La ballade en side avec les Pogues est excellente !
http://www.est-motorcycles.fr/ Une ex-petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, maintenant inventeur, alchimiste.
J'ai survécu à des choses bien difficiles jusqu'à présent. Ce n'était pas de la chance, mais de la force...Je dispose de codes solides très simples qui ne courent pas les rues... Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Je viens de m'apercevoir que le croisillon du cardan de l'arbre qui va à la roue du side avait un jeu anormal. Je ne vois pas comment sortir l'arbre du moyeu de la roue du side. Apparemment, sur l'éclaté, il n'y a pas d'écrou. Si quelqu'un peu éclairer ma lanterne merci.
“Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent.” Samuel Beckett
fbeurne a écrit : 28 juil. 2018, 20:39
J'ai galéré aussi.....en premier, wd40 des 2 cotés!
Ensuite ,Il faut taper au centre de cet axe de roue de side avec une cale pour éviter de mater le bout! (J'avais essayé avec une cale en bois et en fait ca ne résonne pas assez pour sortir l'axe!)
Tu peux prendre une massette ou un bon marteau pour faire l'intermédiaire du deuxième marteau, qui lui te servira à taper!
L'idéal étant un jet en bronze......
Et ca va venir! (des coups francs et secs! )
ici un topo photos pour te confirmer l'opération et les subtilités: (attention à l'entretoise qui sera au fond du support cranté de roue quand tu auras retiré l'axe...Vérifier son état....souvent à changer en même temps)...remontage propre, tout passé au papier fin pour retirer les oxydations et à la graisse!!!!!! http://myural.com/2wdsidecardriveshaftrepair.htm
FRED, dept 54, et "black sport's globe trotter"
Une fois le lion mort, il ne manque pas de braves pour lui arracher la crinière!
Merci de ta réponse rapide. J'ai commencé à taper en utilisant un gros chasse goupille que j'ai introduit dans le trou au centre de l'axe, ce qui permet de be pas mater le pas de vis, mais je n'ai pas frappé assez fort. Demain je m'y emploi !
“Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent.” Samuel Beckett