Merci Laurent !
Au-dessus du temple bar, sacrée ambiance !?
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Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Vendredi 29 juillet : Roundwood / Cong
Un réveil de bonne heure et (enfin) un petit-déjeuner irlandais, le « Full Irish ». Composé d’œufs au plat, boudins blanc et noir, tomate au four, haricots blancs à la tomate, bacon et saucisses fumées, champignons : c’est copieux et de circonstance pour affronter notre journée « traversée ».
Nous quittons Roundwood repus et prêt à affronter cette journée.
Avec ses quelques 255 km d’Est en Ouest, la traversée s’annonce éprouvante. En effet, la paysage et la route sont sans intérêt, à l’exception (trop rare) de quelques parties.
Nous voyons des tourbières le long de la route mais aucune photo n’est prise … Une erreur de notre part car nous n’en reverrons plus…
Durant ce séjour, nous sommes devenus des adeptes de Lidl (pour nous sauver des repas loupés).
C’est alors la 1ère fois que nous sommes abordés, dans un 1er temps par un « papi » avec son petit-fils, chiliens, en Irlande depuis 6 mois puis un couple d’ainés irlandais, lui roulant en Royal Enfield.
Ils sont adorables et les échanges sont passionnés. Ils nous quittent au bout de 20 minutes non sans avoir pris quelques photos et nous souhaitent bonne route.
A ce sujet, nous arrêterons rapidement de compter les pouces levés, les appels de phare, les photos prises avec ou sans nous !
Ma photographe en herbe
Prochaine étape : l’abbaye de Clonmcnoise. Voyant que nous sommes motards, la discussion démarre sur la Royal Enfield, dure mais lui expliquant que nous sommes « pris par le temps », nous souhaitons visiter, il nous fait alors 50% de remise !
Le site est reposant et impose le silence. Le Pape Jean-Paul II est même venu en 79.
Les croix originales sont à l'intérieur, les copies à l'extérieur, afin de les préserver des affres du temps.
Prêts à prendre la route, la pluie s’invite pour ne plus nous quitter jusqu’à notre arrivée au B&B (mais qui n’en est pas vraiment un ...).
Il s’agit d’une grande maison dédiée à John Wayne pour le film « The Quiet Man ». Elle est gérée en même temps qu’un grand camping. Bref, nous ne sommes pas chez l’habitant. Dommage, mais l’accueil est convivial, voir familial.
Comprenant que nous sommes Français, l’ancien entonne l’air de Sardou « les lacs du Connemara »…
De retour aux machines, un couple français nous aborde : ils sont motards mais visitent l’Irlande en van.
Il a tout fait : le Népal en Royal, le Cap Nord en BM, … Mais jamais de la vie, il ne fera l’Irlande en moto : « trop humide ! ».
Il s'agit peut être de maladresse mais les quelques motards (français) rencontrés seront du même acabit avec un sens prononcé de la démonstration... C’est dommage car j’aime écouter les histoires des autres.
L’échange sera court, il est 20h et nous devons ranger les affaires avant d’aller dîner.
21h sonne quand nous arrivons dans le centre-ville de Cong sauf qu’à cette heure, plus aucun restaurant ne sert à manger, les services sont terminés depuis un moment. L’irlandais mange tôt, très (trop) tôt …
Nous nous retrouvons alors dans la salle à manger, avec l’autorisation d’utiliser la cuisine du camping, avec comme « munitions » le kit de dépannage prévu par Cousin : pâtes, boîte de sauce tomate et sardines !
Pour autant, l’apéritif n’est pas négligé : rhum et biscuits. le Démon Noir accompagnera le plat principal, pour terminer par un dessert arrangé : demi-beignet arrosé façon baba.
Bref, une soirée mémorable malgré la météo et l’échec « restaurant » du soir.
Samedi 30 juillet : Cong / Cong (boucle dans le Connemara)
Réveil, « gratte-gratte » à la porte de Cousin (pensée pour PVDM : « C’est l’amour qui frappe à ta porte, Doudou ! »).
Des familles sont déjà en train de petit-déjeuner et à peine nous arrivons, le patron entonne (encore) du Sardou.
Il nous demande avec insistance de chanter. Il ne sera pas déçu, MP a préparé son coup et à l’issu du petit-déjeuner (full rish pour tout le monde), elle chante dans sa totalité la chanson : applaudissement, remerciements ! On se marre bien !
C’est la journée tant attendue du « Connemara », sauf que nous n’en prendrons plein les yeux que dans le comté de Mayo mais pas celui du Connemara. Nous avons dû passer à côté de quelque chose… ?! Le rêve de Manon ne sera pas exaucé : elle ne montera pas un cheval Connemara dans la dite région …
Les moutons, le long de la route sont (enfin) là !
Le fjord de Killary est notre point de chute avant de poursuivre.
Une brève étape à l’abbaye de Kylemore car les 15 euros de l’entrée, la pluie et les midges (les moucherons voraces) s’abordent notre envie de visiter.
Les midges, ces petites bêtes ne laissent aucune chance au morceau de peau que vous laissez à leur disposition : protégez-vous car la sanction est immédiate.
La pointe de Errislanan est notre dernière étape avant de rentrer.
L’erreur de la veille nous ayant servi de leçon, je confirme une réservation à 17h45 pour dîner … Diner à 18h est pour le moment inenvisageable, l’apéritif dure alors un peu !
Tiens autre détail qui me revient : ils mettent des glaçons partout, même dans le whisky de 15 ans … Aie aie aie !
La soirée se déroule merveilleusement bien et le dîner est succulent. Malheureusement, la fatigue a raison de nous et nous n’attendons pas le groupe de musique à 21h30…
Une promenade (sous la pluie, encore) de Cong nous permet de digérer avant de reprendre les sides pour retrouver nos chambres respectives où une séance de séchage improvisée est plus que nécessaire !
La fatigue de cette journée a profondément marqué mon visage
A part la fatigue, la météo ne nous atteint pas !
L"ambiance est extraordinaire et la bonne humeur toujours au rendez-vous !
Un réveil de bonne heure et (enfin) un petit-déjeuner irlandais, le « Full Irish ». Composé d’œufs au plat, boudins blanc et noir, tomate au four, haricots blancs à la tomate, bacon et saucisses fumées, champignons : c’est copieux et de circonstance pour affronter notre journée « traversée ».
Nous quittons Roundwood repus et prêt à affronter cette journée.
Avec ses quelques 255 km d’Est en Ouest, la traversée s’annonce éprouvante. En effet, la paysage et la route sont sans intérêt, à l’exception (trop rare) de quelques parties.
Nous voyons des tourbières le long de la route mais aucune photo n’est prise … Une erreur de notre part car nous n’en reverrons plus…
Durant ce séjour, nous sommes devenus des adeptes de Lidl (pour nous sauver des repas loupés).
C’est alors la 1ère fois que nous sommes abordés, dans un 1er temps par un « papi » avec son petit-fils, chiliens, en Irlande depuis 6 mois puis un couple d’ainés irlandais, lui roulant en Royal Enfield.
Ils sont adorables et les échanges sont passionnés. Ils nous quittent au bout de 20 minutes non sans avoir pris quelques photos et nous souhaitent bonne route.
