PENINSULE DE KOLA en Russie pour 2017 via la Finlande

[fbeurne]

Oui une réflexion super qui mérite un thème pour des étudiants de philo!
Mais y a aussi des casseroles que l'on traine parce que l'on veut pouvoir se regarder dans une glace plus tard et pouvoir dire! J'ai fait ce que j'ai pu et je peux en être fier..... de ma casserole! Mais, mais..Il faut aussi assumer d'en payer un certain prix... La dureté de voir ses proches dépérir au jour le jour, coucher sa mère chaque soir, laver son corps et son visage, lui donner ses cachetons, l'engueuler parfois et s'en mordre les doigts 100fois.....Une inversion des rôles quand l'enfant s'occupe du parent malade et qui se pend à vous comme la misère sur le monde.
Je suis aidant pour ma mère qui est en phase 4 d'une parkinson. Qu'elle merde!!!!
je ferai tout ce qui m'est possible pour que ma mère reste chez elle (la seule chose qui la tient debout encore) car je sais que son départ pour un mouroir qu"on appel 'maison de retraite' sera sa perte!
Ces casseroles là..... sont et seront encore ma force pour toujours (et quand ma mère sera passer de l'autre côté) pour pisser à la raie de certains.....

[gecko]

modo: on
Là ....n est pas le sujet Merci d utiliser "le billet d humeur".....
modo: off

[Est-Motorcycles]

modo: on
Là ....n est pas le sujet Merci d utiliser "le billet d humeur".....
modo: off

...oui, merci...
Nous avons tous nos casseroles et "on ne pissera à la raie de personne...". Nous voyons bien là, aux réactions, que c'est un point "chaud". J'ai aussi les miennes puisque je ne puis partir vraiment qu'une seule fois par an à grand peine et que pour ce, je commence à me serrer la ceinture dès les mois de septembre à mes retours.
Les casseroles des uns valent certainement celles des autres et on ne va pas ici faire un concours (...) Je puis aussi dire que nous partageons la vie de Maman, aveugle, avec ma soeur mais à quoi bon le dire ? Que j'ai aussi des problèmes à gérer qui seraient insupportables pour d'autres, mais là n'est pas du tout le fond de ce que j'essaie de relater - que j'aimerais qu'on me laisse au moins écrire tranquillement car les gars, depuis 10 ans tous les jours je réponds à tous et passe mes soirées à rendre service. Alors, un petit coin dans lequel j'ouvre mon coeur pour dire ma vraie vie du dedans ...
Les animaux se cachent pour sourire...et le sens de mes voyages est de me cacher comme eux.

[ledoume]

une petite photo de la bête :

[Est-Motorcycles]

La pièce est parfaite...pas de jeu, cela rentre glissant juste et c'est parfaitement centré. Je vais travailler avec cette excellente boite.

J'ai choisi de tailler mes cylindres dans la masse : deux ronds de 200 mm de diamètre ont été commandés et je vais tailler les ailettes. Je choisis cette solution car à la coulée il existe de nombreuses microbulles qui peuvent générer de petites failles...
...à suivre...

[Est-Motorcycles]

une petite photo de la bête :

Maaaagique ! Une belle bête aussi. merci pour ce cliché qui montre la machine fabricant nos joints...

[ledoume]

[gecko]

une petite photo de la bête :

Ptain dire que mon pére a taffé dessus (même principe de machine)

[Est-Motorcycles]

Ils seront usinés sur ces machines car mon tour est trop petit...

[ledoume]

et oui !
200 mm ça commence à faire des belles gamelles

[Zorgol94]

et oui !
200 mm ça commence à faire des belles gamelles

Pour ainsi dire des supers gros poumons

[Bingblues]

La pièce est parfaite...pas de jeu, cela rentre glissant juste et c'est parfaitement centré. Je vais travailler avec cette excellente boite.

J'ai choisi de tailler mes cylindres dans la masse : deux ronds de 200 mm de diamètre ont été commandés et je vais tailler les ailettes. Je choisis cette solution car à la coulée il existe de nombreuses microbulles qui peuvent générer de petites failles...
...à suivre...

Géant ! J'adore cette forme de pragmatisme que permet la compétence et la culture.
Mais ce sera probablement frustrant de voir le produit fini sans complètement en appréhender la technique et les difficultés de réalisation.
En effet, à suivre.

[Est-Motorcycles]

La pièce est parfaite...pas de jeu, cela rentre glissant juste et c'est parfaitement centré. Je vais travailler avec cette excellente boite.

J'ai choisi de tailler mes cylindres dans la masse : deux ronds de 200 mm de diamètre ont été commandés et je vais tailler les ailettes. Je choisis cette solution car à la coulée il existe de nombreuses microbulles qui peuvent générer de petites failles...
...à suivre...

