Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
C'est tout à fait le genre de voyage à faire (en solo) qui me plairait !
Pas mieux pour une introspection et se remettre en phase !
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
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Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
L"arme du mal est par excellence le mensonge...
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Courage, allons !
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
Il est très important de situer les samis aujourd'hui.
Lorsqu'on recherche "samis" sur le Net, on trouve d'innombrables photos et reportages qui sont une sorte de "pot pourri" avec lequel, malheureusement, des reportages et des posts sont proposés. Or c'est une chose que de cliquer sur l'un de ces reportages sur le Net pour le copier et une autre que de se rendre à leur rencontre, sur place.
C'est dommage car ainsi relatés, ces posts n'illustrent pas du tout la vie et le combat sami aujourd'hui.
Or aujourd'hui, l'essentiel du combat sami est celui de conserver une zone planétaire d'une grande pureté, qui fournit de quoi respirer et de quoi boire, sans évoquer la nourriture. Ils se battent pour cela, vivent d'une manière très dure pour rester les gardiens de ces richesses qui vont manquer au monde entier sous peu.
Nous, n'achetons pas de voiture électrique mais nous montons voir les samis afin d'apprendre d'eux, en recueillant leurs témoignages et en vivant comme eux sur place.
C'est un effort que nous faisons tous les ans et qui demande bien des privations : rien à voir avec des clics sur le Net...
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
Merci Helga, je pense aussi en effet que nos samis sont au coeur de la vraie écologie et que, bien que nous ne soyons pas dans des conditions identiques du tout, nous ferions bien de nous inspirer de ce qu'ils expérimentent sur cette question, car ils le vivent depuis 2000 ans... que cela ne bouge pas et qu'ils en sont là aujourd'hui !Helga a écrit : ↑10 sept. 2022, 18:25
Il est très important de situer les samis aujourd'hui.
Lorsqu'on recherche "samis" sur le Net, on trouve d'innombrables photos et reportages qui sont une sorte de "pot pourri" avec lequel, malheureusement, des reportages et des posts sont proposés. Or c'est une chose que de cliquer sur l'un de ces reportages sur le Net pour le copier et une autre que de se rendre à leur rencontre, sur place.
C'est dommage car ainsi relatés, ces posts n'illustrent pas du tout la vie et le combat sami aujourd'hui.
Or aujourd'hui, l'essentiel du combat sami est celui de conserver une zone planétaire d'une grande pureté, qui fournit de quoi respirer et de quoi boire, sans évoquer la nourriture. Ils se battent pour cela, vivent d'une manière très dure pour rester les gardiens de ces richesses qui vont manquer au monde entier sous peu.
Nous, n'achetons pas de voiture électrique mais nous montons voir les samis afin d'apprendre d'eux, en recueillant leurs témoignages et en vivant comme eux sur place.
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L'impressionnante vallée du fleuve Teno.
Le Teno (Teno ou Tenojoki — c'est-à-dire « fleuve Teno » — en finnois, Tana en norvégien et Deatnu en Same) est un fleuve de Finlande et de Norvège tributaire de la mer de Barents (océan Arctique), marquant sur 256 kilomètres, la majeure partie de son cours, la frontière entre ces deux pays. Cette route qui longe est sans aucun doute une des plus somptueuse de Scandinavie...
Kevo, Ustjoki, Sima,Nuorgam...c'est à Tana que je bifurque sur Batsfjord, proche du 71° parallèle.
Ces mini villes sont dépourvues d'infrastructures "normales". Dans chacune d'elles il n'y a juste qu'une station d'essence avec du 95 et du fioul, un "minimarquet" et c'est tout...
La sensation d'arriver au bout du monde est exceptionnelle, je ne l'ai jamais ressentie ainsi.
Puis, au kilomètre 75 en partant de Tana, la route se sépare en deux : à gauche vers Berlevag et à droite la 891 qui monte sur Batsfjord.
A partir de cette fourche, tout change d'une manière étonnante. On accède à un plateau balayé par les vents, la végétation disparaît et c'est un univers quasi extraterrestre qui se présente à nos yeux...
On voit au loin des troupeaux de rennes complètement sauvages qui courent en horde...impossible à prendre en photos (si on agrandit les images on les devine...). Il fait 4 degrés, peu de vent pour cet aller car au retour c'était une autre partition...
