Montrez nous vos métiers
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igor
Re: Montrez nous vos métiers
bonjours moi je passe la plupart du temps agenoux et se n'est pas pour des idées religieuse ou pour demander pardons pour quelques faute que ce soit mais pour habiller les sols . je fait parti des travailleurs du batiment je suis carreleur .
Re: Montrez nous vos métiers
Vous paluchez pas trop les gars !!!
L’agriculture de conservation n’est pas l’agriculture biologique ou biodynamique. Elle n’exclue pas le recours aux pesticides. D’ailleurs la plupart des maïs et des sojas ogm d’Amérique du nord, du Brésil et d’Argentine sont conduits selon ces techniques de travail simplifié. En France, les agriculteurs TCistes sont plus utilisateurs de glyphosate* que les « conventionnels » …
*glyphosate = Roundup (on ouvre un post sur serralini & co ?)
L’agriculture de conservation n’est pas l’agriculture biologique ou biodynamique. Elle n’exclue pas le recours aux pesticides. D’ailleurs la plupart des maïs et des sojas ogm d’Amérique du nord, du Brésil et d’Argentine sont conduits selon ces techniques de travail simplifié. En France, les agriculteurs TCistes sont plus utilisateurs de glyphosate* que les « conventionnels » …
*glyphosate = Roundup (on ouvre un post sur serralini & co ?)
Jésus-Christ est un exemple pour tous : même en mauvaise posture, il n'a
jamais baissé les bras.
jamais baissé les bras.
Re: Montrez nous vos métiers
Tram B :Bonjour : Juste une question 
Ton Entreprise Agricole corresponds a combien d'hectares? Et combien de personnes arrive à survivre sur cette exploiation ?
Ton Entreprise Agricole corresponds a combien d'hectares? Et combien de personnes arrive à survivre sur cette exploiation ?-
TramB
Re: Montrez nous vos métiers
Bon j'ai fait une réponse assez complète que j'ai perdue, faute de frappe sur le clavier....
. Les Techniques Culturales Simplifiées sont à la mode actuellement.
. J'oses penser qu'elles sont enseignées (à voir avec l'enseignant).
. Elles sont applicables aux grosses exploitations, je dirais encore plus facilement, gain de temps (mains d'oeuvre et énergie). Mais.... cela ajoute un risque supplémentaire. Dans un métier où on gère pas tout, y inclure un risque supplémentaire est délicat. Ce risque c'est la réussite du semi : si semi foutu, argent perdu ! et kes tu fais après ? surtout si tu as désherbé (rémanence des produits phytosanitaires ?)
La France est d'origine laboureuse (avanie et framboise), meilleur moyen pour désherber et réchauffer un sol, et de sécuriser une implantation...
La transition vers une agriculture durable ou de conservation sera longue (une bonne rotation c'est au minimum 5 ans), on travaille sur la longueur (10 ans pour voir un "éventuel" effet) et certains veulent parfois des retours plus rapide...
Bref, cela prendra bien une bonne génération (à mon sens) pour qu'elle se généralise.
Voilà un résumé de la réponse perdue dans les internets....
Et pour répondre à Raoul, non je n'utilise pas plus de glyphosate que l'agriculture conventionnelle (perso 0.5 L/ha/an. On reparle bas volume et efficacité traitement quand tu veux.)
Mais il est vrai que c'est un de mes outils, comme tu le rappelle si bien. Je ne suis pas en train de parler d'agriculture biologique ou biodynamique, je parles d'agriculture de conservation, de celle qui se fera, avec les meilleurs moyens, d'aujourd'hui et d'hier, pour te donner à bouffer et pour faire vivre le paysans dignement. Le discours écolo-bobo commence à me gonfler sérieusement.
J'ai deux voisin en agriculture biologique : à un j'achète ma viande les yeux fermés, à l'autre j'achèterai jamais rien, quand t'as vu sa ferme et ce qu'il fait.... Ne pas oublier que les produits phytosanitaires ne sont que la reproduction en produits de synthèses de substances naturelles. Si je pulvérise un produit biologique, c'est pas sur qu'il soit moins méchant que sa reconstitution synthétique...
Et si tu veux causer pollution, j'te fais mon bilan carbone quand tu veux, sans parler des phosphates dans tes lessives...
Quand on cherche on trouve.
A+
Pour JP et Bardevich :
Ma ferme fait 93 ha.
C'est limite en système céréalier en zone agricole intermédiaire.
