Complètement d'accord.papycoz a écrit : ↑27 août 2021, 11:28C'est fou tous ce qui a été perdu avec la suppression de l'instruction civique et la morale en école primaire. Cela me laisse rêveur mais ces rêves deviennent souvent des cauchemards.marcc a écrit : ↑27 août 2021, 10:51C'est ce que l'on ressent avec 2/3 copains dont un qui avait un père chef de réseau en Bretagne et décoré par de Gaulle en personne ( certainement de la même veine que ton père, heureusement que "eux" ont eu ce courage à leur époque)Est-Motorcycles a écrit : ↑27 août 2021, 09:00
Je reviendrai sur ce genre de comportement dans mon aventure dans laquelle cela a été plus loin...
1944, c'était hier.
Merci à ce gouvernement de créer ces différences, ces fayotages, ces milices.
Génial.
Mon Père s'est battu pour rien.
Malheureusement lorsque l'on a le malheur d'évoquer cette idée, on se fait démolir par les "bien-pensants gouvernementaux" , j'ai même entendu que l'on devrait avoir honte de faire des comparaisons.........
Il n'y a ni les moyens pédagogiques ni la volonté politique. L'éducation intérieure des jeunes est complètement livrées aux émissions télévisées et aux smartphones, c'est-à-dire aux économistes mondialistes dont nos dirigeants politiques tiennent la porte grande ouverte avec invitation à coloniser les consciences.
La mondialisation qui coupe tous les liens réels a fait surgir un monde inconnu, un monde fantomatique virtuel mais dont le pouvoir est énorme. La finance est irréelle, spéculative, l'école est covidée, sans ancrage, dans laquelle on apprend seulement à "sauver la planète" sans rien sauver du tout (...) Le pouvoir est devenu sans source, anonyme et privatisé, l'économie est sans marché locaux, le pouvoir et le capital ne se connaissent plus.
Nous assistons à la rupture de l'homme avec lui-même, celui-ci délègue sa vie à des mondes inconnus qui portent des têtes surgissant de nulle part. Les hommes sont comme des poussins en batterie privés de leur libre arbitre, alignés à la pensée dominante sans nom et sans visage.
Dans la société d'avant les gens n'étaient pas meilleurs, mais il existait des moeurs et de rites sociaux. C'était un foisonnement désordonné mais sous la terre de ce foisonnement il existait une morale floue qui n'était pas celle des "droits de l'homme", mais celle du vivant.
Mais comme toutes les dictatures celle-ci passera aussi, avec son cortège de victimes duquel il faut tenter de se sortir dès maintenant, sans bruit...