Au bout de ce plateau on amorce une longue descente sur la côte et sur 15 kils, pour découvrir cette mini "ville" au bout du monde, ayant les pieds dans la Mer de Barents... Badfjord, lieu surprenant et mystérieux...
...à suivre...
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Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
Quels splendides paysages! le rappel de notre étape à Nuorgam ,la dernière au nord avant le retour, l'année passée.Est-Motorcycles a écrit : ↑11 sept. 2022, 23:05Merci Helga, je pense aussi en effet que nos samis sont au coeur de la vraie écologie et que, bien que nous ne soyons pas dans des conditions identiques du tout, nous ferions bien de nous inspirer de ce qu'ils expérimentent sur cette question, car ils le vivent depuis 2000 ans... que cela ne bouge pas et qu'ils en sont là aujourd'hui !Helga a écrit : ↑10 sept. 2022, 18:25
Il est très important de situer les samis aujourd'hui.
Lorsqu'on recherche "samis" sur le Net, on trouve d'innombrables photos et reportages qui sont une sorte de "pot pourri" avec lequel, malheureusement, des reportages et des posts sont proposés. Or c'est une chose que de cliquer sur l'un de ces reportages sur le Net pour le copier et une autre que de se rendre à leur rencontre, sur place.
C'est dommage car ainsi relatés, ces posts n'illustrent pas du tout la vie et le combat sami aujourd'hui.
Or aujourd'hui, l'essentiel du combat sami est celui de conserver une zone planétaire d'une grande pureté, qui fournit de quoi respirer et de quoi boire, sans évoquer la nourriture. Ils se battent pour cela, vivent d'une manière très dure pour rester les gardiens de ces richesses qui vont manquer au monde entier sous peu.
Nous, n'achetons pas de voiture électrique mais nous montons voir les samis afin d'apprendre d'eux, en recueillant leurs témoignages et en vivant comme eux sur place.
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Le Teno (Teno ou Tenojoki — c'est-à-dire « fleuve Teno » — en finnois, Tana en norvégien et Deatnu en Same) est un fleuve de Finlande et de Norvège tributaire de la mer de Barents (océan Arctique), marquant sur 256 kilomètres, la majeure partie de son cours, la frontière entre ces deux pays. Cette route qui longe est sans aucun doute une des plus somptueuse de Scandinavie...
Kevo, Ustjoki, Sima,Nuorgam...c'est à Tana que je bifurque sur Batsfjord, proche du 71° parallèle.
Ces mini villes sont dépourvues d'infrastructures "normales". Dans chacune d'elles il n'y a juste qu'une station d'essence avec du 95 et du fioul, un "minimarquet" et c'est tout...
La sensation d'arriver au bout du monde est exceptionnelle, je ne l'ai jamais ressentie ainsi.
Puis, au kilomètre 75 en partant de Tana, la route se sépare en deux : à gauche vers Berlevag et à droite la 891 qui monte sur Batsfjord.
A partir de cette fourche, tout change d'une manière étonnante. On accède à un plateau balayé par les vents, la végétation disparaît et c'est un univers quasi extraterrestre qui se présente à nos yeux...
On voit au loin des troupeaux de rennes complètement sauvages qui courent en horde...impossible à prendre en photos (si on agrandit les images on les devine...). Il fait 4 degrés, peu de vent pour cet aller car au retour c'était une autre partition...
Au bout de ce plateau on amorce une longue descente sur la côte et sur 15 kils, pour découvrir cette mini "ville" au bout du monde, ayant les pieds dans la Mer de Barents... Badfjord, lieu surprenant et mystérieux...
...à suivre...
Merci pour ces belles photos qui me font venir des larmes de nostalgie.
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
Fantastique ! J'ai été admiratif de cette performance, même en Dacia, car me semble-t-il vous aviez encore la tente de toit ? Ah, vous n'avez pas dû avoir chaud...creationsthor a écrit : ↑11 sept. 2022, 23:33...
Quels splendides paysages! le rappel de notre étape à Nuorgam ,la dernière au nord avant le retour, l'année passée.
Merci pour ces belles photos qui me font venir des larmes de nostalgie.
Franchement je ne pensais pas arriver jusque là. Etant parti dans l'incertitude absolue de ne pas couvrir ce chemin intégralement, je m'était fait à l'idée de pouvoir faire déjà demi-tour à Baume les Dames !
