Cap Nord : niet. Baïkal : niet CE SERA L'ECOSSE !

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Croquelaroute

Message par Croquelaroute » 09 août 2009, 22:08

Que des bonnes choses pour toi , en Ecosse , à bientot fin Aout à Manzat.

Croque.

Cristale

Message par Cristale » 09 août 2009, 22:17

Allez Dan ! Je te souhaite un beau, trés beau voyage ! Passe entre les gouttes de..."visky" et fais gaffe au Loch-Ness !

Nanuk

Message par Nanuk » 09 août 2009, 23:44

Bonne route Dan,


amitiés à Nessie ;)

Mitch

Message par Mitch » 10 août 2009, 08:38

Dan et Valérie, profitez bien de l'Ecosse, à bientôt
Mitch et MAdo

Arvella

Message par Arvella » 10 août 2009, 21:47

.. z'entendez pas l' Chaman des Ural... il dort .. crevé l'gars... demain l'aventure commence !
z'Arvella
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cretin des alp en oural

Message par cretin des alp en oural » 10 août 2009, 22:40

Salut les scottish's. que la force soit avec vous. éclatez vous.

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Message par Est-Motorcycles » 23 août 2009, 16:55

De retour de cette Ecosse mythique et fantastique après une dernière étape de 700 km dans la journée d'hier, ces quelques mots qui précèdent un beau reportage photo qui sera agrémenté de commentaires dès que le tri des documents sera effectué.

Les 1500 kms pour aller et revenir de Zeebrugge
Les Ural sont des machines incroyables. Le départ et le retour ont été effectués au petit jour et des enfilades de plusieurs centaines de kilomètres dans la journée : une journée pour l'Auverge-Zeebrugge et de même pour Zeebrugge-l'Auvergne. Températures clémentes et temps agréable, pas trop chaud. Arrêts cafés et nourriture assez spartiate.
Jean-Marc et sa Wjuga étaient venus nous rejoindre la veille du départ et, après un petit déjeuner commun à 5h30, départ des 3 attelages : la Wjuga donc et 2 Sportsman 2005.
Au dessus de Paris, nous constatons une fuite importante du joint de vilo côté embrayage sur la Sportsman de Dominique. Je lui avais dit de le changer 15 jours avant de partir mais il n'avait pas pu faute de temps...(voir plus loin).
Aucun autre incident à déplorer, les machines ont été extraordinaires.

La Norfolkline
Embarquement sur le bateau de la Norfolkline à Zeebrugge après un incroyable moule-fritte belge dont ils sont seuls à avoir le secret : des moules comme la chachatte à Annie Cordy et des frittes dont la cuisson secrète s'effectue dans deux huiles différentes et avec un lecteur de température digital...
La Norfolkline propose un beau bateau qui réalise du fret comme de l'embarquement de passagers. Propre et agréable, moins somptueux que celui qui nous avait amené en Irlande, son service exécuté par de braves gens de Phillipines est parfait.
Mer calme, quelques vibrations dues aux énormes moteurs V12...Circulation assez impressionnante de bateaux dans la haute Manche et sur la Mer du Nord, presque des embouteillages.
Après 6 heures de haute mer, nous longeons les côtes anglaises tranquillement pour arriver à Hedinburgh (Rosyt exactement), après avoir passé les deux ponts gigantesques de l'entrée du port maritime. Les grands ports ont cette magique mystérieuse des lointains voyages et les milliers de travailleurs qui s'affairent sans cesse comme des fourmis sont impressionnants.
Passage à la douane écossaise sans problème en quelques minutes, ce qui n'a pas été le cas du retour en Belgique : des douaniers tattillons, une bonne heure d'attente.