Je sors l'équivalent d'un smig, mais cela ne veut rien dire, tout cela dépend du montant de ton endettement (de ton annuité - montant de remboursement à la banque quoi).
Ma femme travaille à mi-temps.
On est quatre (deux enfants).
Et on survit bien (la qualité de vie n'a pas de prix).
Et prendre mon temps (quand je peux), c'est vraiment un luxe...
. Les Techniques Culturales Simplifiées sont à la mode actuellement.
. J'oses penser qu'elles sont enseignées (à voir avec l'enseignant).
. Elles sont applicables aux grosses exploitations, je dirais encore plus facilement, gain de temps (mains d'oeuvre et énergie). Mais.... cela ajoute un risque supplémentaire. Dans un métier où on gère pas tout, y inclure un risque supplémentaire est délicat. Ce risque c'est la réussite du semi : si semi foutu, argent perdu ! et kes tu fais après ? surtout si tu as désherbé (rémanence des produits phytosanitaires ?)
La France est d'origine laboureuse (avanie et framboise), meilleur moyen pour désherber et réchauffer un sol, et de sécuriser une implantation...
La transition vers une agriculture durable ou de conservation sera longue (une bonne rotation c'est au minimum 5 ans), on travaille sur la longueur (10 ans pour voir un "éventuel" effet) et certains veulent parfois des retours plus rapide...
Bref, cela prendra bien une bonne génération (à mon sens) pour qu'elle se généralise.
Voilà un résumé de la réponse perdue dans les internets....
Et pour répondre à Raoul, non je n'utilise pas plus de glyphosate que l'agriculture conventionnelle (perso 0.5 L/ha/an. On reparle bas volume et efficacité traitement quand tu veux.)
Mais il est vrai que c'est un de mes outils, comme tu le rappelle si bien. Je ne suis pas en train de parler d'agriculture biologique ou biodynamique, je parles d'agriculture de conservation, de celle qui se fera, avec les meilleurs moyens, d'aujourd'hui et d'hier, pour te donner à bouffer et pour faire vivre le paysans dignement. Le discours écolo-bobo commence à me gonfler sérieusement.
J'ai deux voisin en agriculture biologique : à un j'achète ma viande les yeux fermés, à l'autre j'achèterai jamais rien, quand t'as vu sa ferme et ce qu'il fait.... Ne pas oublier que les produits phytosanitaires ne sont que la reproduction en produits de synthèses de substances naturelles. Si je pulvérise un produit biologique, c'est pas sur qu'il soit moins méchant que sa reconstitution synthétique...
Et si tu veux causer pollution, j'te fais mon bilan carbone quand tu veux, sans parler des phosphates dans tes lessives...
Quand on cherche on trouve.
A+
Pour JP et Bardevich :
Ma ferme fait 93 ha.
C'est limite en système céréalier en zone agricole intermédiaire.
Je sors l'équivalent d'un smig, mais cela ne veut rien dire, tout cela dépend du montant de ton endettement (de ton annuité - montant de remboursement à la banque quoi).
Ma femme travaille à mi-temps.
On est quatre (deux enfants).
Et on survit bien (la qualité de vie n'a pas de prix).
Et prendre mon temps (quand je peux), c'est vraiment un luxe...
Re: Montrez nous vos métiers
Merci TramB. Content de ta franchise et de ton honneteté ,je n'en doutes pas un seul instant .Je serais heureux de te rencontrer et cela se feras c'est sur ! et mon épouse en seras encore plus ravie de pouvoir discuter de ce qu'elle a vecue avec ses parents Agriculteurs avec 10 hectares et 10 vaches ,et je pense que meme si les temps ne sont pas les memes et le petit decalage d'age ,vous aurez beaucoup de choses à vous dire. 
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Jeanpaulik
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Re: Montrez nous vos métiers
On peux parler des métiers que l’on a pratiqués ?
C’était au début de ma vie active, j’étais contremaitre d’atelier (à l’époque, on ne disais pas encore « manageur » … ) et je m’occupais des équipes de « Grande Révision » des bogies puis des moteurs de traction. Mais je participais également à une autre activité : l’équipe de relevage. C’est une équipe qui est composée de volontaires de corps de métiers différents, (chaudronniers, monteurs, électriciens), mobilisable 24h/24 et qui intervient en cas d’incident sur le réseau : déraillement, tamponnement, etc…
Dans la majorité des cas, ces incidents se produisent hors exploitation : La nuit, dans les voies de raccordement aux ateliers, là ou la circulation des trains n’est pas protégée par la signalisation. Les accidents avec voyageurs sont exceptionnels, mais une rame peux toujours être immobilisée pour un essieu bloqué, par exemple, et dans ce cas l’équipe pose un chariot sous les roues, pour rapatrier la rame à l’atelier à petite vitesse.