Mais trop de beautés sont attirantes là-haut, n'est-ce pas ?
Et puis nos samis ont besoin d'être écoutés, supportés, aidés - là oui le mot est possible - sans esprit de charité, simplement en passant chez eux discrètement et en acquérant les produits qu'ils proposent et qu'ils fabriquent avec joie. Mais surtout pour les écouter et prendre exemple.
C'est la raison pour laquelle un petit effort est nécessaire, bien vite récompensé !
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
Merci Helga, je pense aussi en effet que nos samis sont au coeur de la vraie écologie et que, bien que nous ne soyons pas dans des conditions identiques du tout, nous ferions bien de nous inspirer de ce qu'ils expérimentent sur cette question, car ils le vivent depuis 2000 ans... que cela ne bouge pas et qu'ils en sont là aujourd'hui !
L'impressionnante vallée du fleuve Teno.
Le Teno (Teno ou Tenojoki — c'est-à-dire « fleuve Teno » — en finnois, Tana en norvégien et Deatnu en Same) est un fleuve de Finlande et de Norvège tributaire de la mer de Barents (océan Arctique), marquant sur 256 kilomètres, la majeure partie de son cours, la frontière entre ces deux pays. Cette route qui longe est sans aucun doute une des plus somptueuse de Scandinavie...
Kevo, Ustjoki, Sima,Nuorgam...c'est à Tana que je bifurque sur Batsfjord, proche du 71° parallèle.
Ces mini villes sont dépourvues d'infrastructures "normales". Dans chacune d'elles il n'y a juste qu'une station d'essence avec du 95 et du fioul, un "minimarquet" et c'est tout...
La sensation d'arriver au bout du monde est exceptionnelle, je ne l'ai jamais ressentie ainsi.
Puis, au kilomètre 75 en partant de Tana, la route se sépare en deux : à gauche vers Berlevag et à droite la 891 qui monte sur Batsfjord.
A partir de cette fourche, tout change d'une manière étonnante. On accède à un plateau balayé par les vents, la végétation disparaît et c'est un univers quasi extraterrestre qui se présente à nos yeux...
On voit au loin des troupeaux de rennes complètement sauvages qui courent en horde...impossible à prendre en photos (si on agrandit les images on les devine...). Il fait 4 degrés, peu de vent pour cet aller car au retour c'était une autre partition...
Au bout de ce plateau on amorce une longue descente sur la côte et sur 15 kils, pour découvrir cette mini "ville" au bout du monde, ayant les pieds dans la Mer de Barents... Badfjord, lieu surprenant et mystérieux...
...à suivre...
Magnifique!
L'impressionnante vallée du fleuve Teno.
Le Teno (Teno ou Tenojoki — c'est-à-dire « fleuve Teno » — en finnois, Tana en norvégien et Deatnu en Same) est un fleuve de Finlande et de Norvège tributaire de la mer de Barents (océan Arctique), marquant sur 256 kilomètres, la majeure partie de son cours, la frontière entre ces deux pays. Cette route qui longe est sans aucun doute une des plus somptueuse de Scandinavie...
Kevo, Ustjoki, Sima,Nuorgam...c'est à Tana que je bifurque sur Batsfjord, proche du 71° parallèle.
Ces mini villes sont dépourvues d'infrastructures "normales". Dans chacune d'elles il n'y a juste qu'une station d'essence avec du 95 et du fioul, un "minimarquet" et c'est tout...
La sensation d'arriver au bout du monde est exceptionnelle, je ne l'ai jamais ressentie ainsi.
Puis, au kilomètre 75 en partant de Tana, la route se sépare en deux : à gauche vers Berlevag et à droite la 891 qui monte sur Batsfjord.
A partir de cette fourche, tout change d'une manière étonnante. On accède à un plateau balayé par les vents, la végétation disparaît et c'est un univers quasi extraterrestre qui se présente à nos yeux...
On voit au loin des troupeaux de rennes complètement sauvages qui courent en horde...impossible à prendre en photos (si on agrandit les images on les devine...). Il fait 4 degrés, peu de vent pour cet aller car au retour c'était une autre partition...
