Denis-85 a écrit : ↑30 août 2022, 11:37
Bonjour,
Je viens vers vous et me plie bien volontiers à une petit introduction pour me présenter.
Je me prénomme Denis depuis bientôt 63 années. Retraité avec un passé militaire qui m'a appris plusieurs métiers et à me forger l'esprit aussi bien que le corps.
Un passé motard qui dure depuis 1979, année où j'ai passé le permis en Polynésie Française.
De rares interruptions souvent dû au temps de trouver la moto suivante.
Du 6 cylindres verticale en ligne face à la route en passant par le flat 6 et de nombreux boxer à l'étoile.
Pour l'instant une Autrichienne que je vends pour assouvir enfin un projet qui me trotte dans la tête depuis déjà quelques années.
Je suis passé sur 3 roues à vélo depuis bientôt 5 ans, ce qui me permet de ne plus me soucier de l'équilibre et de me passer de selles qui ont la fâcheuse tendance à endolorir nos fondement avec le poids des années.
Ma venue sur ce forum est bien sur lié à ma décision de sauter le pas et d'enfin poser les fesses sur un Ural qui m'appartienne.
J'ai encore les photos et le tarifs pris lors du salon moto à Paris en novembre 2015. Un bel attelage "gris acier " et jaune trônait là sur la moquette bleue.
Les divers récits de voyages lus ici et sur le forum Ural-France n'ont pas éteint la flamme de mon envie même si souvent des déboires mécanique survenaient aux voyageur. Il faut dire que dans ces divers cas ils ne ménage pas la monture en terme de kilométrage journalier.
Un achat qui sera bien sur choisi sur l'offre en occasion du moment. Mais bon nombre de questionnement sur le modèle à choisir.
D'ailleurs je me rend compte que certain essaye de vendre au prix d'achat de l'époque. Certainement une bonne opération.
Quand je lis les déboire qu'a essuyé Denis-71 avec son Ranger EFI et les commentaire de « Est-Motorcycles » :
Il faut bien comprendre que pendant des années les uralistes ont pleuré le manque de puissance : les ingénieurs ont mis une injection qui ouvre fort en bas, mais dans des mains qui ne comprennent pas comment gérer cette puissance. Alors ça marque comme ça.
Il faut aussi comprendre qu'un Ural, c'est 600 kils en ordre de marche avec bobonne et que ça se conduit comme un jouet, donc l'embrayage morfle mais le tient a plus morflé que les autres !
Je le redis : ne jamais croire un uraliste qui vend sa brêle d'occaze.
Cela ne rassure pas le futur acquéreur.
Vient se rajouter le soucis aussi d'éloignement du premier concessionnaire Ural. Pour moi qui suis en Sud Vendée se ne sera pas chose facile même si j'ai décidé de faire une visite chez le grand maitre pour investir dans la longévité une fois la monture achetée.
Pour le novice que je suis en terme de conduite de side-car, j'ai bien sur pensé à un stage chez Iniside mais après réflexion, ce n'est pas l'esprit Ural avec des sides très routier voir sportif. J'ai donc choisi l'option de mon ami qui possède un Ural de 2005 prêt à m'initier à la conduite du mouton à trois pattes.
J'ai d'ailleurs pas mal échangé avec lui et nous avons évoqué le choix du 1 WD ou 2 WD. Ma préférence irai bien sur vers un 2 WD mais en l'écoutant la seconde roue motrice n'est utilisé que rarement même dans les récites que j'ai lu. Alors embarquer cette mécanique supplémentaire qui peut entrainer son lot de panne est-elle indispensable pour quelqu'un qui n'a pas d'envie d'hivernale ou de « Nord Kap » l'hiver ?
Voilà vous en savez un peu plus pourquoi je suis là aujourd'hui.