Géant ! J'adore cette forme de pragmatisme que permet la compétence et la culture.
Mais ce sera probablement frustrant de voir le produit fini sans complètement en appréhender la technique et les difficultés de réalisation.
En effet, à suivre.

Partir loin sur les routes offre cet avantage de méditer sur les nécessités des adaptations de la mécanique en fonction de la vie que l'on souhaite avec Ural.
Quelques-uns comprennent cela comme par exemple Zorgol qui arrive à la même conclusion :

viewtopic.php?f=2&t=2386&start=1305

Eh oui pour nous avec quelques autres notre monture n'est PAS un tas de ferraille. Et puisque nous avons fait corps avec elle durant des années, partout, toujours et sans faille, nous la poussons "jusqu'au bout" : j'adore ce concept et cette vue des choses. A la limite on crèvera dessus. Elle devient au fur et à mesure des ans comme une vieille épouse que l'on ne mettra pas au rancard ni que l'on ne piquera pas comme un vieux chien fatigué qui restera fidèle jusqu'à son dernier souffle. Et leurs regards jusque là ne sont pas monnayables.
Ce type de pragmatisme donc, mon cher Bingblues, coule de source car en fait, lorsque nous roulons longtemps et loin, nous souffrons d'un tas de petits "manques" qui rendraient la vie routière plus facile. Et cela dépend bien de chacun, des morphologies, des psychologies, etc...
Les modifications sont quasi obligatoires.
Sur la route donc, lorsque je ne suis ni surpris par un renne galopant ou par un coucher de soleil qui ne se couche pas, l'ordi cérébral se met en route et les notes sont prises le soir, au dessous des émotions qui sont également notées dans un petit calepin.
Mais ce que j'aime par dessus tout - ce qui a été le cas de Zorgol par exemple - c'est de pousser loin l'effort de vouloir. Pas spécialement spécialiste ni mécano, surmonter les épreuves et oublier les "je ne peux pas", "je n'ai pas ces connaissances", "c'est au dessus de mes capacités".
Il suffit de dépasser des limites qui deviennent des mauvais souvenirs et qui nous amusent.

Je ne sais pas mais je vais pouvoir, c'est la bonne direction.
La Ural n'est donc pas un "tas de ferraille".
Mais...saviez-vous que le métal possède une âme ?

[Simone]

C'est sur qu'il en a une ! Mais peut-être qu'on ne se pose pas assez la question de savoir qu'il vient d'une mine qui elle même vient d'une aventure cosmique géante qui nous dépasse. Sujet complexe de la machine à remonter le temps de notre cerveau qui finalement nous pousse à nous demander d'où l'on vient ? Si un peu de fer, un peu de carbone, un peu de beaucoup de minéraux, un peu de beaucoup d'autres choses encore organiques et de beaucoup beaucoup d'eau a pu constituer l'homme...

[Est-Motorcycles]

Je commence à travailler le visa... Comme toujours pas évident mais avec de la patience...
Savoir revenir...
L’amour ne meurt jamais de mort naturelle tout comme le voyage. Il meurt parce que nous ne savons pas revenir à sa source. Il meurt d’aveuglement, d’erreurs et de trahisons. Il meurt de maladie et de blessures. Il meurt de lassitude, il dépérit et se ternit.
J'aimerais aller dans le voyage comme j'avance dans l'amour : avec l'impossibilité d'en revenir, brûlant jusqu'au dernier tous mes vaisseaux chantants.
On croit qu'une forme de connaissance, c'est aussi savoir que lorsqu'on est arrivé, il faut revenir et que la moitié seulement du voyage est fait !
Rien n'est plus faut.
Avec le mensonge on peut croire aller très loin, mais on ne peut jamais en revenir. Lorsqu'on est dans cette logique, un lourd portail se ferme derrière soi, il se ferme et est verrouillé avec la rapidité de l'éclair, et l'on n'a pas le temps de revenir en arrière. Se mentir dans l'aventure propulse seulement dans deux directions qui sont des culs de sac : l'une est celle de courir sans cesse pour ne pas s'arrêter car dans cet arrêt se cache l'image nette de ce mensonge; l'autre est de croire que l'on fait une incursion dans l'irréel bonheur et que l'on revient comme avant...En fait ainsi on ne voyage pas, on reste devant une glace à se regarder en racontant à des spectateurs que l'on va très loin.
Un célèbre restaurateur fatigué de la sophistication de la nouvelle cuisine a un jour décidé de revenir à des plats simples et a remis à sa carte le jambon et purée.
On fait le tour de la terre pour en arriver là...

Avec le bateau tu es certain de ne pas revenir vraiment comme avant, quelque chose va changer puissamment : pas de demi-tour complet possible.