A ce sujet, nous arrêterons rapidement de compter les pouces levés, les appels de phare, les photos prises avec ou sans nous !
Ma photographe en herbe
Prochaine étape : l’abbaye de Clonmcnoise. Voyant que nous sommes motards, la discussion démarre sur la Royal Enfield, dure mais lui expliquant que nous sommes « pris par le temps », nous souhaitons visiter, il nous fait alors 50% de remise !
Le site est reposant et impose le silence. Le Pape Jean-Paul II est même venu en 79.
Les croix originales sont à l'intérieur, les copies à l'extérieur, afin de les préserver des affres du temps.
Prêts à prendre la route, la pluie s’invite pour ne plus nous quitter jusqu’à notre arrivée au B&B (mais qui n’en est pas vraiment un ...).
Il s’agit d’une grande maison dédiée à John Wayne pour le film « The Quiet Man ». Elle est gérée en même temps qu’un grand camping. Bref, nous ne sommes pas chez l’habitant. Dommage, mais l’accueil est convivial, voir familial.
Comprenant que nous sommes Français, l’ancien entonne l’air de Sardou « les lacs du Connemara »…
De retour aux machines, un couple français nous aborde : ils sont motards mais visitent l’Irlande en van.
Il a tout fait : le Népal en Royal, le Cap Nord en BM, … Mais jamais de la vie, il ne fera l’Irlande en moto : « trop humide ! ».
Il s'agit peut être de maladresse mais les quelques motards (français) rencontrés seront du même acabit avec un sens prononcé de la démonstration... C’est dommage car j’aime écouter les histoires des autres.
L’échange sera court, il est 20h et nous devons ranger les affaires avant d’aller dîner.
21h sonne quand nous arrivons dans le centre-ville de Cong sauf qu’à cette heure, plus aucun restaurant ne sert à manger, les services sont terminés depuis un moment. L’irlandais mange tôt, très (trop) tôt …
Nous nous retrouvons alors dans la salle à manger, avec l’autorisation d’utiliser la cuisine du camping, avec comme « munitions » le kit de dépannage prévu par Cousin : pâtes, boîte de sauce tomate et sardines !
Pour autant, l’apéritif n’est pas négligé : rhum et biscuits. le Démon Noir accompagnera le plat principal, pour terminer par un dessert arrangé : demi-beignet arrosé façon baba.
Bref, une soirée mémorable malgré la météo et l’échec « restaurant » du soir.
Samedi 30 juillet : Cong / Cong (boucle dans le Connemara)
Réveil, « gratte-gratte » à la porte de Cousin (pensée pour PVDM : « C’est l’amour qui frappe à ta porte, Doudou ! »).
Des familles sont déjà en train de petit-déjeuner et à peine nous arrivons, le patron entonne (encore) du Sardou.
Il nous demande avec insistance de chanter. Il ne sera pas déçu, MP a préparé son coup et à l’issu du petit-déjeuner (full rish pour tout le monde), elle chante dans sa totalité la chanson : applaudissement, remerciements ! On se marre bien !
C’est la journée tant attendue du « Connemara », sauf que nous n’en prendrons plein les yeux que dans le comté de Mayo mais pas celui du Connemara. Nous avons dû passer à côté de quelque chose… ?! Le rêve de Manon ne sera pas exaucé : elle ne montera pas un cheval Connemara dans la dite région …
Les moutons, le long de la route sont (enfin) là !
Le fjord de Killary est notre point de chute avant de poursuivre.
Une brève étape à l’abbaye de Kylemore car les 15 euros de l’entrée, la pluie et les midges (les moucherons voraces) s’abordent notre envie de visiter.
Les midges, ces petites bêtes ne laissent aucune chance au morceau de peau que vous laissez à leur disposition : protégez-vous car la sanction est immédiate.
La pointe de Errislanan est notre dernière étape avant de rentrer.
L’erreur de la veille nous ayant servi de leçon, je confirme une réservation à 17h45 pour dîner … Diner à 18h est pour le moment inenvisageable, l’apéritif dure alors un peu !
Tiens autre détail qui me revient : ils mettent des glaçons partout, même dans le whisky de 15 ans … Aie aie aie !
La soirée se déroule merveilleusement bien et le dîner est succulent. Malheureusement, la fatigue a raison de nous et nous n’attendons pas le groupe de musique à 21h30…
Une promenade (sous la pluie, encore) de Cong nous permet de digérer avant de reprendre les sides pour retrouver nos chambres respectives où une séance de séchage improvisée est plus que nécessaire !
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A part la fatigue, la météo ne nous atteint pas !
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Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Magnifique ! Là on est dans le vif de la bête irlandaise et je ressens même l'ambiance dans ma peau ! Pour y avoir été 3 fois, les clichés ne mentent pas et de les avoir pris sous la pluie est courageux.SamFz a écrit : ↑25 août 2022, 22:01Vendredi 29 juillet : Roundwood / Cong
Un réveil de bonne heure et (enfin) un petit-déjeuner irlandais, le « Full Irish ». Composé d’œufs au plat, boudins blanc et noir, tomate au four, haricots blancs à la tomate, bacon et saucisses fumées, champignons : c’est copieux et de circonstance pour affronter notre journée « traversée ».
Nous quittons Roundwood repus et prêt à affronter cette journée.
Avec ses quelques 255 km d’Est en Ouest, la traversée s’annonce éprouvante. En effet, la paysage et la route sont sans intérêt, à l’exception (trop rare) de quelques parties.
Nous voyons des tourbières le long de la route mais aucune photo n’est prise … Une erreur de notre part car nous n’en reverrons plus…
Durant ce séjour, nous sommes devenus des adeptes de Lidl (pour nous sauver des repas loupés).
C’est alors la 1ère fois que nous sommes abordés, dans un 1er temps par un « papi » avec son petit-fils, chiliens, en Irlande depuis 6 mois puis un couple d’ainés irlandais, lui roulant en Royal Enfield.
Ils sont adorables et les échanges sont passionnés. Ils nous quittent au bout de 20 minutes non sans avoir pris quelques photos et nous souhaitent bonne route.
A ce sujet, nous arrêterons rapidement de compter les pouces levés, les appels de phare, les photos prises avec ou sans nous !
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Prochaine étape : l’abbaye de Clonmcnoise. Voyant que nous sommes motards, la discussion démarre sur la Royal Enfield, dure mais lui expliquant que nous sommes « pris par le temps », nous souhaitons visiter, il nous fait alors 50% de remise !
Le site est reposant et impose le silence. Le Pape Jean-Paul II est même venu en 79.
Les croix originales sont à l'intérieur, les copies à l'extérieur, afin de les préserver des affres du temps.
Prêts à prendre la route, la pluie s’invite pour ne plus nous quitter jusqu’à notre arrivée au B&B (mais qui n’en est pas vraiment un ...).
Il s’agit d’une grande maison dédiée à John Wayne pour le film « The Quiet Man ». Elle est gérée en même temps qu’un grand camping. Bref, nous ne sommes pas chez l’habitant. Dommage, mais l’accueil est convivial, voir familial.
