Quel terroir! chaque petite parcelle forme une harmonieuse mosaïque pour réceptionner les rayons du soleil.
Le vin de ce lieu doit être un nectar particulier.
Quel terroir! chaque petite parcelle forme une harmonieuse mosaïque pour réceptionner les rayons du soleil.
Super! Un grand merci et bon séjourEst-Motorcycles a écrit : ↑22 déc. 2019, 21:03Repas marcaire d'ENFER sur les cimes vosgiennes, moment inoubliable, les Pères sont là avec les sangliers en civet ! La bise à tous !
Heureuse de cette cure de plaisirs au pays du bonheur!Est-Motorcycles a écrit : ↑22 déc. 2019, 21:03Repas marcaire d'ENFER sur les cimes vosgiennes, moment inoubliable, les Pères sont là avec les sangliers en civet ! La bise à tous !
Que du bonheur, grosses bisesEst-Motorcycles a écrit : ↑24 déc. 2019, 12:39Demain le retour. Rencontres incroyables issues du passé vosgien et repas ce jour à Ribeauvillé dans les rues où nous cheminons avec ma Grand-mère voici plus de 50 ans...je rentre gonflé a 20 bars !
Ribeauvillé !!!! MIAM !Est-Motorcycles a écrit : ↑24 déc. 2019, 12:39Demain le retour. Rencontres incroyables issues du passé vosgien et repas ce jour à Ribeauvillé dans les rues où nous cheminons avec ma Grand-mère voici plus de 50 ans...je rentre gonflé a 20 bars !
Merci ! Une préparation tranquille, bien moins onéreuses que celle de l'an dernier mais pas si simple (l'étanchéité des tubes cache-tiges de culbuteurs, ça fait un moment que j'y pense...) et le désir furtif de replacer mon alternateur à courroie, un régal de silence...
Etonnant et surprenant Que de bien belles choses montrées là, toutes en profondeur.Est-Motorcycles a écrit : ↑26 déc. 2019, 15:29Merci ! Une préparation tranquille, bien moins onéreuses que celle de l'an dernier mais pas si simple (l'étanchéité des tubes cache-tiges de culbuteurs, ça fait un moment que j'y pense...) et le désir furtif de replacer mon alternateur à courroie, un régal de silence...
Un moment à Riquewihr était indispensable pour rapporter quelques cadeaux traditionnels à mes aimés, visite suivie d'un casse-croûte très simple mais inévitable à Ribeauviller...c'est ma vie là-haut, à laquelle j'attache beaucoup d'importance pour dynamiser toute la cascade des plans générationnels qui reposent en soi et dont on ne mesure jamais vraiment les pouvoirs et ce qu'on leur doit. Ils sont comme nos fondations, ces niveaux, et il convient de les revisiter souvent ainsi que d'assimiler leurs nourritures.
Assimiler les nourritures de tous ces niveaux dans lesquels nos Pères ont vécu reste pour moi la plus puissante armure anti-sommeil qui empêche la mainmise du système sur nos cerveaux. Ces assimilations sont comme des médecines qui apportent les substances fines ayant le pouvoir de stabiliser, d'éclairer les regards intérieurs et surtout de ne pas se laisser hypnotiser par toutes sortes de séductions trompeuses.
Oh, ces nourritures sont le plus souvent simples : quelques saucisses, des plats, des vins, des pains...
L'accent de là-haut, les Anciens, l'architecture etc...tout concourt à retrouver très vite ses bases, ses valeurs, tout participe à effacer les mauvaises routes, cela sans effort et sans peine.
Je fais pareil en Russie sur le niveau 2 de mes aïeux et ainsi je ne suis jamais perdu.
Nous avions là-haut quelques belles bestioles tout de même, n'est-ce pas ?
Puis il reste à chercher les nourritures plus "célestes", celles qui nous ont rendu fort durant notre enfance, celles qui, d'une simple cuiller à café, vous replonge profondément et directement comme une fusée dans toutes vos bases psychologiques, religieuses et ethniques.
