France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
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Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
La Légende de la rose de prairie.
Il fut un temps où le monde était jeune et encore vierge de la main de l’humanité. Les fleurs ne poussaient pas dans la prairie. Seuls les herbes et les buissons gris-vert ternes y poussaient. La Terre était très triste car sa robe manquait de couleur et de beauté.
Elles sont toutes dans mon cœur
« J’ai beaucoup de fleurs dans mon cœur, » se dit la Terre. « J’aimerais qu’elles soient sur ma robe. Des fleurs bleues comme le ciel clair par beau temps, des fleurs blanches comme la neige d’hiver, des fleurs d’un jaune étincelant comme le soleil de midi, des roses comme l’aube d’un jour de printemps… elles sont toutes dans mon cœur. Je suis triste lorsque je regarde ma robe, toute grise et marron. »
Une jolie petite fleur rose entendit la complainte de la Terre. « Ne sois pas triste, Terre Mère, j’irai sur ta robe et l’embellirai. » Ainsi, la petite fleur rose sortit du cœur de la Terre Mère pour embellir les prairies.
Le cœur de la Terre Mère
Mais lorsque le démon du vent la vit, il grogna : « Je ne vais pas accepter cette jolie fleur sur mon terrain de jeu. » Il se précipita sur elle, criant et hurlant, et lui souffla sa vie. Mais l’esprit de la petite fleur retourna dans le cœur de la Terre Mère. Lorsque d’autres fleurs trouvèrent le courage de sortir, l’une après l’autre, le démon du vent les tua elles aussi… et leur esprit retourna dans le cœur de la Terre Mère.
Finalement, la Rose de Prairie proposa d’y aller. « Oui, chère enfant, » dit la Terre Mère, « je vais te laisser partir. Tu es adorable et ton souffle est si parfumé que le démon du vent sera sûrement charmé par toi. Il te laissera certainement rester dans la prairie. »
Alors la Rose de Prairie parcourut le long voyage à travers les terrains sombres et sortit dans la prairie terne. Alors qu’elle s’éloignait, la Terre Mère dit dans son cœur : « Oh, j’espère vraiment que le démon du vent la laissera vivre. »
Lorsque le démon du vent la vit, il se précipita sur elle en hurlant. « Elle est jolie, mais je ne la tolérerai pas sur mon terrain de jeu. Je soufflerai sa vie. »
Alors il se précipita, grondant et soufflant des rafales. Alors qu’il s’approchait, il sentit l’odeur de la rose de prairie. Il se dit : « Oh, comme elle sent bon ! Je n’ai pas le cœur à lui souffler la vie d’une aussi belle jeune fille à l’odeur si agréable. Elle doit rester ici avec moi. Ma voix doit être douce et je dois chanter de jolies chansons. Je ne dois pas l’effrayer avec mon bruit horrible. »
Alors, le démon du vent changea. Il se calma. Il envoya de douces brises sur les herbes de la prairie. Il chuchota et fredonna des chansons de joie. Il n’était plus un démon.
Les autres fleurs sortirent du cœur de la Terre Mère et traversèrent les terrains sombres. Elles transformèrent sa robe, la prairie, en un lieu de couleurs et de gaieté. Même le vent se mit à aimer les fleurs qui poussaient parmi les herbes de la prairie. Et c’est ainsi que la robe de la Terre Mère devint belle et resplendissante grâce à la beauté, à la douceur et au courage de la rose de prairie.
Parfois, le vent oublie les chansons douces et devient bruyant, mais son intensité ne dure pas longtemps. Et il ne nuit à personne dont la robe a la couleur de la rose de prairie.
Il fut un temps où le monde était jeune et encore vierge de la main de l’humanité. Les fleurs ne poussaient pas dans la prairie. Seuls les herbes et les buissons gris-vert ternes y poussaient. La Terre était très triste car sa robe manquait de couleur et de beauté.
Elles sont toutes dans mon cœur
« J’ai beaucoup de fleurs dans mon cœur, » se dit la Terre. « J’aimerais qu’elles soient sur ma robe. Des fleurs bleues comme le ciel clair par beau temps, des fleurs blanches comme la neige d’hiver, des fleurs d’un jaune étincelant comme le soleil de midi, des roses comme l’aube d’un jour de printemps… elles sont toutes dans mon cœur. Je suis triste lorsque je regarde ma robe, toute grise et marron. »
Une jolie petite fleur rose entendit la complainte de la Terre. « Ne sois pas triste, Terre Mère, j’irai sur ta robe et l’embellirai. » Ainsi, la petite fleur rose sortit du cœur de la Terre Mère pour embellir les prairies.
Le cœur de la Terre Mère
Mais lorsque le démon du vent la vit, il grogna : « Je ne vais pas accepter cette jolie fleur sur mon terrain de jeu. » Il se précipita sur elle, criant et hurlant, et lui souffla sa vie. Mais l’esprit de la petite fleur retourna dans le cœur de la Terre Mère. Lorsque d’autres fleurs trouvèrent le courage de sortir, l’une après l’autre, le démon du vent les tua elles aussi… et leur esprit retourna dans le cœur de la Terre Mère.