Comprenant que nous sommes Français, l’ancien entonne l’air de Sardou « les lacs du Connemara »…
De retour aux machines, un couple français nous aborde : ils sont motards mais visitent l’Irlande en van.
Il a tout fait : le Népal en Royal, le Cap Nord en BM, … Mais jamais de la vie, il ne fera l’Irlande en moto : « trop humide ! ».
Il s'agit peut être de maladresse mais les quelques motards (français) rencontrés seront du même acabit avec un sens prononcé de la démonstration... C’est dommage car j’aime écouter les histoires des autres.
L’échange sera court, il est 20h et nous devons ranger les affaires avant d’aller dîner.
21h sonne quand nous arrivons dans le centre-ville de Cong sauf qu’à cette heure, plus aucun restaurant ne sert à manger, les services sont terminés depuis un moment. L’irlandais mange tôt, très (trop) tôt …
Nous nous retrouvons alors dans la salle à manger, avec l’autorisation d’utiliser la cuisine du camping, avec comme « munitions » le kit de dépannage prévu par Cousin : pâtes, boîte de sauce tomate et sardines !
Pour autant, l’apéritif n’est pas négligé : rhum et biscuits. le Démon Noir accompagnera le plat principal, pour terminer par un dessert arrangé : demi-beignet arrosé façon baba.
Bref, une soirée mémorable malgré la météo et l’échec « restaurant » du soir.
Samedi 30 juillet : Cong / Cong (boucle dans le Connemara)
Réveil, « gratte-gratte » à la porte de Cousin (pensée pour PVDM : « C’est l’amour qui frappe à ta porte, Doudou ! »).
Des familles sont déjà en train de petit-déjeuner et à peine nous arrivons, le patron entonne (encore) du Sardou.
Il nous demande avec insistance de chanter. Il ne sera pas déçu, MP a préparé son coup et à l’issu du petit-déjeuner (full rish pour tout le monde), elle chante dans sa totalité la chanson : applaudissement, remerciements ! On se marre bien !
C’est la journée tant attendue du « Connemara », sauf que nous n’en prendrons plein les yeux que dans le comté de Mayo mais pas celui du Connemara. Nous avons dû passer à côté de quelque chose… ?! Le rêve de Manon ne sera pas exaucé : elle ne montera pas un cheval Connemara dans la dite région …
Les moutons, le long de la route sont (enfin) là !
Le fjord de Killary est notre point de chute avant de poursuivre.
Une brève étape à l’abbaye de Kylemore car les 15 euros de l’entrée, la pluie et les midges (les moucherons voraces) s’abordent notre envie de visiter.
Les midges, ces petites bêtes ne laissent aucune chance au morceau de peau que vous laissez à leur disposition : protégez-vous car la sanction est immédiate.
La pointe de Errislanan est notre dernière étape avant de rentrer.
L’erreur de la veille nous ayant servi de leçon, je confirme une réservation à 17h45 pour dîner … Diner à 18h est pour le moment inenvisageable, l’apéritif dure alors un peu !
Tiens autre détail qui me revient : ils mettent des glaçons partout, même dans le whisky de 15 ans … Aie aie aie !
La soirée se déroule merveilleusement bien et le dîner est succulent. Malheureusement, la fatigue a raison de nous et nous n’attendons pas le groupe de musique à 21h30…
Une promenade (sous la pluie, encore) de Cong nous permet de digérer avant de reprendre les sides pour retrouver nos chambres respectives où une séance de séchage improvisée est plus que nécessaire !
La fatigue de cette journée a profondément marqué mon visage
A part la fatigue, la météo ne nous atteint pas !
L"ambiance est extraordinaire et la bonne humeur toujours au rendez-vous !
On ne connait jamais le Connemara...un irlandais m'a dit que je peux revenir 100 fois, et 100 fois je ne verrai pas la même chose.
Cette page d'écriture est émouvante, parce qu'elle est la soudure entre les êtres qui la vivent.
J'adore Guernot qui mouille ses biscuits et ta tronche cassée par les embruns...
Té, pour te remercier, voici deux clichés des tourbières :
En fait elles ne sont pas faciles à trouver, il faut sortir de la route et quand il pleut c'est pas évident. De plus à déconseiller aux solos dans ces conditions...
J'ai adoré les croix en pierre. Toute la puissance celte est bien là, dans sa mystique comme dans sa présence perpétuelle.
...en rentrant du Grand nord, j'y ajoute ceci pour féliciter les dames car je les ai vu... :
http://www.est-motorcycles.fr/
Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
Libérez tous les otages !
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Courage, allons !
Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
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Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Hello, Sam!Est-Motorcycles a écrit : ↑24 août 2022, 22:31Bien des clichés émouvants et profonds...pour ce qui me concerne aucun d'eux ne me laisse indifférent.SamFz a écrit : ↑24 août 2022, 19:09Mercredi 27 juillet : Rosslare / Roundwood
Au réveil, des dauphins viennent flirter avec la proue et s'amusent dans les vagues mais ils sont bien trop vifs pour être photographiés !
Il est temps de débarquer et de se concentrer sur la conduite à gauche, direct un rond-point !
A peine sommes-nous à terre, qu’une halte permet de faire les 1ères photos et de déterminer l’itinéraire jusqu’à l’auberge réservée pour ce soir.
J’avais repéré le concessionnaire Ural irlandais « AMI Overlanders » et le hasard faisant bien les choses, il se trouve sur notre trajet, à 1h du port, parfait pour un 1er arrêt.
Les routes sont particulières, avec ses murs végétaux perpendiculaires à la route et à ras de la voie de circulation. Quelques branches viennent d’ailleurs « lécher » les protèges-mains et le genou de ma grande… J’évite de trop serrer à gauche.
Chez AMI Overlanders, perdu dans une zone artisanale, l’accueil est cordial.
Le plus gros de leur activité est concentré sur l’organisation de voyage en moto à travers le globe.
Quelques motos dans la partie concession mais point d’Ural…
Nous évoquons la situation et comme beaucoup de monde, ils attendent la reprise de l’activité suite au déménagement au Kazakhstan.
Me demandant où nous nous rendons, le jeune Aaron (j’ai un doute sur son prénom maintenant) me trace un parcours à travers la campagne irlandaise, dans la région du Wicklow, jusqu’à notre destination.
Notre 1er déjeuner « irlandais » est composé de sandwich, acheté lors de notre pause du midi dans un village perdu et dont les restaurants ne sont pas ouverts. Les Irlandais mangent tôt, nous comprendrons après plusieurs « échecs » !
La dernière centaine de mètres menant à notre lieu de repos est une piste : « mais allons-nous tomber ?? ».
Il s’agit d’une voie sans issue et nous butons sur un grand portail sur lequel il est demandé de refermer après notre passage.
Nous comprenons (rapidement) la raison en faisant les derniers mètres : 2 poneys Shetland sont en liberté : ma cadette hallucine et disparait.
Lus Mór B&B, cette jolie auberge de jeunesse / B&B se trouve en pleine campagne du comté de Wicklow. La vue est superbe et le voisinage silencieux. Cela commence bien.
