Dan-le-dentard a écrit : .......... l'inflation des baloches !
Houla la la la ...
P't'1 ... pourrir un si joli fil de discussion par la ballochisation des esprits ... pfffffffff , y'a plus d' respect... ha ha ha ha ..
La testostérone ... y'a d' l' hormone en question sur c' coup là... une excitation à vue d'un piston de section avantageuse c'est toujours testotéronesque... ou alors une stimulation artificielle trop boosteuse de libido chez l' homme âgé ... ha ha ha ha ... et ça déborde !
Comme dit l'autre faut détailler la problématique... pour s' détendre... le rire est un calmant...
Ces mammifères et leur testostérone sécrétée par les balloches mâles, les surrénales et quelques autres textiles du dedans... c'est du stéroïde anabolisant « originel »... tous des drogués !
Tin, l' saviez-vous...
( .. j' m' conforme à la ligne éditorial du rédacteur en chef.. hein... ha ha ha ) et à la nouvelle coqueluche des gens .. la liberté d'expression
(à géométrie invariable dans le variable) ... comme les doses de testo...
L’état américain de Caroline du Sud est agité par un débat crucial sur les "truck nuts", un accessoire loufoque de décoration en circulation depuis une bonne dizaine d'années généralement accroché à la boule d'attache-remorque des pick-up
(pour donner une allure masculine ou ajouter une touche marrante, selon le point de vue de certains).
Plusieurs États ont déjà essayer de les rendre strictement interdits, mais sans succès.
La question qui anime en ce moment la Caroline du Sud est de savoir si les "truck nuts"
(ou "truck balls"), ces testicules en plastique ou en métal, sont des gadgets vulgaires en infraction aux lois sur la décence ou si leur interdiction serait contraire à la liberté d'expression.
Le débat est parti du cas de Virginia Tice, âgée de 65 ans et originaire de Bonneau, qui s'est vue infliger une amende de 445 dollars pour avoir refusé de décrocher les fausses couilles rouges qui pendouillaient derrière son pick-up, comme lui avait demandé Franco Fuda, le chef de la police locale. Il a justifié la contravention en indiquant que l'automobiliste violait la loi de Caroline du Sud sur les autocollants de pare-choc jugés "obscènes", car étant en opposition avec les valeurs actuelles de la société ou étant ouvertement sexuels et scatologiques....
Devant la menace d'un procès, le policier a pris les devant et a lui-même déclenché la procédure judiciaire, espérant que le verdict final ne laisse plus aucune place à la libre interprétation. L'affaire sera examinée par un tribunal ...
L'avocat Jay Bender, professeur à l'University of South Carolina, estime que les testicules de pare-choc, bien que d'un goût douteux, n'ont rien d'illégal et qu'en verbalisant sur ce motif, le policier a outrepassé les pouvoirs qui lui sont conférés.
David Hudson, un spécialiste du Premier Amendement, juge de son côté que ces lois qui interdisent les autocollants de pare-choc et autres emblèmes du même acabit sont problématiques et même anticonstitutionnellement vagues. Il souligne aussi la valeur de l'opinion de la Cour Suprême selon laquelle le gouvernement ne peut interdire l'expression d'une idée simplement parce que la société trouve l'idée offensante ou désagréable.
Dans la majorité des affaires du genre qui ont été portées devant la Justice, les prévenus ont été acquittés, du fait que le Premier Amendement protège largement le concept de liberté d'expression.
Ces américains montrent toujours la voie !
Sortez découvert, montrez tout, c'est pas interdit ... ha ha ha ha ...
Quant au petit organe charnu, érectile... tant redouté... car il chahute à moindre frais la concurrence et peut mettre au chômage bon nombre d' XY ... il permet cependant au gros monocylindre
(couillu) d'étendre sa surface d'action à des registres bien connus des "XX" indépendantes ... comme quoi la Liberté, la vraie, s' fourre partout... vive l' Gromono .. épicétou !
Arv' ha ha ha ha ha ha ...
PS : .. admirez cette "classe" .. Céline avait raison... c'est
(du) lourd lourd lourd