A gauche toute !
Sortie du port, un petit panneau vous dit simplement qu'ici on roule à gauche.
Facile, car le réseau routiers de l'Ecosse entière est impeccable. Bien entretenu, avec une signalisation surprenante : prévoyante, polie et trés bien réalisée, bien loin de nos panneaux agressifs et censeurs. Là, on trouve des "merci d'avoir respecté la vitesse", des "s'il vous plaît" lorsqu'il faut changer de rythme. Nous avons vu deux policiers en ville sur 1500 kms effectués en Ecosse, et 38 en France sur le même nombre de kilomètres...No comment.
Les limitations de vitesse sont également incroyables. Elles sont justes, tout simplement. Lorsqu'un panneau indique 40 miles par exemple, les dépasser engendre en effet un vrai danger. On roule donc naturellement car les vitesses imposées sont justes, techniques et non administratives.
Pas de racket genre 50 km/h sur une 3 voies et sur 3 kms en ligne droite, etc..., le système de "punition" français est absent. Ici, seulement de la courtoisie et de la simplicité.
Pas d'agressivité donc, des écossais qui cheminent bien, pas de traînards, d'emmerdeurs genre fayots premiers de la classe qui, lorsqu'il est indiqué 30 miles, roulent à 10 pour "être bien" mais qui font chier 50 personnes.
J'ai été impressionné par ce côté agréable de la route. Ca roule, c'est doudou et pénard.
Chaud-chaud : le side à droite pour rouler à gauche. La bécane est incliné et ça se lève facilement...ouh ouh !

En effet, des caméras partout...

On est prévenu par des panneaux disposés le long de la route : caméras, caméras... Une drôle de sensation d'être surveillé, un peu comme en Russie, mais jamais personne pour punir si on se comporte normalement.
Et puis surprise, de nombreuses caméras sont à la disposition du public. En effet, lorsque nous avons été dans notre premier gîte, notre Dick-le-patron nous a demandé notre itinéraire. Isle of Skye lui avons-nous dit. Génial répondit-il, lorsque vous serez sur le pont de Dornie (7 bornes de l'île), faite moi signe en roulant...
Comment ??? Nous ne comprenions pas.
"Si si dit-il, nous avons des caméras partout, mais nous pouvons, moyennant un petit abonnement, en disposer de quelques-unes". Voyez : et hop, il clique sur le Net, frappe son nom, celui du pont de Dornie et paf, le pont de Dornie apparaît sur l'écran. Mais encore plus sciant, il oriente la caméra avec sa souris !!
Bien sûr, arrivés à Dornie, nous avons fait signe.

Le joint de la Sportsman à Domino.
Au dessus de Paris donc, trés importante fuite d'huile tout autour de la couronne d'embrayage : dans le démarreur, partout. Décision première, rapatriement du side via Europe Assistance. Tronche de la femme à Domino... Après une bonne bière, décision d'additiver l'huile avec des polymères, de rouler plus pépère et de changer le joint en Ecosse, après avoir engueulé Domino pour ne pas l'avoir fait avant...
Arrivés au premier gîte, on tombe sur Super Dick, le patron du B&B, un ancien de chez Volvo : 45 piges de clapier dans les engins de chantier chez Volvo.
Je lui dit mon intention de changer le joint. L'avant veille sur la route, allo la concess à la Souris pour lui dire de nous envoyer en chronopost international le joint et tous les extracteurs.
Le colis est arrivé avant nous : bravo la Souris !
La pluie commence à tomber, on est sur le trottoir et go pour le joint en viton (240°C).
Dick-le-pur nous sort une guitoune pour nous couvrir. Le soir la boîte était tombée et le joint dehors. Dick, à la retraite, a vécu un moment de dingue. Il n'en a pas perdu une miette. D'une serviabilité inimaginable, il amenait bombe dégraissante, papier 400, etc...Il n'y croyait pas et nous pensait complètement fous.
Le joint incriminé était en propylène (plastique de m....qui ne dépasse pas 140°C), trop enfoncé de 5 mm (ce qui couvrait les trous de retour d'huile) et le gros circlips de calage du roulement de vilo décalé, bouchant encore plus les trous de retour !
"Qui t'a monté ça" demandais-je furieux ?
Heu..."X" (que je ne citerai pas pour la paix des ménages...).
Fin de matinée du lendemain, le joint était changé et le tout prêt à repartir.
Un immense merci à Dick. Opération certainement impossible à réaliser avec ces conditions dans certains autres pays...