Rebecca la (jeune) gérante propose dîners et petits-déjeuners maison et comme nous ne souhaitons pas sortir après cette journée, nous réserverons le dîner.
Les plats sont savoureux et généreux !
Ce sera également l’occasion de discuter avec les autres résidents allemands, chilien, français entre autre.
Le dortoir de 8 lits, à la décoration chaleureuse est notre lieu de repos pour les 2 prochaines nuits !
Jeudi 28 juillet : Dublin (train)
Réveil en douceur mais sans petit déjeuner car nous devons nous rendre à la gare de Greystones qui se situe à 20 minutes de route de la résidence.
La remorque de Cousin et la Royal restent ici. La mienne servira de stockage pour les affaires de moto et les casques afin de ne pas être encombrés pour la journée.
Avant notre départ, Rebecca nous indique où nous stationner gratuitement et à proximité de la gare. Parfait !
Le petit-déjeuner est pris sur le pouce dans une « boulangerie » implantée dans la gare. L’exploitante (hongroise) nous voyant avec nos parapluies, nous conseille gentiment de ne pas les prendre : seuls les touristes en prennent… Ok c’est noté (pour la prochaine fois avec car les sides sont à 10 mn et le train arrive dans 5 mn …).
La particularité des trains irlandais est que vous achetez des places numérotées mais personne ne s’en soucie, les 1er arrivés sont les 1er servis.
Il nous faut faire avec et attendre une vingtaine de minutes avant d’être regroupés dans la même voiture.
MP en profite pour faire la conversation avec une jeune française, Céleste, fille au pair âgée de 17 ans : 1 an qu’elle est en Irlande, elle rentre ce jour en France. Elle nous conseille les incontournables de Dublin et Cork.
Bien que nous soyons en semaine, il y a du monde dans les rues de Dublin. Visite de Trinity College, puis le quartier de Temple Bar où une escale au fameux pub du même nom est l’occasion de tester whisky et iris coffee (il est 10h30) !
Nous poursuivons avec le Château de Dublin, la cathédrale Saint-Patrick et la bibliothèque Marsh et butons malheureusement (faute de réservation anticipée) sur les portes de la bibliothèque de Trinity College, l’usine Guinness et la distillerie Teeling…
Ce sera pour une prochaine fois !
Avec pas loin de 1600 photos, il est difficile de faire le tri, surtout pour les lieux particuliers comme les lieux de culte et les musées. Elles ne rendent pas hommage à l'ambiance et l'atmosphère ressenties...
Merci pour ce travail de transcription qu me fait redécouvrir l'Irlande comme je ne la connais pas. Et bravo aux Nanas-Mamans !
Très chouette, ton reportage, merci.
Et, je voudrais ajouter que faire ce genre de voyage en famille, c'est encore une autre paires de manches que lorsque l'on est uniquement entre adultes...responsables, en principe.
Le souci constant du bien-être des enfants, de l'entente entre générations... chapeau!
On attend la suite!
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Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Oui, comme l'écrit Dan, tes photos témoignent fort bien de l'ambiance sur place!SamFz a écrit : ↑25 août 2022, 22:01Vendredi 29 juillet : Roundwood / Cong
Un réveil de bonne heure et (enfin) un petit-déjeuner irlandais, le « Full Irish ». Composé d’œufs au plat, boudins blanc et noir, tomate au four, haricots blancs à la tomate, bacon et saucisses fumées, champignons : c’est copieux et de circonstance pour affronter notre journée « traversée ».
Nous quittons Roundwood repus et prêt à affronter cette journée.
Avec ses quelques 255 km d’Est en Ouest, la traversée s’annonce éprouvante. En effet, la paysage et la route sont sans intérêt, à l’exception (trop rare) de quelques parties.
Nous voyons des tourbières le long de la route mais aucune photo n’est prise … Une erreur de notre part car nous n’en reverrons plus…
Durant ce séjour, nous sommes devenus des adeptes de Lidl (pour nous sauver des repas loupés).
C’est alors la 1ère fois que nous sommes abordés, dans un 1er temps par un « papi » avec son petit-fils, chiliens, en Irlande depuis 6 mois puis un couple d’ainés irlandais, lui roulant en Royal Enfield.
Ils sont adorables et les échanges sont passionnés. Ils nous quittent au bout de 20 minutes non sans avoir pris quelques photos et nous souhaitent bonne route.
A ce sujet, nous arrêterons rapidement de compter les pouces levés, les appels de phare, les photos prises avec ou sans nous !
Ma photographe en herbe
Prochaine étape : l’abbaye de Clonmcnoise. Voyant que nous sommes motards, la discussion démarre sur la Royal Enfield, dure mais lui expliquant que nous sommes « pris par le temps », nous souhaitons visiter, il nous fait alors 50% de remise !
Le site est reposant et impose le silence. Le Pape Jean-Paul II est même venu en 79.
Les croix originales sont à l'intérieur, les copies à l'extérieur, afin de les préserver des affres du temps.
Prêts à prendre la route, la pluie s’invite pour ne plus nous quitter jusqu’à notre arrivée au B&B (mais qui n’en est pas vraiment un ...).
Il s’agit d’une grande maison dédiée à John Wayne pour le film « The Quiet Man ». Elle est gérée en même temps qu’un grand camping. Bref, nous ne sommes pas chez l’habitant. Dommage, mais l’accueil est convivial, voir familial.
Comprenant que nous sommes Français, l’ancien entonne l’air de Sardou « les lacs du Connemara »…
De retour aux machines, un couple français nous aborde : ils sont motards mais visitent l’Irlande en van.
Il a tout fait : le Népal en Royal, le Cap Nord en BM, … Mais jamais de la vie, il ne fera l’Irlande en moto : « trop humide ! ».
Il s'agit peut être de maladresse mais les quelques motards (français) rencontrés seront du même acabit avec un sens prononcé de la démonstration... C’est dommage car j’aime écouter les histoires des autres.
L’échange sera court, il est 20h et nous devons ranger les affaires avant d’aller dîner.
21h sonne quand nous arrivons dans le centre-ville de Cong sauf qu’à cette heure, plus aucun restaurant ne sert à manger, les services sont terminés depuis un moment. L’irlandais mange tôt, très (trop) tôt …
Nous nous retrouvons alors dans la salle à manger, avec l’autorisation d’utiliser la cuisine du camping, avec comme « munitions » le kit de dépannage prévu par Cousin : pâtes, boîte de sauce tomate et sardines !
Pour autant, l’apéritif n’est pas négligé : rhum et biscuits. le Démon Noir accompagnera le plat principal, pour terminer par un dessert arrangé : demi-beignet arrosé façon baba.
Bref, une soirée mémorable malgré la météo et l’échec « restaurant » du soir.
Samedi 30 juillet : Cong / Cong (boucle dans le Connemara)
Réveil, « gratte-gratte » à la porte de Cousin (pensée pour PVDM : « C’est l’amour qui frappe à ta porte, Doudou ! »).
Des familles sont déjà en train de petit-déjeuner et à peine nous arrivons, le patron entonne (encore) du Sardou.