Ma première participation à l’équipe fut spectaculaire : Au terminus de St Denis Basilique (oui, c’était alors un terminus), le jeune conducteur fait descendre tous ses passagers. Il doit ensuite faire une manœuvre « en Z » pour repartir sur l’autre voie, mais étourdi, dans son esprit il part à la station suivante. Il percutera le butoir puis le mur situé derrière à 30 km/h. Au dernier moment, dans un reflexe, il se placera derrière son siège et aura la vie sauve. Curieusement, la face avant de la motrice est peu déformée, mais la deuxième voiture a pénétré de 3m dans la première et en se soulevant, elle s’est encastrée au plafond.
Il faudra 24h de travail continu pour évacuer la rame. Interviennent ensuite les types de la voie : 30 types taillés comme des galériens, équipés chacun d’une barre à mine, et qui te réalignent la voie sous les ordres de leur contremaitre, en rythme : « ho hisse, ho, hisse » Impressionnant…
Les moyens de l’équipe de relevage sont importants : 2 semi-remorque de matériel (coussins, vérins hydrauliques, calage, matériel de découpe), des véhicules d’intervention, un bus transformé en dortoir/cuisine/salle de repos, mobilisé pour les interventions longues.
Ceux qui participent à cette équipe sont tous très motivés, et ils font parfois preuve d’un engagement excessif. C’est aussi le rôle du chef d’équipe de vérifier que les règles de sécurité sont respectées. C’est délicat, car chaque intervention est différente, chaque configuration est particulière, et le danger peut venir de partout. Mais il n’est pas question qu’un compagnon perde 2 doigts (ou pire) pour un calage mal fait ou précipité.
C’est un job très intéressant parce que c’est à chaque fois une nouveauté, on ne sait pas ce qu’on va découvrir sur les lieux de l’incident, et il faudra gamberger : Quel matériel utiliser, comment le faire venir au plus près, comment s’y prendre… Tout le monde donne son avis, et au final le chef d’incident décide. A partir de là, tout le monde lui obéit au doigt et à l’œil.
Et puis, il y a le côté sombre. Lorsque les pompiers ou le SAMU nous demandent d’intervenir pour ce qu’on appelle pudiquement des « accidents de voyageurs ». Lorsqu’il faut désaccoupler les voitures, ou les soulever pour évacuer les victimes. Là encore, médecins du Samu et Pompiers nous font une confiance aveugle, et n’hésitent pas à s’engager sous 15 tonnes de ferraille posées sur des cales en bois, pour soigner et dégager les victimes. J’ai gardé de ces interventions des images, où mon cerveau se demande encore s’il a bien vu ce qu’il a vu. Et j’ai vu des collègues taillés comme des piliers de rugby me raconter leurs interventions les yeux embués.
Voilà, c’était une tranche de vie, technique, active. Et puis les hasards de la vie ont fait que j’ai changé de métier. J’aime bien ce que je fais aujourd’hui. Mais les liens qu’on peut avoir dans une équipe « de terrain » me manquent.
C’était au début de ma vie active, j’étais contremaitre d’atelier (à l’époque, on ne disais pas encore « manageur » … ) et je m’occupais des équipes de « Grande Révision » des bogies puis des moteurs de traction. Mais je participais également à une autre activité : l’équipe de relevage. C’est une équipe qui est composée de volontaires de corps de métiers différents, (chaudronniers, monteurs, électriciens), mobilisable 24h/24 et qui intervient en cas d’incident sur le réseau : déraillement, tamponnement, etc…
Dans la majorité des cas, ces incidents se produisent hors exploitation : La nuit, dans les voies de raccordement aux ateliers, là ou la circulation des trains n’est pas protégée par la signalisation. Les accidents avec voyageurs sont exceptionnels, mais une rame peux toujours être immobilisée pour un essieu bloqué, par exemple, et dans ce cas l’équipe pose un chariot sous les roues, pour rapatrier la rame à l’atelier à petite vitesse.