La douche écossaise...
Alors là les gars, ce n'est pas peu dire.
Sur huit jours en Ecosse, deux jours de temps (presque) sans pluie, trois jours de flotte "à la française", trés pénarde, les autres jours de la vraie flotte, celle de l'Ecosse : une branlée comme jamais nous n'en avions pris lors de nos centaines de milliers de kms en bécane.
Dixit "la douche écossaise". Ce n'est ni une image ni une histoire. De la pluie nourrie à l'hormone de croissance plus vent à 80 km/h qui vous mettent une de ces branlée !
Et side en trique sur deux roues avec le vent !
Trempés jusqu'aux couilles même avec notre matos de pluie en "gortex" dernière fiente et les mamans l'anus à 10° mouillé sans éros !
La bas, tout le monde s'enfout. Ca roule comme d'hab et les motards pareil. Alors nous avons pris le pli, on a fait comme toul'monde et on était ravis.
Entrée dans les bars pour miam et autres, niet problème, ils ont l'habitude. Personne ne fait la tronche et les écossais pur souche boivent la bière dehors en tee shirt...eh he...on avait trois pulls sous le barbour en gormerde... Heureusement que dans tous les plus petits bars paumés, sans exception, il y avaient au moins une trentaines de whiskies de haute marque (Oban, Lock Lemmon, etc...) et on touchait le 18 ans d'âge à 4 livres le double ! Et un double là bas, c'est 8 doses en France !
Ded'iou quelle cure !

Suite en reportage photo avec des documents assez incroyables dès que possible.
On y retournera tous car l'Ecosse nous a piqué avec son elixir plein de mystères.
Sur le dernier post d'Arvella, c'est le château de Dornie. Nous étions à son pied. Une famille écossaise y vit avec ses traditions dont une : le soir au coucher du soleil, le chef de clan joue de la cornemuse du haut de sa tour, qu'il pleuve ou qu'il vente, du monde ou personne : s'enfout, il joue...
A bientôt.
http://www.est-motorcycles.fr/
Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
Libérez tous les otages !
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Courage, allons !

pierreadventure

Message par pierreadventure » 23 août 2009, 19:16

Super ton compte-rendu , le pont , le château ,Nessie ,j'imagine bien

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Nanuk

Message par Nanuk » 23 août 2009, 20:13

Hi Dany,

à peine de retour et tu nous mets déjà l'eau...plutôt le whisky à la bouche!

..va voir un peu le post "rallye"..t'as trois jours pour attérir!

;)

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PerfideAvion
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Message par PerfideAvion » 23 août 2009, 21:07

...maintenant on sait que Domino est sourd qu'IMZ va trinquer pour les égarements barométriques, va y'avoir de l'action, du velu en mode single malt !

:D
"Je me croyais chêne, je ne suis qu'un gland."

San Antonio

Arvella

Message par Arvella » 30 août 2009, 22:29

Je viens d' voir ça ... ICI
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Est-Motorcycles a écrit :De retour de cette Ecosse mythique et fantastique après une dernière étape de 700 km dans la journée d'hier, ces quelques mots qui précèdent un beau reportage photo qui sera agrémenté de commentaires dès que le tri des documents sera effectué.

Les 1500 kms pour aller et revenir de Zeebrugge
Les Ural sont des machines incroyables. Le départ et le retour ont été effectués au petit jour et des enfilades de plusieurs centaines de kilomètres dans la journée : une journée pour l'Auverge-Zeebrugge et de même pour Zeebrugge-l'Auvergne. Températures clémentes et temps agréable, pas trop chaud. Arrêts cafés et nourriture assez spartiate.
Jean-Marc et sa Wjuga étaient venus nous rejoindre la veille du départ et, après un petit déjeuner commun à 5h30, départ des 3 attelages : la Wjuga donc et 2 Sportsman 2005.
Au dessus de Paris, nous constatons une fuite importante du joint de vilo côté embrayage sur la Sportsman de Dominique. Je lui avais dit de le changer 15 jours avant de partir mais il n'avait pas pu faute de temps...(voir plus loin).
Aucun autre incident à déplorer, les machines ont été extraordinaires.

