pierre65 a écrit :C'est beau,on sent la passion...Une" pépite" de plus dans le forum dommage qu'elle se noie dans la masse des discussions .
Une bécane en toute simplicité,si attachante ...Chère au cœur du regretté Guido Bettiol grand amoureux du mono dont j'ai gardé un bouquin très original (bd)... j'avais 16 ans...
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Un remède contre la morosité assuré lorsque le matin à l'aube,pour aller bosser, j'enfourche le mono,le démarre,et cette sensation unique au guidon d'une 125 avec un bon gros 500 entre les pattes...Moto d’exception .
Thumper à écrit:
"PS : je n'ai jamais roulé en Oural, mais je suis certain que ce que je dis là à propos des monos, nombreux vont être les ouralistes à me dire qu'ils éprouvent les mêmes sensations avec leur machine. le mode opératoire doit être très similaire. Pas étonnant que Dan soit le lien entre ces deux univers à priori très éloignés)"
Tout à fait et je suis dans le bonheur en possédant les deux.Elles se complètent à merveille .A 54 balais certains pourraient s'en étonner,s'en moquer...Ils sont ignorants des sensations ressentient avec un tel moteur.
merci Thumper pour se cadeau
Ah oui Pierre, Guido Betiol, le chantre du gromono à MJ. J'ai lu quelques un de ses articles en parcourant des vieux MJ bien des années plus tard, mais pas son livre. ça doit être une bible de chevet...
Souvent la sagesse demande un peu de temps. D'où l'age un peu avancé des amateurs éclairés de ce nirvana motocycliste tout dans la mesure.
Parfois un Tibaz vient nous prouver le contraire, mais faut bien reconnaître que chez les d'jeun's, le quatre cylindres survitaminé et taillé à la serpe, a plus d'adeptes que notre bon gros pépère.
il en est des aristocrates, au nom qui claque et au pédigrée de légende (BSA, Matchless, AJS, Norton, Vélocette, Ducat... etc), des utilitaires d'après guerre (cf les françaises qu'on voit régulièrement dans le réunions d'anciennes), et des moins racées, comme celles de la production nippone depuis la moitié des 70's.
Moi c'est sur celles là que je roule. Des sans grades peu côtées, mais qui savent te donner leur lot de bon moment.
Et comme le dit l'adage "peu importe le flacon, pourvu qu'on ait l'ivresse".
dimanche sur les coups de 19h, ma gazelle a pris son p'tit mono (un 125 BETA supermot' vu qu'elle n'a pas le permis), moi j'ai sorti le Paris-Dakar, et hop, balade de 130 bornes à l'heure où les bouffons sont rentrés.

A nous Gerberoy, croquignolet petit village préservé de l'Oise, sans un seul touriste pour nous parasiter le bonheur.
Et retour pianissimo, au rythme des battements de nos meules.
la vie, quoi....