J'étais donc parti pour retrouver une vieille adresse en pleines Vosges, là où très peu de personnes savent qu'il y a encore quelques anciens qui recueillent un miel de sapin aux vertus puissantes et médicinales, qui font encore de la confiture de myrtilles et de coings prenant soin de tout l'arbre digestif (de la bouche à l'anus)...
Ce n'est pas à l'épicerie du coin ni dans les boutiques écolos à la mode, il faut fouiller dans sa mémoire, retrouver les chemins...et pour se faire, des substances puissantes et cachées aident comme l'absinthe - si on sait la préparer. Elle permet de retrouver l'oeil de la mémoire en nous replaçant dans une profonde nostalgie...point trop n'en faut, les lunettes de la vision sûre sont alors mises et la route devient plus claire, route que je n'avais plus prise depuis plus de 30 ans...
Les retrouvailles n'ont pas été simples car l'Homme vit comme dans les campagnes au XIX° siècle : porte de la maison ouverte, les poules dans la cuisine, les chevaux au fond avec sas pour laisser passer la chaleur de bêtes : si si, ça existe encore et je l'ai retrouvé, du moins un de ses petit fils ! Deux ou trois mots ont suffi pour renouer les liens très puissants mais, mais (!) surtout ni vanité ni orgueil servant de "médaille". Ici c'est l'âme d'enfant qui prime et c'est pourquoi j'y allais seul.
On pourrait comparer avec les récits d'Henri Pourrat en Auvergne
Il m'a raccompagné jusqu'aux portes de mon petit hôtel et nous nous sommes dit à bientôt...tous ces êtres qui débordent de bon sens montrent une intelligence du coeur qui est la vraie lumière.
Comme un pied de nez, tout en bas de son chemin qui monte haut, cette petite plaque insolite fixée sur une poutre de grange :
...et dans sa "cuisine", un petit tableau écrit à la main relate une sentence terrible de vérité de Léon Tolstoï :
"...En matière de sentiments, le manque de logique est la meilleures preuve de la sincérité..."
Sentence qui ne fait que confirmer qu'il ne faut pas se fier à qui que ce soit sans avoir auparavant sondé son coeur. Et la langue du coeur n'a pas besoin de preuves ni de démonstrations.
émerveillée par toutes ces beautés et cette couleur alsacienne qui ne semble pas changer. Sans y être née, je l'ai côtoyée souvent dans mes jeunes années et je mesure un peu l'émotion provoquée par ces retrouvailles. Merci pour ce partage intime qui me touche.Est-Motorcycles a écrit : ↑26 déc. 2019, 15:29Merci ! Une préparation tranquille, bien moins onéreuses que celle de l'an dernier mais pas si simple (l'étanchéité des tubes cache-tiges de culbuteurs, ça fait un moment que j'y pense...) et le désir furtif de replacer mon alternateur à courroie, un régal de silence...
Un moment à Riquewihr était indispensable pour rapporter quelques cadeaux traditionnels à mes aimés, visite suivie d'un casse-croûte très simple mais inévitable à Ribeauviller...c'est ma vie là-haut, à laquelle j'attache beaucoup d'importance pour dynamiser toute la cascade des plans générationnels qui reposent en soi et dont on ne mesure jamais vraiment les pouvoirs et ce qu'on leur doit. Ils sont comme nos fondations, ces niveaux, et il convient de les revisiter souvent ainsi que d'assimiler leurs nourritures.
Assimiler les nourritures de tous ces niveaux dans lesquels nos Pères ont vécu reste pour moi la plus puissante armure anti-sommeil qui empêche la mainmise du système sur nos cerveaux. Ces assimilations sont comme des médecines qui apportent les substances fines ayant le pouvoir de stabiliser, d'éclairer les regards intérieurs et surtout de ne pas se laisser hypnotiser par toutes sortes de séductions trompeuses.