Ma première participation à l’équipe fut spectaculaire : Au terminus de St Denis Basilique (oui, c’était alors un terminus), le jeune conducteur fait descendre tous ses passagers. Il doit ensuite faire une manœuvre « en Z » pour repartir sur l’autre voie, mais étourdi, dans son esprit il part à la station suivante. Il percutera le butoir puis le mur situé derrière à 30 km/h. Au dernier moment, dans un reflexe, il se placera derrière son siège et aura la vie sauve. Curieusement, la face avant de la motrice est peu déformée, mais la deuxième voiture a pénétré de 3m dans la première et en se soulevant, elle s’est encastrée au plafond.
Il faudra 24h de travail continu pour évacuer la rame. Interviennent ensuite les types de la voie : 30 types taillés comme des galériens, équipés chacun d’une barre à mine, et qui te réalignent la voie sous les ordres de leur contremaitre, en rythme : « ho hisse, ho, hisse » Impressionnant…
Les moyens de l’équipe de relevage sont importants : 2 semi-remorque de matériel (coussins, vérins hydrauliques, calage, matériel de découpe), des véhicules d’intervention, un bus transformé en dortoir/cuisine/salle de repos, mobilisé pour les interventions longues.
Ceux qui participent à cette équipe sont tous très motivés, et ils font parfois preuve d’un engagement excessif. C’est aussi le rôle du chef d’équipe de vérifier que les règles de sécurité sont respectées. C’est délicat, car chaque intervention est différente, chaque configuration est particulière, et le danger peut venir de partout. Mais il n’est pas question qu’un compagnon perde 2 doigts (ou pire) pour un calage mal fait ou précipité.
C’est un job très intéressant parce que c’est à chaque fois une nouveauté, on ne sait pas ce qu’on va découvrir sur les lieux de l’incident, et il faudra gamberger : Quel matériel utiliser, comment le faire venir au plus près, comment s’y prendre… Tout le monde donne son avis, et au final le chef d’incident décide. A partir de là, tout le monde lui obéit au doigt et à l’œil.
Et puis, il y a le côté sombre. Lorsque les pompiers ou le SAMU nous demandent d’intervenir pour ce qu’on appelle pudiquement des « accidents de voyageurs ». Lorsqu’il faut désaccoupler les voitures, ou les soulever pour évacuer les victimes. Là encore, médecins du Samu et Pompiers nous font une confiance aveugle, et n’hésitent pas à s’engager sous 15 tonnes de ferraille posées sur des cales en bois, pour soigner et dégager les victimes. J’ai gardé de ces interventions des images, où mon cerveau se demande encore s’il a bien vu ce qu’il a vu. Et j’ai vu des collègues taillés comme des piliers de rugby me raconter leurs interventions les yeux embués.
Voilà, c’était une tranche de vie, technique, active. Et puis les hasards de la vie ont fait que j’ai changé de métier. J’aime bien ce que je fais aujourd’hui. Mais les liens qu’on peut avoir dans une équipe « de terrain » me manquent.
Il y a des vieux motards, et des motards audacieux. Mais il n'y a pas de vieux motards audacieux.
Re: Montrez nous vos métiers
Bonjour,
Ce que tu décris est ce que je vis lorsque nous sortons sur de grosses interventions en milieu "hostile"
Effectivement,nous faisons totale confiance aux pros de ce milieu.S'ils nous disent que nous pouvons y aller,c'est qu'il n'y a que peu de risque.
Moi aussi ,j'apprécie énormément ces moments où chacun donne son maximum et où il y a un seul but à atteindre,le succès de l'intervention.
C'est aussi l'occasion de côtoyer des professionnels d'autres milieux.
C'est extrêmement enrichissant
Par exemple,nous intervenons régulièrement aux ateliers SNCF de Varennes Vauzelles ,gros centre de réparation des rames .
Ce que tu décris est ce que je vis lorsque nous sortons sur de grosses interventions en milieu "hostile"
Effectivement,nous faisons totale confiance aux pros de ce milieu.S'ils nous disent que nous pouvons y aller,c'est qu'il n'y a que peu de risque.
Moi aussi ,j'apprécie énormément ces moments où chacun donne son maximum et où il y a un seul but à atteindre,le succès de l'intervention.
C'est aussi l'occasion de côtoyer des professionnels d'autres milieux.
C'est extrêmement enrichissant
Par exemple,nous intervenons régulièrement aux ateliers SNCF de Varennes Vauzelles ,gros centre de réparation des rames .