Il nous demande avec insistance de chanter. Il ne sera pas déçu, MP a préparé son coup et à l’issu du petit-déjeuner (full rish pour tout le monde), elle chante dans sa totalité la chanson : applaudissement, remerciements ! On se marre bien !
C’est la journée tant attendue du « Connemara », sauf que nous n’en prendrons plein les yeux que dans le comté de Mayo mais pas celui du Connemara. Nous avons dû passer à côté de quelque chose… ?! Le rêve de Manon ne sera pas exaucé : elle ne montera pas un cheval Connemara dans la dite région …
Les moutons, le long de la route sont (enfin) là !
Le fjord de Killary est notre point de chute avant de poursuivre.
Une brève étape à l’abbaye de Kylemore car les 15 euros de l’entrée, la pluie et les midges (les moucherons voraces) s’abordent notre envie de visiter.
Les midges, ces petites bêtes ne laissent aucune chance au morceau de peau que vous laissez à leur disposition : protégez-vous car la sanction est immédiate.
La pointe de Errislanan est notre dernière étape avant de rentrer.
L’erreur de la veille nous ayant servi de leçon, je confirme une réservation à 17h45 pour dîner … Diner à 18h est pour le moment inenvisageable, l’apéritif dure alors un peu !
Tiens autre détail qui me revient : ils mettent des glaçons partout, même dans le whisky de 15 ans … Aie aie aie !
La soirée se déroule merveilleusement bien et le dîner est succulent. Malheureusement, la fatigue a raison de nous et nous n’attendons pas le groupe de musique à 21h30…
Une promenade (sous la pluie, encore) de Cong nous permet de digérer avant de reprendre les sides pour retrouver nos chambres respectives où une séance de séchage improvisée est plus que nécessaire !
La fatigue de cette journée a profondément marqué mon visage
A part la fatigue, la météo ne nous atteint pas !
L"ambiance est extraordinaire et la bonne humeur toujours au rendez-vous !
Certes, la pluie impose des limites, use les sens, mais elle porte aussi son charme sur toute chose, sur les paysages.
Je devine que tes filles garderont une foules de ressentis et de souvenirs pour toujours.
Bravo à vous!
Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Génial merci 
Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Salut Yann,papycoz a écrit : ↑24 août 2022, 20:41Eh oui a l'heure du numérique, on mitraille hors de raison puis le tri devient difficile. Ne t'inquiètes pas, d'ici 2 ou 3 ans tu ne regarderas presque plus tes photos.
J'en avais fait plus de 300 a l'époque des diapos quand j'avais été en Guadeloupe.... Et maintenant je n'ai plus de projecteur pour les regarder et cela ne me manque pas. Les souvenir bon ou mauvais reste dans ta tête.
Nous sommes passés au numérique en 2004, les prémices.
Nous nous faisons régulièrement des séances de visionnage et nos plus beaux souvenirs ont été imprimés et mis dans des albums (comme à l'époque de l'argentique).
Je te rejoins sur les souvenirs quel-qu’ils soient
Merci Dany !Est-Motorcycles a écrit : ↑25 août 2022, 22:45Magnifique ! Là on est dans le vif de la bête irlandaise et je ressens même l'ambiance dans ma peau ! Pour y avoir été 3 fois, les clichés ne mentent pas et de les avoir pris sous la pluie est courageux.
On ne connait jamais le Connemara...un irlandais m'a dit que je peux revenir 100 fois, et 100 fois je ne verrai pas la même chose.
Cette page d'écriture est émouvante, parce qu'elle est la soudure entre les êtres qui la vivent.
J'adore Guernot qui mouille ses biscuits et ta tronche cassée par les embruns...
Té, pour te remercier, voici deux clichés des tourbières :
En fait elles ne sont pas faciles à trouver, il faut sortir de la route et quand il pleut c'est pas évident. De plus à déconseiller aux solos dans ces conditions...
J'ai adoré les croix en pierre. Toute la puissance celte est bien là, dans sa mystique comme dans sa présence perpétuelle.
...en rentrant du Grand nord, j'y ajoute ceci pour féliciter les dames car je les ai vu... :
Nous y retournerons car nous avons adoré !
Faut dire que ce groupe n'a pas manqué de dynamisme : chacun avait sa période "fou-fou"
On s'est bien marré !
J'ai d'autres photos de Clonmcnoise ! Je les amènerai à Manzat
Merci pour les femmes à qui je tire mon chapeau car sans elles (et mes filles) l'aventure aurait été bien différente ! Elles reviennent quand elles veulent
T'as vu les loups ???
J'attends le récit sur ton sujet !
Oui Pierre, pour nos 1ères vacances de motards et en famille, nous avons mis la barre assez haute !pvdm100358 a écrit : ↑26 août 2022, 15:32Hello, Sam!
Très chouette, ton reportage, merci.
Et, je voudrais ajouter que faire ce genre de voyage en famille, c'est encore une autre paires de manches que lorsque l'on est uniquement entre adultes...responsables, en principe.
Le souci constant du bien-être des enfants, de l'entente entre générations... chapeau!
On attend la suite!
Oui, comme l'écrit Dan, tes photos témoignent fort bien de l'ambiance sur place!
Certes, la pluie impose des limites, use les sens, mais elle porte aussi son charme sur toute chose, sur les paysages.
Je devine que tes filles garderont une foules de ressentis et de souvenirs pour toujours.
Bravo à vous!
La suite est d'autant plus épique !
Pas de quoi, la suite arrive
Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Dimanche 31 juillet :– Cong / Galway / Doolin
La journée débute avec (encore) le fameux full irish, suivi du rangement des affaires et du contrôle des niveaux.
Le groupe se scinde en 2 : Olivier termine de se préparer et nous allons au château d’Ashford et son centre équestre. Nous sommes reçus à l'entrée du château pour un "valet" en haut de forme et tenue de "pinguoin", très classieux. Grâce à notre équipage et notre gentillesse, il nous laisse passer pour aller au centre équestre.
Mais grosse déception, l’accès au centre nous est refusé malgré mes explications qui restent vaines.
Ma cadette a le cœur lourd face à ce nouvel échec de trouver ces fameux chevaux du Connemara…
Nous nous retrouvons et entamons la route en direction de Galway.
Les stationnements sont compliqués dans Galway et je prends la décision de nous garer à l’Ouest de la ville, sur le parking en bord de mer: bonne et mauvaise idée. La bonne est que nous trouvons à nous stationner. La mauvaise est que nous sommes à 3km à pied du centre et cela nous prend ¾ d’heure avec les affaires de moto.
Il faudrait la journée pour visiter Galway, tant elle est grande, riche et divertissante : des groupes de musiques tous les 100m, des pubs, des magasins aux murs multicolores, des restaurants et du monde (je ne suis pas fan des grandes villes préférant largement le calme de la nature !) …
Sandwichs et salades sont pris dans un parc, comme le font les locaux .
https://youtu.be/7zXwed-VCtI
Il nous reste de la route avant d’arriver à Doolin et aucun hébergement n’est prévu ( … nous sommes 6) !
Depuis Galway, le soleil décide enfin de se montrer.
La pointe de Black Head !