Oh, ces nourritures sont le plus souvent simples : quelques saucisses, des plats, des vins, des pains...
L'accent de là-haut, les Anciens, l'architecture etc...tout concourt à retrouver très vite ses bases, ses valeurs, tout participe à effacer les mauvaises routes, cela sans effort et sans peine.
Je fais pareil en Russie sur le niveau 2 de mes aïeux et ainsi je ne suis jamais perdu.
Nous avions là-haut quelques belles bestioles tout de même, n'est-ce pas ?
Puis il reste à chercher les nourritures plus "célestes", celles qui nous ont rendu fort durant notre enfance, celles qui, d'une simple cuiller à café, vous replonge profondément et directement comme une fusée dans toutes vos bases psychologiques, religieuses et ethniques.
J'étais donc parti pour retrouver une vieille adresse en pleines Vosges, là où très peu de personnes savent qu'il y a encore quelques anciens qui recueillent un miel de sapin aux vertus puissantes et médicinales, qui font encore de la confiture de myrtilles et de coings prenant soin de tout l'arbre digestif (de la bouche à l'anus)...
Ce n'est pas à l'épicerie du coin ni dans les boutiques écolos à la mode, il faut fouiller dans sa mémoire, retrouver les chemins...et pour se faire, des substances puissantes et cachées aident comme l'absinthe - si on sait la préparer. Elle permet de retrouver l'oeil de la mémoire en nous replaçant dans une profonde nostalgie...point trop n'en faut, les lunettes de la vision sûre sont alors mises et la route devient plus claire, route que je n'avais plus prise depuis plus de 30 ans...
Les retrouvailles n'ont pas été simples car l'Homme vit comme dans les campagnes au XIX° siècle : porte de la maison ouverte, les poules dans la cuisine, les chevaux au fond avec sas pour laisser passer la chaleur de bêtes : si si, ça existe encore et je l'ai retrouvé, du moins un de ses petit fils ! Deux ou trois mots ont suffi pour renouer les liens très puissants mais, mais (!) surtout ni vanité ni orgueil servant de "médaille". Ici c'est l'âme d'enfant qui prime et c'est pourquoi j'y allais seul.
On pourrait comparer avec les récits d'Henri Pourrat en Auvergne
Il m'a raccompagné jusqu'aux portes de mon petit hôtel et nous nous sommes dit à bientôt...tous ces êtres qui débordent de bon sens montrent une intelligence du coeur qui est la vraie lumière.
Comme un pied de nez, tout en bas de son chemin qui monte haut, cette petite plaque insolite fixée sur une poutre de grange :
...et dans sa "cuisine", un petit tableau écrit à la main relate une sentence terrible de vérité de Léon Tolstoï :
"...En matière de sentiments, le manque de logique est la meilleures preuve de la sincérité..."
Sentence qui ne fait que confirmer qu'il ne faut pas se fier à qui que ce soit sans avoir auparavant sondé son coeur. Et la langue du coeur n'a pas besoin de preuves ni de démonstrations.
Merci pour le partage émouvant de ces douces nouvelles d' AlsaceMarip a écrit : ↑26 déc. 2019, 22:34émerveillée par toutes ces beautés et cette couleur alsacienne qui ne semble pas changer. Sans y être née, je l'ai côtoyée souvent dans mes jeunes années et je mesure un peu l'émotion provoquée par ces retrouvailles. Merci pour ce partage intime qui me touche.Est-Motorcycles a écrit : ↑26 déc. 2019, 15:29Merci ! Une préparation tranquille, bien moins onéreuses que celle de l'an dernier mais pas si simple (l'étanchéité des tubes cache-tiges de culbuteurs, ça fait un moment que j'y pense...) et le désir furtif de replacer mon alternateur à courroie, un régal de silence...