Au bout de ce plateau on amorce une longue descente sur la côte et sur 15 kils, pour découvrir cette mini "ville" au bout du monde, ayant les pieds dans la Mer de Barents... Badfjord, lieu surprenant et mystérieux...
...à suivre...
Magnifique!
Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
Dan, tu nous fais voyager vers ce qui nous manque souvent, la sérénité et l’humanité fraternelle de la simplicité. À l'image de ce représentant des Samis," le brave est "simplement" un des représentants samis au parlement de Utsjoki ... Il te regarde et sait à quoi ou à qui tu penses." le silence d’un sage...
Merci pour le message que tu laisses de tes voyages. On se régale en se faisant bousculer les neurones bien trop rangés.
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
Christian a écrit : ↑12 sept. 2022, 10:31Dan, tu nous fais voyager vers ce qui nous manque souvent, la sérénité et l’humanité fraternelle de la simplicité. À l'image de ce représentant des Samis," le brave est "simplement" un des représentants samis au parlement de Utsjoki ... Il te regarde et sait à quoi ou à qui tu penses." le silence d’un sage...
Merci pour le message que tu laisses de tes voyages. On se régale en se faisant bousculer les neurones bien trop rangés.
Merci à toi Christian.
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Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
L"arme du mal est par excellence le mensonge...
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
En descendant, ces veines de mine de fer particulièrement riches...et qui sont très intéressantes pour ce qui me préoccupe en d'autres lieux...C'est le sami qui les a indiqué, merci à lui...
Batsfjord est une petite ville côtière pleine de mystères, c'est-à-dire emplie de mouvements et d'évènements que l'on ne comprend pas au premier abord...Mais si on reste quelques jours là, alors on comprend que les évènements de la vie sont gérés par les mouvements de la météo, très puissante aux abords de la Mer de Barents. Ils sont sans filtre.
Cela m'amuse toujours de voir les liseurs d'astres qui osent interpréter les destins au coeur du bordel du monde ! Ces gens sont fous et sont atteints d'un ego fabuleux. Voir le destin des gens...non mais où on va, là ?
Que voit-elle, elle, où est-elle ? Il n'y avait "rien"...Ce regard est le même que celui de certains rennes ivres d'aurores boréales...Ce regard est ouvert, il part d'elle vers les cieux, et non pas comme ceux des vains liseurs des choses vers eux...
La voilà, cette Mer de Barents si froide et si sauvage...
C'est le port qui m'intéressait...un bon tiers de bateaux sont russes... Ils travaillent ensemble dans une harmonie totale : ce qui se passe loin des spots télévisés n'est pas la vraie vie. Dans la vraie vie à Batsfjord, les marins norvégiens, russes et finlandais travaillent main dans la main.
Quelle claque ! Ici la politique des grosses têtes n'existe pas.
En quelques minutes le temps se couvre...une mini tempête passe. Efficace et rapide. Tu restes dehors sous la drache trois minutes en ayant beau être couvert de ton barbour, ça passe !
Peu d'activité autre que la pêche et les usines de poissons dont nous recevons jusqu'en France les productions savoureuses.
On saura maintenant que cabillots et autres poissons sont aussi pêchés par des russes...
Le soir les jeunes s'ennuient, alors ils boivent dans le seul pub du coin. Ils font du bruit une fois ivres mais sont sages, ils ne cassent rien, ils ne font que se défouler et c'est bien normal.
Pas de flics...
Deux nuits de repos en chambre d'hôte avec une journée de lessive-séchage mettront de l'ordre dans les neurones ! Repartir reposé avec du linge propre est très important pour moi. Il ne suffit pas de se laver la pastille pour ne pas puer, il faut aller plus loin !
J'ai ramené de là quelques trucs dont je ne souhaite pas parler. Cela a un rapport avec les bateaux...du king crabe...
Le but était atteint, si but il y avait...disons un espoir. Je n'y croyais pas, c'est trop formidable. Tout de même, cela valait bien un resto...promesse tenue pour nos amis qui ont contribué à cette arrivée...
La vie n'est facile pour aucun de nous. Mais quoi, il faut avoir de la persévérance, et surtout de la confiance en soi. Il faut croire que l'on est doué pour quelque chose, et que, cette chose, il faut l'atteindre coûte que coûte.