Vue sur les île d'Arran
Pendant les quelques pauses, je scrute l’internet à la recherche d’une auberge ou d’un B&B, les 1ère sont soient complètes, soient fermées. Pour les 2ème, les prix ne sont pas dans notre budget.
Doolin nous accueille enfin.
Nous prenons la décision de viser le camping, avec tout ce que nous pouvons croiser : doigts, orteils, membres !
Le personnel nous reçoit en grimaçant : « vous êtes 6, 2 tentes ! Plus de place … ». Débute alors la négociation, à la limite de la supplication !
« Elles font quelles dimensions vos tentes ? » Il griffonne un bout de papier et demande de l’attendre… L’attente semble interminable … Il revient, repart et revient en évoquant la nécessité de voir son boss.
Nous croisons le Boss qui nous explique qu’il n’y a pas beaucoup de place mais souhaite nous montrer un emplacement restant, voir si cela nous convient.
Nous voilà partis arpenter le camping sur une pelouse aussi belle qu’un green de golf !
« Vous êtes sûr que l’on peut rouler sur la pelouse ? » Il rit, elle vient d’être tondue …
Proche de la rivière, une superficie « gigantesque », l’offre est trop belle et nous l’acceptons !
Le campement est monté dans la bonne humeur car avoir un endroit pour dormir est un soulagement !
Pour la soirée, il nous conseillera de faire la tournée des pubs de Doolin mais avec sa préférence pour le « O’Connor » !
Le O’Connnor, la musique est traditionnelle et la Murphy's (concurrente de Guinness) coule à flot : que demander de plus ?! Notre soirée sera mémorable :
- rencontre de Maurice, Français et chef de rang dans un restaurant ;
- puis Malek et Louis, 2 jeunes Français faisant le tour d’Irlande avec leur valise à roulettes (ces dernières sont au bout de leur vie …) ;
- de jeunes Irlandais avec qui nous discuterons un long moment jusqu’à ce qu’ils entonnent l’hymne irlandais en fin de soirée.
2 points à retenir dans les pubs, les chants sont entonnés dans un silence quasi religieux (à mettre les poils à chaque fois !). En revanche, les chansons instrumentales sont jouées dans un joyeux bordel
https://youtu.be/RS98btSRw6E
https://youtu.be/Chqf0-2Sv9g
https://youtu.be/29pmNwpQ_8Y
https://youtu.be/6LvwE7Lr8vQ
https://youtu.be/nOa4lEKiDBw
Tout cela avant que les serveurs nous demandent de quitter le bar, il est 1h30 et il ne reste plus grand monde…
Lundi 1er août : Doolin
Après, la belle journée de la veille, ce nouveau jour est tout autre car le temps s’est dégradé : il pleut.
Nous sommes réveillés par un message puis un appel qui nous brisera le cœur : notre petite lapine est décédée, des suites d’une infection fulgurante, elle n’a pas pu être sauvée.
Le réveil est brutal… Nous prenons la décision de ne l’annoncer à nos filles que le lendemain …
Toutefois, je réussis à planifier une randonnée à cheval pour ma cadette sur les hauteurs de Doolin, sous la pluie.
Cela n’entame pas son moral : quelques soient les conditions météo et à partir du moment où il y a un équidé, elle est heureuse. Sa joie comble une partie de notre tristesse.
Le temps de sa randonnée, une réservation en auberge de jeunesse est confirmée pour le lendemain soir, à Tralee.
L’après-midi, nous décidons de faire les falaises de Moher, mais en bus car les conditions météo se dégradent encore et il n’est pas question de rouler avec les sides…
Arrivés sur le site, les éléments se déchaînent. Dame Nature ne nous épargne pas et envoie même mon ainée sur les fesses.
https://youtu.be/6s3Euf5wCNk
Les robinets sont équipés de sèche-main, en rentrant les manches, les filles se sont marrées
Les sourires disparaissent lors de l'attente du bus, transis de froid, mouillés jusqu’à l’os, le retour est silencieux.
Les sanitaires du camping sont notre refuge, chacun tentant de se réchauffer et de sécher ses affaires.
A 20h30, nous sommes sous la tente, un grignotage sur le pouce est expédié et nos duvets sont un cocon réconfortant après cette journée éprouvante émotionnellement et physiquement, mais c’était sans compter ce qui nous attendait dans la nuit…
Une tempête !
Il est 3h45 et malgré les 14°, des éclairs illuminent le ciel. Pour donner écho aux falaises de Moher, les éléments se déchainent à nouveau et à tour de rôles : vent, pluie, orage …
La tente se couche, plie mais ne rompt pas et pas une goutte d’eau ne traverse son faible écrin.
Cela dure près de 2h, je songe même à déplacer la petite famille dans le bâtiment du camping mais les conditions extérieures et la distance ne sont pas rassurantes pour tenter une sortie.
Après avoir consulter Cousin, nous restons sous la toile.
La tempête s’essouffle enfin et le sommeil finit par nous rattraper.
Au réveil, j'apprends qu’un avis de tempête avait été déclaré pour la côte avec des vents force 9 !
Expérience hors du commun que nous ne sommes pas sûr de vouloir revivre… en tout cas, pas sous une toile de tente !
La journée débute avec (encore) le fameux full irish, suivi du rangement des affaires et du contrôle des niveaux.
Le groupe se scinde en 2 : Olivier termine de se préparer et nous allons au château d’Ashford et son centre équestre. Nous sommes reçus à l'entrée du château pour un "valet" en haut de forme et tenue de "pinguoin", très classieux. Grâce à notre équipage et notre gentillesse, il nous laisse passer pour aller au centre équestre.
Mais grosse déception, l’accès au centre nous est refusé malgré mes explications qui restent vaines.
Ma cadette a le cœur lourd face à ce nouvel échec de trouver ces fameux chevaux du Connemara…
Nous nous retrouvons et entamons la route en direction de Galway.
Les stationnements sont compliqués dans Galway et je prends la décision de nous garer à l’Ouest de la ville, sur le parking en bord de mer: bonne et mauvaise idée. La bonne est que nous trouvons à nous stationner. La mauvaise est que nous sommes à 3km à pied du centre et cela nous prend ¾ d’heure avec les affaires de moto.
Il faudrait la journée pour visiter Galway, tant elle est grande, riche et divertissante : des groupes de musiques tous les 100m, des pubs, des magasins aux murs multicolores, des restaurants et du monde (je ne suis pas fan des grandes villes préférant largement le calme de la nature !) …
Sandwichs et salades sont pris dans un parc, comme le font les locaux .
https://youtu.be/7zXwed-VCtI
Il nous reste de la route avant d’arriver à Doolin et aucun hébergement n’est prévu ( … nous sommes 6) !
Depuis Galway, le soleil décide enfin de se montrer.
La pointe de Black Head !
Vue sur les île d'Arran
Pendant les quelques pauses, je scrute l’internet à la recherche d’une auberge ou d’un B&B, les 1ère sont soient complètes, soient fermées. Pour les 2ème, les prix ne sont pas dans notre budget.
Doolin nous accueille enfin.
Nous prenons la décision de viser le camping, avec tout ce que nous pouvons croiser : doigts, orteils, membres !