François alias Discret,
Transalp 1990 183 000kms+Ural T 1WD 2014 E-M,pont long 12000kms MERCI Dan,y a que toi qui aies le droit d'y toucher
Transalp 1990 183 000kms+Ural T 1WD 2014 E-M,pont long 12000kms MERCI Dan,y a que toi qui aies le droit d'y toucher
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PerfideAvion
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- Messages : 1056
- Inscription : 26 mai 2009, 08:16
- Localisation : Sezanne (Marne)
Re: Montrez nous vos métiers
Le mien, facile, vaut mieux qu'un long discours :
"Je me croyais chêne, je ne suis qu'un gland."
San Antonio
San Antonio
Re: Montrez nous vos métiers
mon dernier métier ces derniers 30 ans !
restaurer des maisons surtout en milieu rural pour une clientèle pauvre donc ce qui induit que je ne suis pas devenu riche, mais je m'en fou les clients (à 90%) sont devenus des amis!
la cuisine
dernier chantier avant la retraite.
avant / après
la salle d'eau.
je précise que pour ce genre d’aménagement, beaucoup de récupération pour exemple le meuble vasque est un haut de buffet de cuisine.
je n'ai pas de photo du chantier terminé, j'ai la satisfaction d'avoir donné un cadre de vie agréable à des personnes qui pour certaines n'avaient jamais eu de confort de toute leur vie et rien que pour ça je me suis éclaté!
il n'est pas rare que j'aille chez certain pour manger, boire un coup & même parfois un thé suivant la personne!
que du boulot basique,rien d'extraordinaire, mais c'était ma vie professionnelle.
sur ce genre de chantier je faisais l'isolation,électricité,plomberie,chauffage,doublage,carrelage pour finir par les peinture c'est ce qui était intéressant.
les chantiers s'enchainaient par le bouche à oreilles.
en bref je n'ai pas fais beaucoup d'argent, j'ai vécu & je me suis fait plaisir "presque" tout les jours !!
restaurer des maisons surtout en milieu rural pour une clientèle pauvre donc ce qui induit que je ne suis pas devenu riche, mais je m'en fou les clients (à 90%) sont devenus des amis!
la cuisine
dernier chantier avant la retraite.
avant / après
la salle d'eau.
je précise que pour ce genre d’aménagement, beaucoup de récupération pour exemple le meuble vasque est un haut de buffet de cuisine.
je n'ai pas de photo du chantier terminé, j'ai la satisfaction d'avoir donné un cadre de vie agréable à des personnes qui pour certaines n'avaient jamais eu de confort de toute leur vie et rien que pour ça je me suis éclaté!
il n'est pas rare que j'aille chez certain pour manger, boire un coup & même parfois un thé suivant la personne!
que du boulot basique,rien d'extraordinaire, mais c'était ma vie professionnelle.
sur ce genre de chantier je faisais l'isolation,électricité,plomberie,chauffage,doublage,carrelage pour finir par les peinture c'est ce qui était intéressant.
les chantiers s'enchainaient par le bouche à oreilles.
en bref je n'ai pas fais beaucoup d'argent, j'ai vécu & je me suis fait plaisir "presque" tout les jours !!
Ublanc Tourist de 2010 & SYLVERWING de 1983 & SYLVERWING de 1999
J'AIME LE TRAVAIL !
IL ME FASCINE !
JE PEUX LE REGARDER PENDANT DES HEURES !
J'AIME LE TRAVAIL !
IL ME FASCINE !
JE PEUX LE REGARDER PENDANT DES HEURES !
Re: Montrez nous vos métiers
Comme toi Chris je faisais le meme boulot avec PLAISIR,dans les memes circonstances et puis de temps en temps un peu d'acrobatie 
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Jeanpaulik
- Membre
- Messages : 331
- Inscription : 28 juin 2010, 15:07
- Localisation : 44 ou 95
Re: Montrez nous vos métiers
Ah ? je vois bien les 6 photos de jp ...Guy & Claudette a écrit : Serais-je tout seul à rencontrer ce problème, merci pour tout le monde.
Il y a des vieux motards, et des motards audacieux. Mais il n'y a pas de vieux motards audacieux.
-
Bardevitch
Re: Montrez nous vos métiers
En lucid black and white (on ne se refait pas), je vois tout.
Dernière modification par Bardevitch le 27 janv. 2013, 16:00, modifié 2 fois.