Avec les faibles moyens ce n'est ni de la chance ni de la folie, c'est simplement une volonté disons...alsacienne ! Une sorte de fierté pour les aïeux, un bouquet de fleur posé à l'hôtel de l'exemplarité aux côtés de ceux des autres déjà présents.
C'est cette grande route de l'aventure qu'il faut suivre, et elle prend un sens et une couleur différentes pour chacun qui ose l'entreprendre.
La récompense est forte, puissante que dire...complètement utopique, mais cette utopie est dans le réel : le rêve existe !
Si nous n'affrontons pas nos peurs, jamais nous ne pouvons atteindre notre but.
Comme il est bon de forcer notre possible...
...à suivre...
Batsfjord est une petite ville côtière pleine de mystères, c'est-à-dire emplie de mouvements et d'évènements que l'on ne comprend pas au premier abord...Mais si on reste quelques jours là, alors on comprend que les évènements de la vie sont gérés par les mouvements de la météo, très puissante aux abords de la Mer de Barents. Ils sont sans filtre.
Cela m'amuse toujours de voir les liseurs d'astres qui osent interpréter les destins au coeur du bordel du monde ! Ces gens sont fous et sont atteints d'un ego fabuleux. Voir le destin des gens...non mais où on va, là ?
Que voit-elle, elle, où est-elle ? Il n'y avait "rien"...Ce regard est le même que celui de certains rennes ivres d'aurores boréales...Ce regard est ouvert, il part d'elle vers les cieux, et non pas comme ceux des vains liseurs des choses vers eux...
La voilà, cette Mer de Barents si froide et si sauvage...
C'est le port qui m'intéressait...un bon tiers de bateaux sont russes... Ils travaillent ensemble dans une harmonie totale : ce qui se passe loin des spots télévisés n'est pas la vraie vie. Dans la vraie vie à Batsfjord, les marins norvégiens, russes et finlandais travaillent main dans la main.
Quelle claque ! Ici la politique des grosses têtes n'existe pas.
En quelques minutes le temps se couvre...une mini tempête passe. Efficace et rapide. Tu restes dehors sous la drache trois minutes en ayant beau être couvert de ton barbour, ça passe !
Peu d'activité autre que la pêche et les usines de poissons dont nous recevons jusqu'en France les productions savoureuses.
On saura maintenant que cabillots et autres poissons sont aussi pêchés par des russes...
Le soir les jeunes s'ennuient, alors ils boivent dans le seul pub du coin. Ils font du bruit une fois ivres mais sont sages, ils ne cassent rien, ils ne font que se défouler et c'est bien normal.
Pas de flics...
Deux nuits de repos en chambre d'hôte avec une journée de lessive-séchage mettront de l'ordre dans les neurones ! Repartir reposé avec du linge propre est très important pour moi. Il ne suffit pas de se laver la pastille pour ne pas puer, il faut aller plus loin !
J'ai ramené de là quelques trucs dont je ne souhaite pas parler. Cela a un rapport avec les bateaux...du king crabe...
Le but était atteint, si but il y avait...disons un espoir. Je n'y croyais pas, c'est trop formidable. Tout de même, cela valait bien un resto...promesse tenue pour nos amis qui ont contribué à cette arrivée...
La vie n'est facile pour aucun de nous. Mais quoi, il faut avoir de la persévérance, et surtout de la confiance en soi. Il faut croire que l'on est doué pour quelque chose, et que, cette chose, il faut l'atteindre coûte que coûte.
Avec les faibles moyens ce n'est ni de la chance ni de la folie, c'est simplement une volonté disons...alsacienne ! Une sorte de fierté pour les aïeux, un bouquet de fleur posé à l'hôtel de l'exemplarité aux côtés de ceux des autres déjà présents.
C'est cette grande route de l'aventure qu'il faut suivre, et elle prend un sens et une couleur différentes pour chacun qui ose l'entreprendre.
La récompense est forte, puissante que dire...complètement utopique, mais cette utopie est dans le réel : le rêve existe !
Si nous n'affrontons pas nos peurs, jamais nous ne pouvons atteindre notre but.
Comme il est bon de forcer notre possible...
...à suivre...
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Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
L"arme du mal est par excellence le mensonge...
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Courage, allons !
Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
L"arme du mal est par excellence le mensonge...
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Courage, allons !
Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
Encore merci pour le partage de toutes ces émotions, ces réflexions et ces beaux paysages, ces filons d'une grande richesse, j'aime beaucoup le regard de la jeune fille tourné vers le ciel, plein d'espoir, le poing levé, en lutte contre ce système qui broie les âmes ....Est-Motorcycles a écrit : ↑13 sept. 2022, 18:55En descendant, ces veines de mine de fer particulièrement riches...et qui sont très intéressantes pour ce qui me préoccupe en d'autres lieux...C'est le sami qui les a indiqué, merci à lui...
Batsfjord est une petite ville côtière pleine de mystères, c'est-à-dire emplie de mouvements et d'évènements que l'on ne comprend pas au premier abord...Mais si on reste quelques jours là, alors on comprend que les évènements de la vie sont gérés par les mouvements de la météo, très puissante aux abords de la Mer de Barents. Ils sont sans filtre.
Cela m'amuse toujours de voir les liseurs d'astres qui osent interpréter les destins au coeur du bordel du monde ! Ces gens sont fous et sont atteints d'un ego fabuleux. Voir le destin des gens...non mais où on va, là ?
Que voit-elle, elle, où est-elle ? Il n'y avait "rien"...Ce regard est le même que celui de certains rennes ivres d'aurores boréales...Ce regard est ouvert, il part d'elle vers les cieux, et non pas comme ceux des vains liseurs des choses vers eux...
La voilà, cette Mer de Barents si froide et si sauvage...
C'est le port qui m'intéressait...un bon tiers de bateaux sont russes... Ils travaillent ensemble dans une harmonie totale : ce qui se passe loin des spots télévisés n'est pas la vraie vie. Dans la vraie vie à Batsfjord, les marins norvégiens, russes et finlandais travaillent main dans la main.
Quelle claque ! Ici la politique des grosses têtes n'existe pas.
En quelques minutes le temps se couvre...une mini tempête passe. Efficace et rapide. Tu restes dehors sous la drache trois minutes en ayant beau être couvert de ton barbour, ça passe !
Peu d'activité autre que la pêche et les usines de poissons dont nous recevons jusqu'en France les productions savoureuses.
On saura maintenant que cabillots et autres poissons sont aussi pêchés par des russes...
Le soir les jeunes s'ennuient, alors ils boivent dans le seul pub du coin. Ils font du bruit une fois ivres mais sont sages, ils ne cassent rien, ils ne font que se défouler et c'est bien normal.
Pas de flics...
Deux nuits de repos en chambre d'hôte avec une journée de lessive-séchage mettront de l'ordre dans les neurones ! Repartir reposé avec du linge propre est très important pour moi. Il ne suffit pas de se laver la pastille pour ne pas puer, il faut aller plus loin !
J'ai ramené de là quelques trucs dont je ne souhaite pas parler. Cela a un rapport avec les bateaux...du king crabe...
Le but était atteint, si but il y avait...disons un espoir. Je n'y croyais pas, c'est trop formidable. Tout de même, cela valait bien un resto...promesse tenue pour nos amis qui ont contribué à cette arrivée...
La vie n'est facile pour aucun de nous. Mais quoi, il faut avoir de la persévérance, et surtout de la confiance en soi. Il faut croire que l'on est doué pour quelque chose, et que, cette chose, il faut l'atteindre coûte que coûte.
Avec les faibles moyens ce n'est ni de la chance ni de la folie, c'est simplement une volonté disons...alsacienne ! Une sorte de fierté pour les aïeux, un bouquet de fleur posé à l'hôtel de l'exemplarité aux côtés de ceux des autres déjà présents.
C'est cette grande route de l'aventure qu'il faut suivre, et elle prend un sens et une couleur différentes pour chacun qui ose l'entreprendre.
La récompense est forte, puissante que dire...complètement utopique, mais cette utopie est dans le réel : le rêve existe !
Si nous n'affrontons pas nos peurs, jamais nous ne pouvons atteindre notre but.
Comme il est bon de forcer notre possible...
...à suivre...
Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
« C'est le port qui m'intéressait...un bon tiers de bateaux sont russes... Ils travaillent ensemble dans une harmonie totale : ce qui se passe loin des spots télévisés n'est pas la vraie vie. Dans la vraie vie à Batsfjord, les marins norvégiens, russes et finlandais travaillent main dans la main. »Est-Motorcycles a écrit : ↑13 sept. 2022, 18:55En descendant, ces veines de mine de fer particulièrement riches...et qui sont très intéressantes pour ce qui me préoccupe en d'autres lieux...C'est le sami qui les a indiqué, merci à lui...