La Norfolkline
Embarquement sur le bateau de la Norfolkline à Zeebrugge après un incroyable moule-fritte belge dont ils sont seuls à avoir le secret : des moules comme la chachatte à Annie Cordy et des frittes dont la cuisson secrète s'effectue dans deux huiles différentes et avec un lecteur de température digital...
La Norfolkline propose un beau bateau qui réalise du fret comme de l'embarquement de passagers. Propre et agréable, moins somptueux que celui qui nous avait amené en Irlande, son service exécuté par de braves gens de Phillipines est parfait.
Mer calme, quelques vibrations dues aux énormes moteurs V12...Circulation assez impressionnante de bateaux dans la haute Manche et sur la Mer du Nord, presque des embouteillages.
Après 6 heures de haute mer, nous longeons les côtes anglaises tranquillement pour arriver à Hedinburgh (Rosyt exactement), après avoir passé les deux ponts gigantesques de l'entrée du port maritime. Les grands ports ont cette magique mystérieuse des lointains voyages et les milliers de travailleurs qui s'affairent sans cesse comme des fourmis sont impressionnants.
Passage à la douane écossaise sans problème en quelques minutes, ce qui n'a pas été le cas du retour en Belgique : des douaniers tattillons, une bonne heure d'attente.

A gauche toute !
Sortie du port, un petit panneau vous dit simplement qu'ici on roule à gauche.
Facile, car le réseau routiers de l'Ecosse entière est impeccable. Bien entretenu, avec une signalisation surprenante : prévoyante, polie et trés bien réalisée, bien loin de nos panneaux agressifs et censeurs. Là, on trouve des "merci d'avoir respecté la vitesse", des "s'il vous plaît" lorsqu'il faut changer de rythme. Nous avons vu deux policiers en ville sur 1500 kms effectués en Ecosse, et 38 en France sur le même nombre de kilomètres...No comment.
Les limitations de vitesse sont également incroyables. Elles sont justes, tout simplement. Lorsqu'un panneau indique 40 miles par exemple, les dépasser engendre en effet un vrai danger. On roule donc naturellement car les vitesses imposées sont justes, techniques et non administratives.
Pas de racket genre 50 km/h sur une 3 voies et sur 3 kms en ligne droite, etc..., le système de "punition" français est absent. Ici, seulement de la courtoisie et de la simplicité.
Pas d'agressivité donc, des écossais qui cheminent bien, pas de traînards, d'emmerdeurs genre fayots premiers de la classe qui, lorsqu'il est indiqué 30 miles, roulent à 10 pour "être bien" mais qui font chier 50 personnes.
J'ai été impressionné par ce côté agréable de la route. Ca roule, c'est doudou et pénard.
Chaud-chaud : le side à droite pour rouler à gauche. La bécane est incliné et ça se lève facilement...ouh ouh !

En effet, des caméras partout...

On est prévenu par des panneaux disposés le long de la route : caméras, caméras... Une drôle de sensation d'être surveillé, un peu comme en Russie, mais jamais personne pour punir si on se comporte normalement.
Et puis surprise, de nombreuses caméras sont à la disposition du public. En effet, lorsque nous avons été dans notre premier gîte, notre Dick-le-patron nous a demandé notre itinéraire. Isle of Skye lui avons-nous dit. Génial répondit-il, lorsque vous serez sur le pont de Dornie (7 bornes de l'île), faite moi signe en roulant...
Comment ??? Nous ne comprenions pas.
"Si si dit-il, nous avons des caméras partout, mais nous pouvons, moyennant un petit abonnement, en disposer de quelques-unes". Voyez : et hop, il clique sur le Net, frappe son nom, celui du pont de Dornie et paf, le pont de Dornie apparaît sur l'écran. Mais encore plus sciant, il oriente la caméra avec sa souris !!
Bien sûr, arrivés à Dornie, nous avons fait signe.