Le personnel nous reçoit en grimaçant : « vous êtes 6, 2 tentes ! Plus de place … ». Débute alors la négociation, à la limite de la supplication !
« Elles font quelles dimensions vos tentes ? » Il griffonne un bout de papier et demande de l’attendre… L’attente semble interminable … Il revient, repart et revient en évoquant la nécessité de voir son boss.
Nous croisons le Boss qui nous explique qu’il n’y a pas beaucoup de place mais souhaite nous montrer un emplacement restant, voir si cela nous convient.
Nous voilà partis arpenter le camping sur une pelouse aussi belle qu’un green de golf !
« Vous êtes sûr que l’on peut rouler sur la pelouse ? » Il rit, elle vient d’être tondue …
Proche de la rivière, une superficie « gigantesque », l’offre est trop belle et nous l’acceptons !
Le campement est monté dans la bonne humeur car avoir un endroit pour dormir est un soulagement !
Pour la soirée, il nous conseillera de faire la tournée des pubs de Doolin mais avec sa préférence pour le « O’Connor » !
Le O’Connnor, la musique est traditionnelle et la Murphy's (concurrente de Guinness) coule à flot : que demander de plus ?! Notre soirée sera mémorable :
- rencontre de Maurice, Français et chef de rang dans un restaurant ;
- puis Malek et Louis, 2 jeunes Français faisant le tour d’Irlande avec leur valise à roulettes (ces dernières sont au bout de leur vie …) ;
- de jeunes Irlandais avec qui nous discuterons un long moment jusqu’à ce qu’ils entonnent l’hymne irlandais en fin de soirée.
2 points à retenir dans les pubs, les chants sont entonnés dans un silence quasi religieux (à mettre les poils à chaque fois !). En revanche, les chansons instrumentales sont jouées dans un joyeux bordel
https://youtu.be/RS98btSRw6E
https://youtu.be/Chqf0-2Sv9g
https://youtu.be/29pmNwpQ_8Y
https://youtu.be/6LvwE7Lr8vQ
https://youtu.be/nOa4lEKiDBw
Tout cela avant que les serveurs nous demandent de quitter le bar, il est 1h30 et il ne reste plus grand monde…
Lundi 1er août : Doolin
Après, la belle journée de la veille, ce nouveau jour est tout autre car le temps s’est dégradé : il pleut.
Nous sommes réveillés par un message puis un appel qui nous brisera le cœur : notre petite lapine est décédée, des suites d’une infection fulgurante, elle n’a pas pu être sauvée.
Le réveil est brutal… Nous prenons la décision de ne l’annoncer à nos filles que le lendemain …
Toutefois, je réussis à planifier une randonnée à cheval pour ma cadette sur les hauteurs de Doolin, sous la pluie.
Cela n’entame pas son moral : quelques soient les conditions météo et à partir du moment où il y a un équidé, elle est heureuse. Sa joie comble une partie de notre tristesse.
Le temps de sa randonnée, une réservation en auberge de jeunesse est confirmée pour le lendemain soir, à Tralee.
L’après-midi, nous décidons de faire les falaises de Moher, mais en bus car les conditions météo se dégradent encore et il n’est pas question de rouler avec les sides…
Arrivés sur le site, les éléments se déchaînent. Dame Nature ne nous épargne pas et envoie même mon ainée sur les fesses.
https://youtu.be/6s3Euf5wCNk
Les robinets sont équipés de sèche-main, en rentrant les manches, les filles se sont marrées
Les sourires disparaissent lors de l'attente du bus, transis de froid, mouillés jusqu’à l’os, le retour est silencieux.
Les sanitaires du camping sont notre refuge, chacun tentant de se réchauffer et de sécher ses affaires.
A 20h30, nous sommes sous la tente, un grignotage sur le pouce est expédié et nos duvets sont un cocon réconfortant après cette journée éprouvante émotionnellement et physiquement, mais c’était sans compter ce qui nous attendait dans la nuit…
Une tempête !
Il est 3h45 et malgré les 14°, des éclairs illuminent le ciel. Pour donner écho aux falaises de Moher, les éléments se déchainent à nouveau et à tour de rôles : vent, pluie, orage …
La tente se couche, plie mais ne rompt pas et pas une goutte d’eau ne traverse son faible écrin.
Cela dure près de 2h, je songe même à déplacer la petite famille dans le bâtiment du camping mais les conditions extérieures et la distance ne sont pas rassurantes pour tenter une sortie.
Après avoir consulter Cousin, nous restons sous la toile.
La tempête s’essouffle enfin et le sommeil finit par nous rattraper.
Au réveil, j'apprends qu’un avis de tempête avait été déclaré pour la côte avec des vents force 9 !
Expérience hors du commun que nous ne sommes pas sûr de vouloir revivre… en tout cas, pas sous une toile de tente !
Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Formidable voyage !SamFz a écrit : ↑26 août 2022, 20:43Dimanche 31 juillet :– Cong / Galway / Doolin
La journée débute avec (encore) le fameux full irish, suivi du rangement des affaires et du contrôle des niveaux.
Le groupe se scinde en 2 : Olivier termine de se préparer et nous allons au château d’Ashford et son centre équestre. Nous sommes reçus à l'entrée du château pour un "valet" en haut de forme et tenue de "pinguoin", très classieux. Grâce à notre équipage et notre gentillesse, il nous laisse passer pour aller au centre équestre.
Mais grosse déception, l’accès au centre nous est refusé malgré mes explications qui restent vaines.
Ma cadette a le cœur lourd face à ce nouvel échec de trouver ces fameux chevaux du Connemara…
Nous nous retrouvons et entamons la route en direction de Galway.
Les stationnements sont compliqués dans Galway et je prends la décision de nous garer à l’Ouest de la ville, sur le parking en bord de mer: bonne et mauvaise idée. La bonne est que nous trouvons à nous stationner. La mauvaise est que nous sommes à 3km à pied du centre et cela nous prend ¾ d’heure avec les affaires de moto.
Il faudrait la journée pour visiter Galway, tant elle est grande, riche et divertissante : des groupes de musiques tous les 100m, des pubs, des magasins aux murs multicolores, des restaurants et du monde (je ne suis pas fan des grandes villes préférant largement le calme de la nature !) …
Sandwichs et salades sont pris dans un parc, comme le font les locaux .
https://youtu.be/7zXwed-VCtI
Il nous reste de la route avant d’arriver à Doolin et aucun hébergement n’est prévu ( … nous sommes 6) !
Depuis Galway, le soleil décide enfin de se montrer.
La pointe de Black Head !
Vue sur les île d'Arran
Pendant les quelques pauses, je scrute l’internet à la recherche d’une auberge ou d’un B&B, les 1ère sont soient complètes, soient fermées. Pour les 2ème, les prix ne sont pas dans notre budget.
Doolin nous accueille enfin.
Nous prenons la décision de viser le camping, avec tout ce que nous pouvons croiser : doigts, orteils, membres !
Le personnel nous reçoit en grimaçant : « vous êtes 6, 2 tentes ! Plus de place … ». Débute alors la négociation, à la limite de la supplication !