Batsfjord est une petite ville côtière pleine de mystères, c'est-à-dire emplie de mouvements et d'évènements que l'on ne comprend pas au premier abord...Mais si on reste quelques jours là, alors on comprend que les évènements de la vie sont gérés par les mouvements de la météo, très puissante aux abords de la Mer de Barents. Ils sont sans filtre.
Cela m'amuse toujours de voir les liseurs d'astres qui osent interpréter les destins au coeur du bordel du monde ! Ces gens sont fous et sont atteints d'un ego fabuleux. Voir le destin des gens...non mais où on va, là ?
Que voit-elle, elle, où est-elle ? Il n'y avait "rien"...Ce regard est le même que celui de certains rennes ivres d'aurores boréales...Ce regard est ouvert, il part d'elle vers les cieux, et non pas comme ceux des vains liseurs des choses vers eux...
La voilà, cette Mer de Barents si froide et si sauvage...
C'est le port qui m'intéressait...un bon tiers de bateaux sont russes... Ils travaillent ensemble dans une harmonie totale : ce qui se passe loin des spots télévisés n'est pas la vraie vie. Dans la vraie vie à Batsfjord, les marins norvégiens, russes et finlandais travaillent main dans la main.
Quelle claque ! Ici la politique des grosses têtes n'existe pas.
En quelques minutes le temps se couvre...une mini tempête passe. Efficace et rapide. Tu restes dehors sous la drache trois minutes en ayant beau être couvert de ton barbour, ça passe !
Peu d'activité autre que la pêche et les usines de poissons dont nous recevons jusqu'en France les productions savoureuses.
On saura maintenant que cabillots et autres poissons sont aussi pêchés par des russes...
Le soir les jeunes s'ennuient, alors ils boivent dans le seul pub du coin. Ils font du bruit une fois ivres mais sont sages, ils ne cassent rien, ils ne font que se défouler et c'est bien normal.
Pas de flics...
Deux nuits de repos en chambre d'hôte avec une journée de lessive-séchage mettront de l'ordre dans les neurones ! Repartir reposé avec du linge propre est très important pour moi. Il ne suffit pas de se laver la pastille pour ne pas puer, il faut aller plus loin !
J'ai ramené de là quelques trucs dont je ne souhaite pas parler. Cela a un rapport avec les bateaux...du king crabe...
Le but était atteint, si but il y avait...disons un espoir. Je n'y croyais pas, c'est trop formidable. Tout de même, cela valait bien un resto...promesse tenue pour nos amis qui ont contribué à cette arrivée...
La vie n'est facile pour aucun de nous. Mais quoi, il faut avoir de la persévérance, et surtout de la confiance en soi. Il faut croire que l'on est doué pour quelque chose, et que, cette chose, il faut l'atteindre coûte que coûte.
Avec les faibles moyens ce n'est ni de la chance ni de la folie, c'est simplement une volonté disons...alsacienne ! Une sorte de fierté pour les aïeux, un bouquet de fleur posé à l'hôtel de l'exemplarité aux côtés de ceux des autres déjà présents.
C'est cette grande route de l'aventure qu'il faut suivre, et elle prend un sens et une couleur différentes pour chacun qui ose l'entreprendre.
La récompense est forte, puissante que dire...complètement utopique, mais cette utopie est dans le réel : le rêve existe !
Si nous n'affrontons pas nos peurs, jamais nous ne pouvons atteindre notre but.
Comme il est bon de forcer notre possible...
...à suivre...
Voilà qui ne va pas plaire aux médias à la botte…. Ça fait du bien.
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
+1 !!Cathy a écrit : ↑13 sept. 2022, 19:52Encore merci pour le partage de toutes ces émotions, ces réflexions et ces beaux paysages, ces filons d'une grande richesse, j'aime beaucoup le regard de la jeune fille tourné vers le ciel, plein d'espoir, le poing levé, en lutte contre ce système qui broie les âmes ....Est-Motorcycles a écrit : ↑13 sept. 2022, 18:55En descendant, ces veines de mine de fer particulièrement riches...et qui sont très intéressantes pour ce qui me préoccupe en d'autres lieux...C'est le sami qui les a indiqué, merci à lui...