Le joint de la Sportsman à Domino.
Au dessus de Paris donc, trés importante fuite d'huile tout autour de la couronne d'embrayage : dans le démarreur, partout. Décision première, rapatriement du side via Europe Assistance. Tronche de la femme à Domino... Après une bonne bière, décision d'additiver l'huile avec des polymères, de rouler plus pépère et de changer le joint en Ecosse, après avoir engueulé Domino pour ne pas l'avoir fait avant...
Arrivés au premier gîte, on tombe sur Super Dick, le patron du B&B, un ancien de chez Volvo : 45 piges de clapier dans les engins de chantier chez Volvo.
Je lui dit mon intention de changer le joint. L'avant veille sur la route, allo la concess à la Souris pour lui dire de nous envoyer en chronopost international le joint et tous les extracteurs.
Le colis est arrivé avant nous : bravo la Souris !
La pluie commence à tomber, on est sur le trottoir et go pour le joint en viton (240°C).
Dick-le-pur nous sort une guitoune pour nous couvrir. Le soir la boîte était tombée et le joint dehors. Dick, à la retraite, a vécu un moment de dingue. Il n'en a pas perdu une miette. D'une serviabilité inimaginable, il amenait bombe dégraissante, papier 400, etc...Il n'y croyait pas et nous pensait complètement fous.
Le joint incriminé était en propylène (plastique de m....qui ne dépasse pas 140°C), trop enfoncé de 5 mm (ce qui couvrait les trous de retour d'huile) et le gros circlips de calage du roulement de vilo décalé, bouchant encore plus les trous de retour !
"Qui t'a monté ça" demandais-je furieux ?
Heu..."X" (que je ne citerai pas pour la paix des ménages...).
Fin de matinée du lendemain, le joint était changé et le tout prêt à repartir.
Un immense merci à Dick. Opération certainement impossible à réaliser avec ces conditions dans certains autres pays...

La douche écossaise...
Alors là les gars, ce n'est pas peu dire.
Sur huit jours en Ecosse, deux jours de temps (presque) sans pluie, trois jours de flotte "à la française", trés pénarde, les autres jours de la vraie flotte, celle de l'Ecosse : une branlée comme jamais nous n'en avions pris lors de nos centaines de milliers de kms en bécane.
Dixit "la douche écossaise". Ce n'est ni une image ni une histoire. De la pluie nourrie à l'hormone de croissance plus vent à 80 km/h qui vous mettent une de ces branlée !
Et side en trique sur deux roues avec le vent !
Trempés jusqu'aux couilles même avec notre matos de pluie en "gortex" dernière fiente et les mamans l'anus à 10° mouillé sans éros !
La bas, tout le monde s'enfout. Ca roule comme d'hab et les motards pareil. Alors nous avons pris le pli, on a fait comme toul'monde et on était ravis.
Entrée dans les bars pour miam et autres, niet problème, ils ont l'habitude. Personne ne fait la tronche et les écossais pur souche boivent la bière dehors en tee shirt...eh he...on avait trois pulls sous le barbour en gormerde... Heureusement que dans tous les plus petits bars paumés, sans exception, il y avaient au moins une trentaines de whiskies de haute marque (Oban, Lock Lemmon, etc...) et on touchait le 18 ans d'âge à 4 livres le double ! Et un double là bas, c'est 8 doses en France !
Ded'iou quelle cure !
Dernière modification par Arvella le 30 août 2009, 23:37, modifié 1 fois.

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PerfideAvion
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Message par PerfideAvion » 30 août 2009, 23:04

...super ce premier reportage, j'ai surtout aimé les mouettes...

...mêmes si je ne comprends pas bien le Football, tout ce dialogue avec les mouettes m'a remémoré un certain Cantona...avec une drôle de pub (Le Lien Youtube) en droite ligne de sa célèbre tirade :

?QUAND LES MOUETTES SUIVENT UN CHALUTIER, C?EST QU?ELLES PENSENT QU?ON VA LEUR JETER DES SARDINES?

:D
"Je me croyais chêne, je ne suis qu'un gland."

San Antonio

pierreadventure

Message par pierreadventure » 31 août 2009, 09:15

très beau voyage , et reportage en couleur et en relief :D


le mystère plane sur le concessionnaire X :B excellent , j'espère qu'il va voir le reportage du voyage qu'il a failli faire foirer .

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