Zorgol94 a écrit : ↑06 mars 2020, 21:21
pvdm100358 a écrit : ↑05 mars 2020, 10:58
Hello.
Pour ma part, l'article m'a paru équilibré; même s' il eut fallut à mon sens, comparer la Chang à l'Ural Retro dont la destination "route" s'approche davantage de la conception de la Chang.
Au-delà, point de sectarisme dans mes choix; je me laisse plus guider par le charme, et les qualités de solidité générale de l'Ural.
La concurrence a certes du bon; Ural peut certainement faire mieux en terme de qualité de certaines pièces tel l'arbre primaire et l'embrayage; le flector aussi sans doute et divers pièces tels que les croisillons.
Ural a, dune part, l'expérience et une longue histoire pour elle et, d'autre part, peut s'appuyer sur la passion et l'expertise de certains, dont Dan est un représentant notable. Il n'en faudrait pas beaucoup pour rendre l'Ural vraiment solide de bout en bout.
Chacun choisit sa monture selon ses besoins et ses moyens, je suppose.
Pour moi, c'est l'Ural; sans regret et sans doute.
Pierre
Je suis d'accord avec le fait que la concurrence peut être salutaire si elle pousse Ural à évoluer.
On a vu sur les dernier modèles 2020 les débuts d'une vrai évolution (nouvelles culasses et cylindres, nouvelle crépine améliorant la prise d'huile dans le carter et peut-être d'autres trucs que je n'ai pas vu) mais la vrai question est de savoir ce qui motive le patron américain est ses actionnaires ?
A la question de la qualité du flector, de l'embrayage et de l'arbre primaire on peut ajouter la question du vilebrequin.
Je suis heureux avec mon Ural et je n'ai pas l'intention de changer de sitôt mais si le matos évolue, je serais prêt à acquérir les nouvelles pièces comme on l'a déjà fait en son temps avec l'arrivée de la pignnonerie Herzog.
Perso je ne vois pas du tout ce "match" avec l'angle de la concurrence qui pour moi est sous le phare de la consommation capitaliste.
L'américain vend, mais vend tout de même de l'assez authentique quand même, alors que le chinois vend du marketing.
Pour moi Chang est le fruit unique d'une étude de marketing lancé par les faux communistes chinois qui pour le coup, agissent en purs capitalistes.
La concurrence ne doit absolument pas pousser Ural à évoluer, car alors la marque serait "suiveuse" de plans différents de la marque. Ural a une âme et ce sont les autres qui la copient. Cette âme elle doit la garder en enfonçant le pieu.
Certes la marque a ses "défauts", mais si on traite avec on va très loin. Le problème de la nouvelle clientèle de Ural est que beaucoup ne veulent pas traiter avec ses défauts ou plutôt ses particularismes dirais-je, mais veulent plier la marque aux désirs d'egos.
On ne plie pas une russe. On la cotoie. On n'est jamais son maître, on reste un partenaire qui est à l'écoute.
Beaucoup de nouveaux se plantent là dessus et j'espère que Ural ne se pliera pas à leurs caprices, car alors on aboutira à un concept à plus grand dénominateur commun.
J'en reparlerai.
Je n'ai ni le temps ni la forme ce soir pour entrer dans le détail, mais je développerai.
http://www.est-motorcycles.fr/
Une petite vie de concessionnaire URAL en Auvergne et sa fin.
Est-Motorcycles, une histoire d'affineur d'Urals, de pourvoyeur d'aventures. Inventeur, voyageur curieux de tout.
Il est quasi impossible de détruire quelque chose qui a été créé avec le coeur.
Libérez tous les otages !
Mon voyage essentiel : la poursuite du merveilleux.
Courage, allons !