Un moment à Riquewihr était indispensable pour rapporter quelques cadeaux traditionnels à mes aimés, visite suivie d'un casse-croûte très simple mais inévitable à Ribeauviller...c'est ma vie là-haut, à laquelle j'attache beaucoup d'importance pour dynamiser toute la cascade des plans générationnels qui reposent en soi et dont on ne mesure jamais vraiment les pouvoirs et ce qu'on leur doit. Ils sont comme nos fondations, ces niveaux, et il convient de les revisiter souvent ainsi que d'assimiler leurs nourritures.
Assimiler les nourritures de tous ces niveaux dans lesquels nos Pères ont vécu reste pour moi la plus puissante armure anti-sommeil qui empêche la mainmise du système sur nos cerveaux. Ces assimilations sont comme des médecines qui apportent les substances fines ayant le pouvoir de stabiliser, d'éclairer les regards intérieurs et surtout de ne pas se laisser hypnotiser par toutes sortes de séductions trompeuses.
Oh, ces nourritures sont le plus souvent simples : quelques saucisses, des plats, des vins, des pains...
L'accent de là-haut, les Anciens, l'architecture etc...tout concourt à retrouver très vite ses bases, ses valeurs, tout participe à effacer les mauvaises routes, cela sans effort et sans peine.
Je fais pareil en Russie sur le niveau 2 de mes aïeux et ainsi je ne suis jamais perdu.
Nous avions là-haut quelques belles bestioles tout de même, n'est-ce pas ?
Puis il reste à chercher les nourritures plus "célestes", celles qui nous ont rendu fort durant notre enfance, celles qui, d'une simple cuiller à café, vous replonge profondément et directement comme une fusée dans toutes vos bases psychologiques, religieuses et ethniques.
J'étais donc parti pour retrouver une vieille adresse en pleines Vosges, là où très peu de personnes savent qu'il y a encore quelques anciens qui recueillent un miel de sapin aux vertus puissantes et médicinales, qui font encore de la confiture de myrtilles et de coings prenant soin de tout l'arbre digestif (de la bouche à l'anus)...
Ce n'est pas à l'épicerie du coin ni dans les boutiques écolos à la mode, il faut fouiller dans sa mémoire, retrouver les chemins...et pour se faire, des substances puissantes et cachées aident comme l'absinthe - si on sait la préparer. Elle permet de retrouver l'oeil de la mémoire en nous replaçant dans une profonde nostalgie...point trop n'en faut, les lunettes de la vision sûre sont alors mises et la route devient plus claire, route que je n'avais plus prise depuis plus de 30 ans...
Les retrouvailles n'ont pas été simples car l'Homme vit comme dans les campagnes au XIX° siècle : porte de la maison ouverte, les poules dans la cuisine, les chevaux au fond avec sas pour laisser passer la chaleur de bêtes : si si, ça existe encore et je l'ai retrouvé, du moins un de ses petit fils ! Deux ou trois mots ont suffi pour renouer les liens très puissants mais, mais (!) surtout ni vanité ni orgueil servant de "médaille". Ici c'est l'âme d'enfant qui prime et c'est pourquoi j'y allais seul.
On pourrait comparer avec les récits d'Henri Pourrat en Auvergne
Il m'a raccompagné jusqu'aux portes de mon petit hôtel et nous nous sommes dit à bientôt...tous ces êtres qui débordent de bon sens montrent une intelligence du coeur qui est la vraie lumière.
Comme un pied de nez, tout en bas de son chemin qui monte haut, cette petite plaque insolite fixée sur une poutre de grange :
...et dans sa "cuisine", un petit tableau écrit à la main relate une sentence terrible de vérité de Léon Tolstoï :
"...En matière de sentiments, le manque de logique est la meilleures preuve de la sincérité..."
Sentence qui ne fait que confirmer qu'il ne faut pas se fier à qui que ce soit sans avoir auparavant sondé son coeur. Et la langue du coeur n'a pas besoin de preuves ni de démonstrations.