« Elles font quelles dimensions vos tentes ? » Il griffonne un bout de papier et demande de l’attendre… L’attente semble interminable … Il revient, repart et revient en évoquant la nécessité de voir son boss.
Nous croisons le Boss qui nous explique qu’il n’y a pas beaucoup de place mais souhaite nous montrer un emplacement restant, voir si cela nous convient.
Nous voilà partis arpenter le camping sur une pelouse aussi belle qu’un green de golf !
« Vous êtes sûr que l’on peut rouler sur la pelouse ? » Il rit, elle vient d’être tondue …
Proche de la rivière, une superficie « gigantesque », l’offre est trop belle et nous l’acceptons !
Le campement est monté dans la bonne humeur car avoir un endroit pour dormir est un soulagement !
Pour la soirée, il nous conseillera de faire la tournée des pubs de Doolin mais avec sa préférence pour le « O’Connor » !
Le O’Connnor, la musique est traditionnelle et la Murphy's (concurrente de Guinness) coule à flot : que demander de plus ?! Notre soirée sera mémorable :
- rencontre de Maurice, Français et chef de rang dans un restaurant ;
- puis Malek et Louis, 2 jeunes Français faisant le tour d’Irlande avec leur valise à roulettes (ces dernières sont au bout de leur vie …) ;
- de jeunes Irlandais avec qui nous discuterons un long moment jusqu’à ce qu’ils entonnent l’hymne irlandais en fin de soirée.
2 points à retenir dans les pubs, les chants sont entonnés dans un silence quasi religieux (à mettre les poils à chaque fois !). En revanche, les chansons instrumentales sont jouées dans un joyeux bordel
https://youtu.be/RS98btSRw6E
https://youtu.be/Chqf0-2Sv9g
https://youtu.be/29pmNwpQ_8Y
https://youtu.be/6LvwE7Lr8vQ
https://youtu.be/nOa4lEKiDBw
Tout cela avant que les serveurs nous demandent de quitter le bar, il est 1h30 et il ne reste plus grand monde…
Lundi 1er août : Doolin
Après, la belle journée de la veille, ce nouveau jour est tout autre car le temps s’est dégradé : il pleut.
Nous sommes réveillés par un message puis un appel qui nous brisera le cœur : notre petite lapine est décédée, des suites d’une infection fulgurante, elle n’a pas pu être sauvée.
Le réveil est brutal… Nous prenons la décision de ne l’annoncer à nos filles que le lendemain …
Toutefois, je réussis à planifier une randonnée à cheval pour ma cadette sur les hauteurs de Doolin, sous la pluie.
Cela n’entame pas son moral : quelques soient les conditions météo et à partir du moment où il y a un équidé, elle est heureuse. Sa joie comble une partie de notre tristesse.
Le temps de sa randonnée, une réservation en auberge de jeunesse est confirmée pour le lendemain soir, à Tralee.
L’après-midi, nous décidons de faire les falaises de Moher, mais en bus car les conditions météo se dégradent encore et il n’est pas question de rouler avec les sides…
Arrivés sur le site, les éléments se déchaînent. Dame Nature ne nous épargne pas et envoie même mon ainée sur les fesses.
https://youtu.be/6s3Euf5wCNk
Les robinets sont équipés de sèche-main, en rentrant les manches, les filles se sont marrées
Les sourires disparaissent lors de l'attente du bus, transis de froid, mouillés jusqu’à l’os, le retour est silencieux.
Les sanitaires du camping sont notre refuge, chacun tentant de se réchauffer et de sécher ses affaires.
A 20h30, nous sommes sous la tente, un grignotage sur le pouce est expédié et nos duvets sont un cocon réconfortant après cette journée éprouvante émotionnellement et physiquement, mais c’était sans compter ce qui nous attendait dans la nuit…
Une tempête !
Il est 3h45 et malgré les 14°, des éclairs illuminent le ciel. Pour donner écho aux falaises de Moher, les éléments se déchainent à nouveau et à tour de rôles : vent, pluie, orage …
La tente se couche, plie mais ne rompt pas et pas une goutte d’eau ne traverse son faible écrin.
Cela dure près de 2h, je songe même à déplacer la petite famille dans le bâtiment du camping mais les conditions extérieures et la distance ne sont pas rassurantes pour tenter une sortie.
Après avoir consulter Cousin, nous restons sous la toile.
La tempête s’essouffle enfin et le sommeil finit par nous rattraper.
Au réveil, j'apprends qu’un avis de tempête avait été déclaré pour la côte avec des vents force 9 !
Expérience hors du commun que nous ne sommes pas sûr de vouloir revivre… en tout cas, pas sous une toile de tente !
vous êtes inoxydables ! Bravo et merci pour ce partage réjouissant !
c'est pas parcequ'ils disent tous la même chose qu'ils ont raison
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Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
http://www.est-motorcycles.fr/
Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
Libérez tous les otages !
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Courage, allons !
Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
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Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
Libérez tous les otages !
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Courage, allons !
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Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
+1 ça frôle l'orgasme et ça me rappelle le temps essuyé à Oban...Encore plus de félicitations aux Dames ! Bon, aussi aux gaillards mais enfin c'est plus facile pour eux.
Là les "souvenirs" sont inoubliables...
Bravo.
Content pour la fifille qui a pu monter les bourrins...et la tronche de Guernot dans Galway girls...
Merci d'avoir eu la patience de transcrire les musiques si joyeuses...
Là les "souvenirs" sont inoubliables...
Bravo.
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Merci d'avoir eu la patience de transcrire les musiques si joyeuses...
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Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
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Courage, allons !
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schaller_p
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Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Magnifiques récits ... Merci pour le partage.
Que de souvenirs et émotions .
Que de souvenirs et émotions .
Le gras est mon allié.
Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Je prendrai le temps de répondre et compléter ce soir.
Pour le moment, nous profitons de Papa pour ses 76 ans
Petit cadeau que j'ai fait à ma nièce, amatrice de vodka
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-
papycoz
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Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Hola, bon choix
Réparer c'est pas faire en sorte que ça marche !!!
http://roulemapoule.jouwweb.nl/
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Re: Sam : Pays du trèfle et de la Guinness !
Merci, nous sommes à l'épreuve de l'eau, c'est sûr !
C'est un plaisir de partager
Les conditions ont vraiment été difficiles et les frontières de la zone de confort de ma chérie ont explosé, non sans difficulté, mais elle a toujours su rebondir et relativiser après coup, bravo à elle !!!!Est-Motorcycles a écrit : ↑26 août 2022, 23:56+1 ça frôle l'orgasme et ça me rappelle le temps essuyé à Oban...Encore plus de félicitations aux Dames ! Bon, aussi aux gaillards mais enfin c'est plus facile pour eux.
Là les "souvenirs" sont inoubliables...
Bravo.
Content pour la fifille qui a pu monter les bourrins...et la tronche de Guernot dans Galway girls...
Merci d'avoir eu la patience de transcrire les musiques si joyeuses...
Avec plaisir Philippe !schaller_p a écrit : ↑27 août 2022, 08:20Magnifiques récits ... Merci pour le partage.
Que de souvenirs et émotions .
Oui, elle valide