Finalement, la Rose de Prairie proposa d’y aller. « Oui, chère enfant, » dit la Terre Mère, « je vais te laisser partir. Tu es adorable et ton souffle est si parfumé que le démon du vent sera sûrement charmé par toi. Il te laissera certainement rester dans la prairie. »
Alors la Rose de Prairie parcourut le long voyage à travers les terrains sombres et sortit dans la prairie terne. Alors qu’elle s’éloignait, la Terre Mère dit dans son cœur : « Oh, j’espère vraiment que le démon du vent la laissera vivre. »
Lorsque le démon du vent la vit, il se précipita sur elle en hurlant. « Elle est jolie, mais je ne la tolérerai pas sur mon terrain de jeu. Je soufflerai sa vie. »
Alors il se précipita, grondant et soufflant des rafales. Alors qu’il s’approchait, il sentit l’odeur de la rose de prairie. Il se dit : « Oh, comme elle sent bon ! Je n’ai pas le cœur à lui souffler la vie d’une aussi belle jeune fille à l’odeur si agréable. Elle doit rester ici avec moi. Ma voix doit être douce et je dois chanter de jolies chansons. Je ne dois pas l’effrayer avec mon bruit horrible. »
Alors, le démon du vent changea. Il se calma. Il envoya de douces brises sur les herbes de la prairie. Il chuchota et fredonna des chansons de joie. Il n’était plus un démon.
Les autres fleurs sortirent du cœur de la Terre Mère et traversèrent les terrains sombres. Elles transformèrent sa robe, la prairie, en un lieu de couleurs et de gaieté. Même le vent se mit à aimer les fleurs qui poussaient parmi les herbes de la prairie. Et c’est ainsi que la robe de la Terre Mère devint belle et resplendissante grâce à la beauté, à la douceur et au courage de la rose de prairie.
Parfois, le vent oublie les chansons douces et devient bruyant, mais son intensité ne dure pas longtemps. Et il ne nuit à personne dont la robe a la couleur de la rose de prairie.
Dernière modification par Cathy le 24 mai 2020, 10:34, modifié 1 fois.
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Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
Superbe, merci Cathy ! Et on ne parle pas de leurs parfums...Cathy a écrit : ↑23 mai 2020, 20:11La Légende de la rose de prairie.
Il fut un temps où le monde était jeune et encore vierge de la main de l’humanité. Les fleurs ne poussaient pas dans la prairie. Seuls les herbes et les buissons gris-vert ternes y poussaient. La Terre était très triste car sa robe manquait de couleur et de beauté.
Elles sont toutes dans mon cœur
« J’ai beaucoup de fleurs dans mon cœur, » se dit la Terre. « J’aimerais qu’elles soient sur ma robe. Des fleurs bleues comme le ciel clair par beau temps, des fleurs blanches comme la neige d’hiver, des fleurs d’un jaune étincelant comme le soleil de midi, des roses comme l’aube d’un jour de printemps… elles sont toutes dans mon cœur. Je suis triste lorsque je regarde ma robe, toute grise et marron. »
Une jolie petite fleur rose entendit la complainte de la Terre. « Ne sois pas triste, Terre Mère, j’irai sur ta robe et l’embellirai. » Ainsi, la petite fleur rose sortit du cœur de la Terre Mère pour embellir les prairies.
Le cœur de la Terre Mère
Mais lorsque le démon du vent la vit, il grogna : « Je ne vais pas accepter cette jolie fleur sur mon terrain de jeu. » Il se précipita sur elle, criant et hurlant, et lui souffla sa vie. Mais l’esprit de la petite fleur retourna dans le cœur de la Terre Mère. Lorsque d’autres fleurs trouvèrent le courage de sortir, l’une après l’autre, le démon du vent les tua elles aussi… et leur esprit retourna dans le cœur de la Terre Mère.
Finalement, la Rose de Prairie proposa d’y aller. « Oui, chère enfant, » dit la Terre Mère, « je vais te laisser partir. Tu es adorable et ton souffle est si parfumé que le démon du vent sera sûrement charmé par toi. Il te laissera certainement rester dans la prairie. »
Alors la Rose de Prairie parcourut le long voyage à travers les terrains sombres et sortit dans la prairie terne. Alors qu’elle s’éloignait, la Terre Mère dit dans son cœur : « Oh, j’espère vraiment que le démon du vent la laissera vivre. »
Lorsque le démon du vent la vit, il se précipita sur elle en hurlant. « Elle est jolie, mais je ne la tolérerai pas sur mon terrain de jeu. Je soufflerai sa vie. »
Alors il se précipita, grondant et soufflant des rafales. Alors qu’il s’approchait, il sentit l’odeur de la rose de prairie. Il se dit : « Oh, comme elle sent bon ! Je n’ai pas le cœur à lui souffler la vie d’une aussi belle jeune fille à l’odeur si agréable. Elle doit rester ici avec moi. Ma voix doit être douce et je dois chanter de jolies chansons. Je ne dois pas l’effrayer avec mon bruit horrible. »
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Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
Merci, celle ci est particulièrement parfumée, à tomber, c'est une variété ancienne qui a pour nom" La cuisse de la nymphe émue" j'avais pris la photo il y a quelques années dans le parc d'un château de l'Allier
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Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
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Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
Magnifique mais toucher s'abstenir...
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Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
Elle est belle! j'ai toujours été fascinée par la métamorphose de la chenille en un magnifique papillon...
Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
Le cri de joie de la tourterelle...
Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
Bel instantané ! réjouissant. Merci Cathy!
c'est pas parcequ'ils disent tous la même chose qu'ils ont raison
Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
« ... Tout crépuscule est double, aurore et soir. Cette formidable chrysalide qu'on appelle l'univers trésaille éternellement de sentir à la fois agoniser la chenille et s'éveiller le papillon. »
Victor Hugo
Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
Un petit papillon au nom étrange " le zygène de la filipendule"
Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
La famille canard est en balade ...
Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
Hier soir vers 24 H à Limoges, j'ai eu la surprise de voir un beau et gros météorite vert fluo qui a illuminé le ciel un instant, il ressemblait un peu à ça, encore plus vert ....
Re: France : comme il est beau notre pays, les clichés de Cathy
Il est apparu quelques secondes à l'est pas très haut dans le ciel, direction nord, et je n'en entends pas parler.