Batsfjord est une petite ville côtière pleine de mystères, c'est-à-dire emplie de mouvements et d'évènements que l'on ne comprend pas au premier abord...Mais si on reste quelques jours là, alors on comprend que les évènements de la vie sont gérés par les mouvements de la météo, très puissante aux abords de la Mer de Barents. Ils sont sans filtre.
Cela m'amuse toujours de voir les liseurs d'astres qui osent interpréter les destins au coeur du bordel du monde ! Ces gens sont fous et sont atteints d'un ego fabuleux. Voir le destin des gens...non mais où on va, là ?
Que voit-elle, elle, où est-elle ? Il n'y avait "rien"...Ce regard est le même que celui de certains rennes ivres d'aurores boréales...Ce regard est ouvert, il part d'elle vers les cieux, et non pas comme ceux des vains liseurs des choses vers eux...
La voilà, cette Mer de Barents si froide et si sauvage...
C'est le port qui m'intéressait...un bon tiers de bateaux sont russes... Ils travaillent ensemble dans une harmonie totale : ce qui se passe loin des spots télévisés n'est pas la vraie vie. Dans la vraie vie à Batsfjord, les marins norvégiens, russes et finlandais travaillent main dans la main.
Quelle claque ! Ici la politique des grosses têtes n'existe pas.
En quelques minutes le temps se couvre...une mini tempête passe. Efficace et rapide. Tu restes dehors sous la drache trois minutes en ayant beau être couvert de ton barbour, ça passe !
Peu d'activité autre que la pêche et les usines de poissons dont nous recevons jusqu'en France les productions savoureuses.
On saura maintenant que cabillots et autres poissons sont aussi pêchés par des russes...
Le soir les jeunes s'ennuient, alors ils boivent dans le seul pub du coin. Ils font du bruit une fois ivres mais sont sages, ils ne cassent rien, ils ne font que se défouler et c'est bien normal.
Pas de flics...
Deux nuits de repos en chambre d'hôte avec une journée de lessive-séchage mettront de l'ordre dans les neurones ! Repartir reposé avec du linge propre est très important pour moi. Il ne suffit pas de se laver la pastille pour ne pas puer, il faut aller plus loin !
J'ai ramené de là quelques trucs dont je ne souhaite pas parler. Cela a un rapport avec les bateaux...du king crabe...
Le but était atteint, si but il y avait...disons un espoir. Je n'y croyais pas, c'est trop formidable. Tout de même, cela valait bien un resto...promesse tenue pour nos amis qui ont contribué à cette arrivée...
La vie n'est facile pour aucun de nous. Mais quoi, il faut avoir de la persévérance, et surtout de la confiance en soi. Il faut croire que l'on est doué pour quelque chose, et que, cette chose, il faut l'atteindre coûte que coûte.
Avec les faibles moyens ce n'est ni de la chance ni de la folie, c'est simplement une volonté disons...alsacienne ! Une sorte de fierté pour les aïeux, un bouquet de fleur posé à l'hôtel de l'exemplarité aux côtés de ceux des autres déjà présents.
C'est cette grande route de l'aventure qu'il faut suivre, et elle prend un sens et une couleur différentes pour chacun qui ose l'entreprendre.
La récompense est forte, puissante que dire...complètement utopique, mais cette utopie est dans le réel : le rêve existe !
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...à suivre...
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Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
...merci, à suivre début de semaine prochaine, après le Meeting des voyageurs de Horizons Unilimited auquel quelques-uns d'entre nous participent...
http://www.est-motorcycles.fr/
Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
L"arme du mal est par excellence le mensonge...
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Courage, allons !
Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
L"arme du mal est par excellence le mensonge...
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Courage, allons !
Re: Le Petit Poucet chez les samis, 71° parallèle nord.
Je penserai à vous.Est-Motorcycles a écrit : ↑14 sept. 2022, 22:31
...merci, à suivre début de semaine prochaine, après le Meeting des voyageurs de Horizons Unilimited auquel quelques-uns d'entre nous participent...
Nous retrouvons nos amis partis 7 mois en Asie avec leurs sac à dos et leurs 4 garçons. Les retrouvailles vont être intenses !