ce que l'on veut atteindre, la qualité comme la viscosité des sels sont fondamentaux. Là nous n'en avons dévoilons que deux...
Le mélange des sels pour les purifications doit coaguler plus haut en température que le bain mercuriel, sinon l'étoile ne peut pas se former ni le Lion Vert apparaître. Par contre, pour les séparation, les sels se doivent de fondre plus bas - au dessous de la fusion du soufre contenu dans la Mère, afin que tous les éléments puisse trouver leurs chemins.
Et là tous les ouvrages se trompent et induisent en erreur. Voulu ou pas, il n'est plus temps d'induire en erreur de cette manière les futurs labourants qui se risquent sur le Chemin.

Dans l'opération de la Remore, les sels se doivent d'avoir une viscosité capable, au refroidissement après la coulée, de retenir le grain fixe car, qu'est-ce que le grain fixe si ce n'est la partie très subtile du fer incroyablement pur ayant été retenu dans les pages du livre fermé, qui se coagule pour donner le principe du Soufre lors des Aigles ?

..car ce sont bien là les pages du livre de Dame Nature si chères à Nicolas Flamel et dans lesquelles la naissance du Dauphin est occulte jusqu'à ce qu'Il apparaisse dans sa splendeur...

Nous avons donc repris les extractions de la Mère, tant les aigles consomment du "mercure - terminologie alchimique, qui n'est pas le mercure vulgaire...
Dans leur service au laboratoire, nos amis Pierre et Marie-Pierre se sont mis à la tâche :

Avec Houches comme lieu de naissance, la Mère est juste fantastique !

C'était après une petite ballade avec mon loup, toujours très heureux de gambader avec son Dany - un excellent chien de garde.

Il va de soi que les demandes en Mère, s'accompagnèrent du "verre de l'amitié" ou de la collation classique après Chabbat Parachat VAYHAKEL...

...à suivre...

https://youtu.be/HXB6M4z8-Xk

https://youtu.be/aj2unNYz09w

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180 lecteur entre deux posts de cette discussion, distants d'une petite semaine, le sujet intéresse mais nombre ont peur d'être identifiés... et c'est normal car le sujet est complètement fou. Et on s'en fout !
Demain continuation avec la lune spéciale de ce samedi, nous travaillerons au fourneau. Le sel double est prêt, il suffira que le four avec son moufle soit préchauffé aux alentours de 650°C pour 10h30 environ.
Je n'ai pas eu le temps de chercher du Riesling...

Reste-il de l'esprit de prune ?
Sourit cuit la blanquette qui n'en est pas une car sans lait... - on ne cuit pas le lait avec la viande chez les juifs...
Elle sera donc cachère, elle sait faire !